Catégorie : Algérie

  • Des vols quotidiens d’Air Algérie vers Paris

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    Air Algérie a programmé des vols quotidiens vers Paris à partir d’Alger, Oran et Constantine ce qui favorisera un afflux des voyageurs dans les deux sens, a fait savoir ce mercredi 1er septembre 2021 , la compagnie aérienne nationale dans un communiqué publié sur sa page Facebook.

    Air Algérie a fourni les détails de son programme de vols quotidiens entre l’Algérie et la capitale française à savoir un vol quotidien depuis Alger, le numéro de vol AH1010/11, et tous les mardis et jeudis, le numéro de vol est AH1086/87 et un vol quotidien depuis Oran dont le numéro est AH1060/61et enfin un vol quotidien depuis Constantine, sous le numéro de AH1122/21.

    Le ministère des Transports a indiqué , mercredi dernier, le nouveau programme des vols internationaux qui seront prévus par la compagnie aérienne nationale Air Algérie à compter du samedi 28 août soit une augmentation du nombre de vols qui passera de 9 à 32 vols par semaine.

    Lors du dernier Conseil des ministres, le président de la république avait donné des instructions quant au renforcement des vols internationaux.

    Le Jeune Indépendant, 01/09/2021

  • L’alliance maroco-sioniste contre l’Algérie a échoué (Belhimer)

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    Le ministre de la Communication, Amar Belhimer a affirmé, hier, que l’alliance maroco-sioniste contre l’Algérie s’était heurtée à un «rempart invincible édifié par une coalition infuse et solide du peuple et de ses institutions».

    «Forte des constantes de son peuple et de ses institutions constitutionnelles, l’Algérie fait l’objet d’une véritable guerre systématique qui n’est pas seulement une campagne hostile de la part de plusieurs parties, en tête desquelles l’alliance maroco-sioniste», a déclaré Belhimer dans un entretien accordé au journal «Djalia.dz».

    «Ces derniers se sont, malheureusement, heurtés à un rempart invincible de résistance par une coalition infuse et solide du peuple et de ses institutions, en témoignent les positions des Algériens à travers les plateformes des réseaux sociaux», a-t-il soutenu.

    «Il est normal que le secteur de l’information soit au cœur de l’opération de résistance à la sale guerre cybernétique ciblant notre pays, grâce aux médias public et privé qui ont consacré un champ approprié pour mettre à nu les mensonges des ennemis et déjouer leurs manœuvres par tous les moyens objectifs, en se basant sur les vérités historiques, les documents et informations exactes qui dévoilent la perfidie et la désinformation de tous ceux qui attentent à l’Algérie, à ses symboles historiques et révolutionnaire et à la solidité, la cohésion et la synergie entre son peuple et ses institutions, au premier rang desquelles figure l’institution de l’Armée nationale populaire».

    Cette opération, poursuit le ministre, menée par les médias nationaux des deux secteurs est confortée par «la contribution des ulémas et des spécialistes algériens et internationaux connus par leur intégrité intellectuelle et leur compétence scientifique dans divers domaines».

    Quant à la consolidation des médias institutionnels et électroniques, Belhimer a rappelé que cette question figurait au titre des priorités dans le programme du président de la République, citant la réalisation jusqu’à présent de plusieurs chaînes télévisées thématiques et institutionnelles, à l’instar de «El Maarifa», «Edhakira», «Echababiya» et prochainement «El Barlamania», en attendant de créer une chaîne internationale.

    La mise en place d’une chaîne internationale répond à plusieurs objectifs, dont «le raffermissement des liens d’appartenance à la patrie, à travers une presse nationale professionnelle et intègre qui diffuserait des programmes et des informations, dans divers domaines, liées essentiellement à l’Algérie, une riposte à la matière médiatique exposée actuellement à la diffamation et à la propagande médiatique par des chaînes haineuses et des plumitifs stipendiés».

    Il s’agit également de «veiller à remplir le vide et la pénurie d’information que résumerait l’ignorance de certaines parties au sujet de l’Algérie et contribuer à la promotion de la destination Algérie et de ses atouts d’investissement».

  • Algérie- Automobile: Vers un autre cahier des charges

    Algérie- Automobile: Vers un autre cahier des charges

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    par Belkacem Bellil

    Trois mois après les changements apportés au dernier cahier des charges relatif à l’activité de concessionnaire automobile, c’est de nouveau le retour à la case amendement et modifications.

    C’est ce qu’on apprend, de source bien informée, qui nous fait état de l’élaboration d’un projet de décret exécutif modifiant le décret exécutif n°20-227 du 19 août 2020 fixant les conditions et les modalités d’exercice de l’activité de concessionnaire de véhicules neufs.

    Un texte a été préparé à cet effet par le nouveau ministre de l’Industrie et soumis aux départements ministériels concernés pour enrichissement et examen dans le fond et dans la forme.

    Si, peu d’informations circulent au sujet des modifications qui seront apportées à ce document fondateur, il serait d’ores et déjà attendu que cette énième révision ne concernerait que trois points. Il s’agirait de la mise en conformité de ce texte réglementaire avec les dispositions de la loi de finances complémentaire de juin 2021.

    Rappelons que dans la loi de finances annuelle 2021 et dans son article 139, il était clairement stipulé que les «sociétés commerciales comportant un ou plusieurs associés étrangers exerçant l’activité d’importation de matières premières, produits et marchandises destinés à la revente en l’état doivent se conformer à ces règles (ndlr, la règle 51/49) avant le 30 juin 2021. Passé ce délai, les extraits du registre non conformes deviendront sans effet».

    Une disposition qui a été ainsi revue dans le cadre de la loi de finances complémentaire 2021, par la suppression de la date butoir et le retour au contenu de l’article 50 de la loi de finances complémentaire de 2020. Autrement dit, des dispositions qui ne concerneront désormais que les sociétés de nouvelle création et sans effet rétroactif pour celles qui activent déjà.

    Il est à noter que l’interdiction pour les étrangers de postuler à cette activité sans une association avec des nationaux, était actée dans le décret exécutif n°226 du 19 août 2020 préparé par l’ancien ministre de l’Industrie, Ferhat Aït Ali. Cette première version du cahier des charges réservait l’accès à l’activité de concessionnaire aux nationaux résidents, à l’exclusion des étrangers et même des membres de la diaspora. Ce qui avait provoqué à l’époque une forte contestation de la part de ces derniers.

    Et au-delà des nationaux non résidents, cette disposition avait lourdement impacté, notamment les filiales des groupes automobiles étrangers dont la présence en Algérie date, pour certains, depuis plus de 25 années. Leur disqualification du secteur ainsi que celle des anciens concessionnaires nationaux avait, également suscité l’inquiétude des clients quant à une détérioration prévisible de la qualité des prestations dans le domaine avec l’arrivée de nouveaux opérateurs. Une situation qui est aujourd’hui vérifiable sur le terrain avec l’abandon des automobilistes à leur sort au détriment, pourtant, des obligations contractuelles au moment de la vente des véhicules liées essentiellement à la garantie et la disponibilité d’un service après-vente performant et efficace. Signalons qu’au cours du Conseil des ministres du 9 août 2020, concernant entre autre le secteur automobile et la préparation du cahier des charges des concessionnaires, le président de la République avait précisé qu’un «texte séparé devrait être pris s’agissant des étrangers». Les deux autres points qui seraient visés par cette révision, se rapportent pour le premier, au service après-vente, et pour le second au sujet des quotas. Cette dernière condition a été stipulée dans l’article 3 du décret 20-227 du 19 août 2020 et devrait ainsi être abandonnée pour être gérée le cas échéant, par le ministère du Commerce.

    Dans l’attente de plus de détails sur cette modification du cahier des charges, la scène automobile nationale demeure pour l’heure, plombée par les évènements douloureux qui ont secoué le pays ces derniers temps et tenu en haleine par les annonces contradictoires et les fausses promesses relatives à la délivrance des agréments.
    Pour le reste, l’année blanche se confirme bel et bien.

    B. Bellil

    Le Soir d’Algérie, 01/09/2021

  • Algérie : Le baptême du feu d’Aïmene Benabderrahmane

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    «Plan d’action» du gouvernement : Le baptême du feu d’Aïmene Benabderrahmane

    Sans jeu de mots par rapport aux circonstances tragiques que le pays vient de connaitre récemment durant les gigantesques incendies qui ont ravagé nos forêts et une partie importante de notre économie locale, en Kabylie particulièrement, le «plan d’action» soumis par le Premier ministre et ministre des Finances au Conseil des ministres – en prévision d’un débat au Parlement – le met en situation de combat contre de vieux obstacles et une crise nationale des plus sévères.

    Par Lyes Sakhi

    Le Conseil des ministres extraordinaire de lundi, 30 août, semble s’être passé comme le moment véritable pour le Premier ministre d’entrer dans le vif du sujet que lui a soumis le chef de l’Etat Abdelmadjid Tebboune, en le nommant à la tête de la primature le 30 juin 2021.

    Durant les trois mois qui se sont écoulés depuis son arrivée au Palais du gouvernement, Aïmene Benabderrahmane a dû surtout constater les difficultés de l’Exécutif, le sien, à riposter à la crise sanitaire dont le pic et le bilan de juillet ont ébranlé le dispositif anti-covid et à combattre les feux qui ont dramatiquement ravagé les forêts du pays, particulièrement en Kabylie.

    Depuis deux jours, outre la réflexion à laquelle il a dû être incité durant ces grandes épreuves, dont les conséquences resteront lourdes à gérer – c’est vrai en particulier pour la catastrophe majeure qui a détruit tout un patrimoine écologique et économique en Kabyle -, il est officiellement porteur devant les Algériens d’un «Plan d’action» qu’il soumettra bientôt au Parlement.

    Amorcer une sortie de la crise multidimensionnelle

    On n’en connait que les grands axes – huit selon le communiqué du Conseil des ministres – mais on sait au moins que la logique qui les soutient est d’amorcer une sortie de la crise multidimensionnelle dans laquelle se trouve le pays. Il est question de «consolidation de l’Etat de droit et de gouvernance rénovée», d’«identité nationale de Mémoire», de «relance économique», de «défense», de «cyber défense» et de «politique étrangère» : des noms de dossiers et de chantiers dont certains sont déjà en cours à l’exemple de «la modernisation de la justice et du renforcement de son indépendance», de la «gouvernance rénovée (…) pour une moralisation de la vie publique et de lutte contre la corruption» ou de la «réforme (…) de l’administration publique».

    Ceux-ci comme d’autres, à l’exception peut-être des développements qu’on observe en politique étrangère pour laquelle un effort et un engagement plus marqués sont annoncés par le chef de l’Etat et son chef de la diplomatie, Ramtane Lamamra, étaient déjà au cœur du débat et des interrogations de l’opinion nationale quand le gouvernement Djerad était encore aux affaires. Il s’agit, alors pour celui que dirige aujourd’hui Aïmene Benabderrahmane, de les accélérer ou d’y produire les orientations qui ont manqué pour les renforcer et les réussir, notamment en matière de «relance économique», une impulsion que tout le monde attend après le lourd impact sanitaire sur les revenus générés par les hydrocarbures, véritable carburant du pays, et sur l’entreprise d’une manière générale.

    Pour s’attaquer à ce front, un vrai baptême pour le Premier ministre et argentier du pays, les données disponibles ne sont pas toutes rassurantes – un marché énergétique encore hésitant et toujours menacé par la baisse des prix malgré la relative embellie du premier trimestre 2021, des caisses de l’Etat dont la ressource ne correspond que très difficilement aux besoins et à la dépense publique, un réseau entrepreneurial et industriel en panne ou frappé d’épuisement, des sociales importantes-, mais il y a, en face, des indications de résilience – des réserves de change encore relativement importantes – et des initiatives qui, si elles sont courageusement et efficacement portées, devraient redonner quelques couleurs au climat des affaires.

    Une impulsion économique que tout le monde attend

    Parmi elles, lit-on ou rappelle-t-on plutôt, à travers les grands axes du «Plan d’action» annoncé, la «modernisation du système bancaire et financier», la «garantie de la stabilité juridique et institutionnelle» qui est restée pendant plus de deux décennies le maillon faible de l’environnement des investissements, lequel souffre aujourd’hui dans son volet «gestion» d’une tentation de «judiciarisation» et de pénalisation tous azimuts de l’acte de gestion contre laquelle le chef de l’Etat vient de mettre en garde le département de la Justice via le ministère de l’intérieur, lundi 30 août.

    Le pays enregistre ces derniers mois «un recul de la cadence des investissements qui se traduit par l’hésitation des investisseurs à entamer des projets à cause des lenteurs dans le traitement des dossiers relatifs à l’investissement local». La peur de «poursuites judiciaires» empêche les responsables de signer les documents nécessaires au démarrage des projets, lit-on dans l’instruction présidentielle. Cette situation a «grandement influé sur la relance de l’économie nationale et freiné son affranchissement progressif des hydrocarbures, ainsi que la création d’emplois pour les jeunes», trouve-t-on encore dans ce document adressé aux walis et aux responsables locaux.

    Dans le «plan d’action», figurent également des desseins poursuivis depuis avant l’arrivée d’Aïmene Benabderrahmane à la Primature comme la qualité de la santé et de l’enseignement à tous les niveaux, la disponibilité de l’eau (l’objectif est d’augmenter les capacités nationales de stockage de 10 milliards m3 à 12 milliards m3), le «renforcement de l’intégration du secteur parallèle dans les canaux officiels», le «développement du foncier économique et l’amélioration de son exploitation», la «modernisation du secteur agricole, de la pêche et développement des zones rurales», ainsi que la «promotion de l’industrie pharmaceutique» ; un secteur parmi les plus prometteurs où il existe de véritables petits champions qu’il convient d’appuyer, notamment sur le plan de la dépénalisation de la gestion et de la réglementation des changes comme le montre depuis des mois la triste affaire Merinal.

    Reporters, 01/09/2021

  • Delawarde: L’Algérie ciblée par une guerre de 4ème génération

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    Un général français l’a confirmé dans une étude : L’Algérie ciblée par une guerre de quatrième génération

    Le général Dominique Delawarde n’est pas n’importe qui. Mieux. Il est, sans doute, le haut responsable militaire le mieux placé, de par ses hautes fonctions passées et les liens historiques qui lient Alger à Paris, pour évoquer cette question sensible et délicate en connaissance de cause. Il est en effet ancien chef «Situation-Renseignement-Guerre électronique» à l’État major français interarmées de planification opérationnelle.

    Impressionnant, n’est-il pas vrai ! Mais, lorsque c’est ce même haut responsable qui bâtit une seconde étude sur celle de l’algérien, Ahmed Bensaâda, toute ce presse « au-dessus de tout soupçon », ne peut que mettre un terme à sa tacite censure de ce professeur émérite.

    Le général Dominique Delaware écrit ceci en épiloque de son étude dont un lien est donné à la fin de cet article, ainsi qu’un autre vers celui de La Patrie News : « L’auteur, Ahmed Bensaada n’est pas n’importe qui. D’origine algérienne, il a émigré au Canada il y a plus de vingt ans après avoir tenu des postes importants dans son pays d’origine à l’université d’Oran.

    Professeur émérite, docteur en physique, consultant scientifique et pédagogique, auteur de manuels scolaires et de nombreux articles et ouvrages. Ahmed Bensaada récolte les hommages, mentions, certificats et prix de toutes sortes dont le prix du premier ministre en 2006 ».

    Avis, donc à tous ces « médias libres et indépendants » qui ont bannit de leur lexique le nom de ce professeur qui fait la fierté de l’Algérie d’abord, et qui a été le premier tirer la sonnette d’alarme sur cette guerre « cybernétique » déclenchée contre l’Algérie ensuite.

    En bon militaire qu’il est, le général Delaware va droit au but. S’aidant de très peu de textes, il inclut dans son étude des liens vers des vidéos qui éclairent d’un jour nouveau des affaires emblématiques, venues prouver de manière percutante que l’internet est bel et bien devenu une redoutable arme de guerre.

    Pire. En certains cas de figures, c’est même une ADM (arme de destruction massive). Graphica, cette ONG utilisée contre l’Algérie en « appoint » au hirak dévoyé, a mené un travail de sape en profondeur dont un des résultats directs est peut-être l’assassinat odieux et barbare de Djamel Bensmaïl.

    Actuellement, le « néo-hirak » incarne une dangereuse et criminelle jonction entre les mouvements terroristes que sont le MAK et Rashad. L’affaire Alstom, elle, montre de quelle manière un puissant et riche allié peut se retrouver du jour au lendemain sur le banc des accusés, voire carrément dans une prison américaine de haute sécurité.

    Dans le cas qui nous intéresse, et nous inquiète surtout, lorsque l’entité sionite, aidée en cela par le Maroc, il ya bel et bien lieu de se montrer plus vigilant et d’œuvrer plus que jamais à renforcer son front intérieur.

    Le scandale Pegasus, espionnage marocain à très grande échelle mené contre des opposants, des journalistes, des militants sahraouis et des responsables algériens à l’aide d’un logiciel fourni par l’armée sioniste, est là pour renforcer nos appréhensions ainsi que notre vigilance.

    Mohamed Abdoun

    La Patrie News, 1/09/2021

  • Air Algérie : Prix des billets

    Air Algérie: Une folle augmentation des prix des billets

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    Critiquée pour ses tarifs jugés excessifs par ses clients, Air Algérie se défend et affirme que les prix de ses billets restent largement en dessous de ses concurrents.

    Selon les déclarations faites par la compagnie à l’Agence de presse algérienne, les tarifs des billets d’avion appliqués par la compagnie aérienne nationale, Air Algéri sont les moins chers comparés aux tarifs proposés par ses concurrents sur les mêmes destinations qu’elle dessert. Cependant les tarifs des billets révèlent une réelle envolée des prix en comparaison avec ceux pratiqués avant la fermeture des frontières en mars 2020.

    Les nouveaux prix des billets sont nettement supérieurs au salaire moyen de l’Algérien. Selon les données de la compagnie, Air Algérie aurait proposé durant le mois d’août les prix les moins chers par rapport aux compagnies méditerranéennes pour ce qui est des vols reliant l’Algérie aux autres capitales.

    Ainsi, pour la destination France, Air Algérie proposait, selon ses données, le billet Alger-Paris à 45.240 DA, pour u aller simple alors que le prix du même billet chez Air France est cédé à 60.107 DA, tandis que la compagnie ASL Airlines (France) le propose à 70.500 DA, selon la même source. En France, le même billet (aller simple) depuis Paris vers Alger est vendu à 471 euros par Air Algérie, 763 euros par Air France et 480 euros par ASL Airlines.

    Selon ces données fournies par la compagnie elle-même, un billet aller-retour coûterait à un voyageur pas moins de 125.000 DA au taux du change officiel ! Pour la destination Espagne, le billet Alger-Barcelone de la compagnie nationa e est de 22.400 DA contre 58.510 DA chez la compagnie espagnole Vueling Airlines. Les billets d’Air Algérie supérieurs au SNMG

    À partir d’Espagne, un billet en aller simpl Barcelone-Alger est cédé à 268 euros chez Air Algérie, contre 463 euros chez Vueling Airlines, selon les données de la compagnie nationale. Ce qui coûterait aux voyageurs pas moins 65.000 DA au taux du change officiel. Idem pour l’Italie vers laquelle les billets d’Air Algérie sont fixés à 30.660 DA pour un Alger-Rome en aller simple, contre 42.560 DA chez Alitalia.

    Celui de Rome- Alger, en aller simple, est, quant à lui, proposé à 342 euros par Air Algérie, contre 554 euros par Alitalia. Cela signifie qu’un voyageur paierait un aller-retour supérieur à 85.000 DA. S’agissant des tarifs des billets en aller-retour, le même constat est enregistré, car un Alger- Frankfurt est proposé à 38.680 DA chez Air Algérie, contre 69.213 DA chez Lufthansa.

    Pour la Turquie, le billet Alger- Istanbul en aller-retour coûte 46.010 DA chez Air Algérie, contre 136.615 DA (1.012 dollars) chez Turkish Airlines. À partir d’Istanbul, le billet est proposé à 520 dollars par Air Algérie, contre 1.458 dollars par Turkish Airlines. Alger-Tunis coûte 22.865 DA chez Air Algérie, contre 24.635 DA chez Tunis Air, tandis qu’à partir de la Tunisie, le prix est fixé à 372 dinars tunisiens (TND) par Air Algérie et 602 dinars tunisiens par Tunis Air. Air Al érie fait valoir que sa franchise bagage est de 30 kg par passager, contre 23 kg/passager pour les autres compagnies étrangères, hormis Vueling Airlines, dont la frnchise bagage est de 25 kg/passager.

    Le Midi Libre, 1/09/2021

  • Algérie: Les grandes lignes du plan d’action du gouvernement

    Algérie: Les grandes lignes du plan d’action du gouvernement

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    Le conseil des ministres, réuni hier sous la présidence du président, Abdelmadjid Tebboune, a adopté le plan d’action du gouvernement. Ce document devant être soumis, dans les jours à venir, au Parlement, dont la nouvelle session sera ouverte, début septembre, devra, selon l’exposé fait lors de cette réunion par le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, mettre en œuvre le programme du chef de l’Etat dans ses 54 promesses, qui repose sur cinq axes selon une approche participative.

    Sur le plan du renforcement de l’Etat de droit et du renouvellement de la gouvernance, la copie du premier ministre porte sur quatre axes: La modernisation de la justice et le renforcement de son indépendance conformément à la Constitution, l’établissement de la gouvernance renouvelée pour plus de performance et de transparence et la poursuite de la moralisation de la vie publique ainsi que la lutte contre la corruption.

    Le plan du gouvernement prévoit aussi la réforme et l’organisation de l’administration publique à travers la révision de ses modes de gestion dans le cadre de la transformation numérique, ainsi que la consolidation, le renforcement et la protection de l’identité et de la mémoire nationale.

    S’agissant de la relance et de la rénovation économiques, le gouvernement table sur la modernisation du système bancaire et financier, la réforme du secteur public commercial et la gouvernance des institutions publiques. Il compte aussi améliorer l’attraction du climat d’investissement et assurer la stabilité juridique et institutionnelle.

    Ce plan d’action prévoit également la réforme du guichet unique en élargissant ses pouvoirs pour jouer un rôle réel en offrant des services aux investisseurs, la promotion de l’intégration de l’informel, le développement du foncier économique et l’amélioration de son exploitation.

    Du même, le gouvernement compte encourager l’initiative en levant la criminalisation de l’acte de gestion, la modernisation du secteur de l’agriculture, de la pêche et du développement des zones rurales, et la promotion de l’industrie pharmaceutique à travers le soutien au développement industriel du secteur et la promotion de la production locale des médicaments.

    A cela, l’exécutif ambitionne de créer les conditions pour le lancement d’une véritable industrie cinématographique et d’assurer l’approvisionnement en eau aux citoyens sur tout le territoire national, en reliant les barrages à l’exploitation des eaux souterraines et en entretenant les réseaux. Le troisième axe porte sur le développement humain et la politique sociale.

    Dans ce domaine, le gouvernement promet de développer le système de santé, améliorer la qualité de l’enseignement, assurer la qualité de l’enseignement supérieur et la formation professionnelle et les adapter aux exigences du marché du travail. Il s’engage aussi à améliorer et à soutenir le pouvoir d’achat, ainsi que la prise en charge des catégories sociales les plus fragiles. Le plan d’action contient aussi des axes concernant la politique étrangère et un autre sur le renforcement de la sécurité et de la défense nationale.

    « Lors de son intervention, le Président de la République a insisté sur l’importance de ce plan pour incarner les obligations qu’il a contractées au peuple algérien, en particulier : La nécessité de contrôler l’inflation et de lever le plafond des objectifs de développement 2021/2022 ; inclure l’allocation de chômage et sa valorisation dans le plan d’action du gouvernement ; augmentation des capacités nationales de stockage de l’eau de 10 milliards à 12 milliards de mètres cubes », indique le même communiqué.

    Enrichissement des lois sur l’information et l’audiovisuel

    Le Conseil des ministres a adopté également un projet d’ordonnance modifiant certaines dispositions du code communal afin de les harmoniser avec le nouveau régime électoral, notamment dans ses aspects liés au président de l’Assemblée populaire communale et ses adjoints. S’agissant des lois sur l’information et l’audiovisuel, le chef de l’Etat a demandé leur enrichissement en associant les deux chambres du Parlement.

    Samir Rabah

    L’Est Républicain, 31/08/2021

  • Prix des billets : Air Algérie défend sa politique tarifaire

    Prix des billets : Air Algérie défend sa politique tarifaire

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    Critiquée pour ses tarifs jugés trop chers par ses clients, Air Algérie se défend et affirme que les prix de ses billets restent largement en dessous de ses concurrents.

    Les tarifs des billets d’avion appliqués par la compagnie aérienne nationale, Air Algérie, sont les moins chers comparés aux tarifs proposés par ses concurrents sur les mêmes destinations qu’elle dessert, a-t-on appris auprès de la compagnie.

    Selon les données obtenues de la compagnie, Air Algérie aurait proposé durant le mois d’août les prix les moins chers par rapport aux compagnies méditerranéennes pour ce qui est des vols reliant l’Algérie aux autres capitales.

    Ainsi, pour la destination France, Air Algérie propose, selon ses données, le billet Alger-Paris à 45.240 Da, pour un aller simple alors que le prix du même billet chez Air France est cédé à 60.107 DA, tandis que la compagnie ASL Airlines (France) le propose à 70.500 Da, selon la même source.

    En France, le même billet (aller simple) depuis Paris vers Alger est vendu à 471 euros par Air Algérie, 763 euros par Air France et 480 euros par ASL Airlines.

    Pour la destination Espagne, il suffit de payer 22.400 Da chez la compagnie nationale, contre 58.510 Da chez la compagnie espagnole Vueling Airlines, pour un billet Alger-Barcelone en aller simple.

    A partir d’Espagne, un billet en aller simple Barcelone-Alger est procuré à 268 euros chez Air Algérie, contre 463 euros chez Vueling Airlines, selon les données de la compagnie nationale.

    Idem pour l’Italie vers laquelle les billets d’Air Algérie sont fixés à 30.660 Da pour un Alger-Rome en aller simple, contre 42.560 Da chez Alitalia. Celui de Rome-Alger, en aller simple, est, quant à lui, proposé à 342 euros par Air Algérie, contre 554 euros par Alitalia.

    S’agissant des tarifs des billets en aller-retour, le même constat est enregistré, car un Alger-Frankfurt est proposé à 38.680 Da chez Air Algérie, contre 69.213 Da chez Lufthansa.

    Pour la Turquie, le billet Alger-Istanbul en aller-retour coûte 46.010 DA chez Air Algérie, contre 136.615 da (1.012 dollars) chez Turkish Airlines.

    A partir d’Istanbul, le billet est proposé à 520 dollars par Air Algérie, contre 1.458 dollars par Turkish Airlines.

    Alger-Tunis coûte 22.865 da chez Air Algérie, contre 24.635 da chez Tunis Air, tandis qu’à partir de la Tunisie, le prix est fixé à 372 dinar tunisien (TND) par Air Algérie et 602 dinar tunisien par Tunis Air.

    A signaler également que la franchise bagage d’Air Algerie est de 30 Kg par passager, contre 23 kg/passager pour les autres compagnies étrangères, hormis Vueling Airlines, dont la franchise bagage est de 25 kg/passager, selon les mêmes données.

    La Nation, 31/08/2021

  • Algérie : Le procès de Houda Feraoun reporté au 20 septembre

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    Le procès de Houda Feraoun a été reporté au 20 septembre 2021. L’ancienne ministre des Télécommunications est la première femme à comparaître pour corruption en qualité d’ex-ministre devant le tribunal de Sidi-M’hamed.

    Elle figure également parmi les anciennes personnalités dont l’arrestation, le 8 décembre 2020, a fait beaucoup de bruit. Sa mise sous mandat de dépôt lui a été signifiée de nuit par un juge d’instruction qui venait de l’écouter sur les dossiers Huawei et ZTE.

    Houda Feraoun sera jugée pour infraction à la législation, octroi d’avantages non justifiés à autrui lors de passassion de marchés, dilapidation de deniers publics et mauvaise utilisation de la fonction. Elle est poursuivie avec six autres personnes, d’anciens hauts cadres des télécommunications et les deux sociétés chinoises, ZTE Algérie Eurl et Huawei Télécom Algérie. De lourdes charges pèsent également sur ces entreprises. Elles seront jugées pour obtention d’avantages délivrés par une autorité, exercices d’influence sur des fonctionnaires publics en vue d’obtenir des avantages dont la révision des délais de finition de projets et participation à la dilapidation des deniers publics.

    En 2016, Huawei et ZTE ont bénéficié d’importants marchés par lesquels l’Algérie visait à obtenir l’amélioration du débit internet et de la couverture du net à travers le pays. L’ambitieux projet vise à connecter 85% des foyers algériens. 250 000 utilisateurs doivent être raccordés à la fibre optique internet à haut débit et la mise en exploitation de près de deux millions de lignes FTTH-FTTX à travers cinq wilayas Alger, Oran, Constantine, Tizi-Ouzou, Ouargla et prolonger le raccord avec 66 zones industrielles. Ce projet n’a cependant été réalisé qu’à 19% (199 000 lignes) avec le partenaire Huawei et 11% (110.238 lignes) avec la société chinoise ZTE. Un budget de 73 millions de dollars avait été alloué uniquement pour l’installation d’un million de lignes.

    Les résultats de l’enquête menée autour du dossier concluent à l’existence de nombreux dépassements et évoquent l’existence de « preuves et documents irréfutables » mettant en cause l’ancienne ministre des Télécommunications. L’affaire commence en 2016. Houda Feraoun, alors âgée de 36 ans, figure parmi les ministres les plus en vue, elle symbolise la réussite, clame ses aspirations, celles de moderniser le domaine des TIC. Très vite, elle se distingue du reste des membres du gouvernement et obtient une place privilégiée auprès des hommes forts du moment qui lui accordent leur confiance. Son intelligence et sa force de caractère sont deux critères qui lui valent l’ascension, dit-on autour d’elle. Le 8 décembre 2020, elle comparaît cependant défaite devant le juge d’instruction.

    Houda Feraoun se trouve au tribunal de Sidi-M’hamed où elle sera placée sous mandat de dépôt au terme d’un long interrogatoire durant lequel elle nie en bloc tous les faits qui lui sont reprochés. Elle affirme notamment ne s’être jamais réunie avec les représentants de Huawei et de ZTE au siège du ministère.

    Les témoignages recueillis durant les investigations menées attestent toutefois le contraire. Kebbal Tayeb, ex-DG d’Algérie Télécom, déclare aux enquêteurs avoir été présent avec un certain nombre d’autres personnes durant cette rencontre. Parmi les présents, dit-il, se trouvait la ministre elle-même, l’ex-DG de Mobilis, ainsi qu’une délégation de Huawei. La réunion porte sur les projets de modernisation et d’extension de la couverture du net à travers le pays. Kebbal Tayeb affirme également avoir reçu instruction (de Houda Feraoun) d’entamer des négociations avec Huawei pour la réalisation du million de lignes FTTH-FTTX. Lors de ses déclarations, il affirme avoir reçu un appel téléphonique de la ministre (trois jours plus tard) qui désirait savoir si les négociations avaient été entamées. La réponse négative de l’ancien DG d’Algérie Télécom la fâche. Une confrontation entre Kebbal Tayeb et Houda Feraoun est organisée chez le juge d’instruction, l’ancienne ministre revient à ce moment sur ses propos et déclare cette fois qu’elle ne se souvient pas de cet événement et atteste qu’elle n’avait pas pour habitude de recevoir des représentants de ce genre de sociétés étrangères ni privées du reste.

    D’autres témoignages viennent cependant la contredire. Ils sont contenus dans une correspondance du SG du ministère des P et T et dans les propos de l’ancien DG de Mobilis qui confirme toutes les déclarations de l’ancien DG par intérim d’Algérie Télécom. Les enquêteurs se penchent également sur le registre des visiteurs et découvrent les noms des personnes qui composaient la délégation Huawei en visite au ministère à la date où s’est tenue la fameuse réunion. Dans leurs conclusions, les enquêteurs font également état de grosses irrégularités constatées dans la passation de ces marchés puisqu’ils ont été passés sans appel d’offres national ou international, sans établissement de cahier des charges, en recourant à la pratique du gré à gré, absence d’études préalables avant l’octroi des marchés, et sans l’évaluation ni proposition concurrente.

    Les enveloppes budgétaires dépensées sont pourtant très lourdes et avoisinent les 36 milliards de DA. Les contrats passés entre Algérie Télécom et ZTE ont été établis sur la base d’instructions données par Houda Feraoun, notent encore les enquêteurs, leur financement s’élève à 73704897.88 dollars 24,483 863 360 07 DA. Le coût du contrat passé entre Algérie Télécom et ZTE n’est pas des moindres non plus, il s’élève à 30 776 587 240 DA. Il y a plus grave encore puisque l’enquête a fait ressortir le fait qu’après deux années, les factures présentées par Huawei représentaient uniquement 21,05% de la somme débloquée. Les conclusions auxquelles sont parvenus les enquêteurs de l’Office de répression de la corruption ont aussi leur importance. On apprend ainsi que les marchés ont été octroyés en contradiction avec les instructions du Premier ministère (Sellal était en poste à cette époque) qui avait adressé des correspondances sommant le ministère des Télécommunications au respect de toutes les règles établies en matière de passation de contrat.

    De nombreux autres détails seront révélés durant le procès qui pourrait toutefois être reporté à une autre date. Traditionnellement, lors de la première comparution, les demandes de report des avocats sont systématiquement acceptées par le président du tribunal, afin d’accorder au collectif de défense un délai supplémentaire pour l’étude des documents.

    Avec Le Soir d’Algérie, 30/08/2021

  • L’Algérie et ses Talibans cachés

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    par Slimane Laouari

    Les Talibans reprennent le pouvoir en Afghanistan. En dehors de Daesh qui vient de l’exprimer à sa manière et avec ses moyens, il ne doit pas y avoir beaucoup d’entités politiques à exprimer aussi clairement et avec autant d’ostentation leur… bonheur que les islamistes algériens. Ce qui est « bien »— en tout cas accommodant — chez les islamistes, avec mention spéciale pour ceux d’Algérie, c’est qu’ils manquent rarement de cohérence.

    Quand il s’agit de s’exprimer sur les questions fondamentales, ils sont ainsi… sans surprise. Pas seulement s’exprimer mais aussi agir en conséquence quand ils ont la logistique opérationnelle, les troupes suffisantes et une conjoncture nationale, régionale ou internationale favorable.

    L’un impliquant l’autre, ils ne vous laissent, par contre, aucune illusion sur le sens de leurs sporadiques accès de tiédeur et sur les raisons qui les ont motivés. Ils peuvent faire le dos rond et conclure quelques alliances de conjoncture qui ne devraient pas leur ressembler. Mais ils n’omettent jamais de faire savoir à leurs adversaires que ceci n’est pas bien sérieux.

    Quant à leurs ouailles et leurs vrais alliés, ils les rassurent : dans le pire des cas, c’est une épreuve à passer. Dans le meilleur, c’est une autre ruse qui conforte leur entrisme, depuis un temps consacré comme modus operandi politique.

    Ainsi, non seulement ils ne cèdent rien sur l’essentiel mais entretiennent en même temps l’illusion qu’ils peuvent s’inscrire dans les idées que tout le monde leur dénie, du moins leur conteste. Parmi ces idées, il y a la plus importante : l’engagement à respecter le jeu démocratique.

    Mais les islamistes, il faudra peut-être les remercier pour ça, ne vous laissent jamais le temps de vous enflammer : ils sont démocrates mais… dans la foulée, ils veulent appliquer la Charia !

    À leur décharge également, il y a beaucoup de monde à les aider pour ce faire en Algérie. Le système politique avec tous ses régimes a souvent empêché leur arrivée au pouvoir plutôt que combattu leur projet, l’opposition démocrate leur trouve cycliquement des vertus et la société a fini par se ranger à leur gestion de la vie publique qui leur a été entièrement livrée pour usufruitier dans un deal tacite avec les gouvernants.

    En l’occurrence, il faut avouer qu’ils n’ont pas d’alliés mais souvent des… ralliés, sans jamais rien demander à personne. Dans ces conditions, il n’est pas étonnant de les voir engagés dans la surenchère démocratique, évoquer les droits humains comme leur combat et… dénoncer la violence comme moyen d’action politique, de conquête du pouvoir et de gestion de la Cité.

    Et comme toujours, ils vous obligent tout de suite à l’apnée. Vous n’avez pas le temps de souffler et les voilà heureux de voir les… Talibans revenir aux affaires !

    Tout le monde a vu comment les Afghans sont aussi heureux. Tellement heureux que, terrorisés à l’idée de voir s’installer le nouveau pouvoir, ils l’ont fait savoir en s’accrochant aux ailes des avions comme des naufragés tentant d’attraper une bouée dérisoire.

    Le Soir d’Algérie, 29/08/2021