Catégorie : Algérie

  • Algérie/ Karim Tabbou : L’extrémisme sous sa forme la plus vile

    L’incident qui s’est déroulé, dans le cimetière de Ben Aknoun, au cours des funérailles de Ali Yahia Abdennour, continue de faire l’objet de débat dans la société. Aujourd’hui, les avis des uns et des autres divergent, mais tous s’accordent à dire qu’un seuil dangereux de l’intolérance a été franchi. Karim Tabbou, le leader politique a cédé devant Karim tabbou le populiste prêt à instrumentaliser, sans aucun remord, n’importe quel événement pour occuper les devants de la scène. En s’attaquant à Lazhari Bouzid, le président du Conseil national des droits de l’Homme, d’une manière virulente et à la limite voyou, Karim tabbou a dévoilé le côté sombre du personnage politique qu’il a joué durant des années. Certes, il compte des années d’expérience dans la chose politique, mais l’incident qu’il a provoqué l’a montré dans sa véritable nature d’opportuniste prêt à pactiser aussi bien avec Rachad qu’avec le Mak ou tout autre mouvement subversif porteur de graves dangers pour le pays.

    Karim Tabbou et malgré les explications qu’il a tenté d’apporter pour justifier sa réaction a altéré le capital sympathie qu’il avait auprès de larges franges de la société, notamment des jeunes. Les commentaires puisés de sa page laissent supposer que l’incident de Ben Aknoun a été la mise à nu d’un aventurier politique prêt à tout tenter pour se construire un destin national. Le danger pour le pays réside dans ce genre d’individus qui, sous le masque d’un démocrate convaincu se cache en réalité un populiste, un intolérant et un extrémiste. En se livrant à une scène des plus désolantes dans un lieu où devraient s’effacer toutes les différences, ethniques sociales, ou politiques, il a versé dans une grave dérive et ouvert la voie toute grande devant l’inconnu. Lazhari Bouzid a affirmé qu’il ne passera pas l’éponge sur l’incident et qu’il compte recourir à une plainte au niveau de la justice contre le président de l’UDS.

    Mais force est de reconnaitre qu’en versant dans un populisme portant de graves dangers pour le pays et la société, Karim Tabbou fait finalement le jeu du MAK et de Rachad qui sont des organisations financées pour justement porter atteinte à la stabilité et l’intégrité du pays. En leur empruntant leur extrémisme, il n’a fait que leur lancer un appel du pied, ce qui est grave pour une personnalité politique qui avait pourtant toutes les prédispositions pour un destin national, mais qui s’est finalement « sabordé » en s‘attaquant, à la manière des voyous, à un représentant d’une institution de la République.

    Slimane B.

    Le Courrier d’Algérie, 30 avr 2021

    Etiquettes : Algérie, Karim Tabbou, cimetière de Ben Aknoun, Ali Yahia Abdennour,

  • Algérie : « Nous avons été victimes de complots en Kabylie » (Abderrazak Makri)

    ABDERRAZAK MAKRI, PRÉSIDENT DU MSP : « Nous avons été victimes de complots en Kabylie »

    Le président du mouvement de la société pour la paix, Abderrazak Makri, a déclaré que son parti a réussi à collecter plus de 95 500 signatures dans 56 wilayas dans le pays et 4 régions à l’étranger, aussi il a déposé 80 000 formulaires de candidature ce qui fait de lui à la tête des participants aux prochaines législatives. Également et dans ce cadre, Makri a appelé la classe politique, notamment les boycotteurs, à respecter le choix des participants.

    Lors d’une conférence de presse tenue hier au siège de son parti à EL Mouradia, le président du MSP a adressé un message aux personnes « non convaincues par les élections » et le processus du changement, qu’« il est impératif que le discours de la peur et de trahison entre les Algériens s’arrête », indiquant que « les citoyens sont libres de choisir de participer ou non aux élections et que leurs positions doivent être respectées comme on respecte celle des boycotteurs ». Affirmant dans ce cadre que l’avenir de la politique en Algérie est basé sur le pouvoir de l’État de construire des partis démocratiques qui respectent les uns et les autres.

    Précisant à ce sujet que lors de l’opération de la collecte des signatures, des difficultés ont été rencontrées par les adhérents du parti notamment dans la région de la Kabylie où aucune signature n’a été collectée. C’est le « même cas à Aïn Guezzam », signale-t-il. Dans ce sillage, Makri a déclaré que la wilaya de Tizi-Ouzou vit une étape non démocratique à cause des pratiques de l’ancien régime. « Ce qui a fait du MSP une victime. Nous avons été victimes des complots entre les services de sécurité et des forces politiques dans cette région à plusieurs occasions électorales, la dernière en 2017, nous avons collecté7 000 signatures à Béjaïa sans obtenir des sièges », a dénoncé Makri, une « atteinte au droit du MSP dans la région de la Kabylie». Revenant au sujet des listes de candidatures, le président du MSP a indiqué que 92% de ces candidats sont des universitaires et intellectuels, ajoutant que grâce à la parité, 460 jeunes adhérents dans le parti ont réussi à déposer leurs candidatures, précisant par ailleurs, que le choix des candidats était étudié selon le caractère de la compétitivité loin de l’utilisation de l’argent sale. Concernant la représentation féminine, Makri a fait savoir que le MSP croit toujours en la femme et lui a toujours consacré 30% des sièges.

    « Le MAK, une organisation terroriste, raciste et séparatiste »

    Abderrazak Makri a qualifié hier le Mouvement séparatiste MAK d’organisation « terroriste, raciste » et « agent de la France ». Pire encore, « ce mouvement plus que terroriste dicte ses lois sur la Kabylie et menace ses habitants. Il sème le chaos dans la région et personne ne l’arrête, notamment à Tizi-Ouzou », dénonce le chef du MSP.

    Situation sociale en ébullition

    Outre la conjoncture politique dans le pays, Makri a abordé, à la même occasion la situation sociale qui se caractérise, selon lui, par l’ébullition chez les travailleurs dans plusieurs secteurs à l’instar de l’Éducation, la poste, les impôts, le commerce, choisissant ce mois du Ramadhan pour mener des grèves afin de faire subir de la pression au pouvoir sans prendre en compte le simple citoyen, estime Makri.

    Pour lui, les causes de cet état de fait sont la dégradation du pouvoir d’achat et la non prise en considération des revendications soulevées, par les autorités. Pour le même politicien, il a appelé les responsables algériens à ouvrir un vrai dialogue qui sera « inclusif » avec le partenaire social pour étudier sérieusement les réclamations et répondre favorablement.

    Sarah Oubraham

    Le Courrier d’Algérie, 30 avr 2021

    Etiquettes : Algérie, MAK, Kabylie, séparatisme, racisme, terrorisme,


  • Algérie/Atteinte du Covid-19, Djamila Bouhired hospitalisée

    L’héroïne de la révolution de 1er novembre 1954, la Moujahida Djamila Bouhired, a été hospitalisée au CHU Mustapha Pacha à Alger suite à sa contamination par le Coronavirus. C’est ce qu’ont rapporté ses proches ce vendredi.

    « Atteinte du Covid-19, Djamila Bouhired est hospitalisée Mustapha d’Alger », a écrit le journaliste Arezki Ait Larbi sur sa page Facebook. « Âgée de 85 ans, diabétique et hypertendue Mme Bouhired n’a pas été vaccinée », déplore le journaliste qui précise que l’héroïne de la bataille d’Alger est « très affaiblie, et s’exprime avec difficulté ».
    Le journaliste a précisé que « l’icône de la révolution algérienne tient toutefois à saluer tous les jeunes résistants de « hirak », « honneur et avenir de ce pays ».
    Selon ses proches, Mme Bouhired a longtemps hésité à se faire vacciner.
    Or, récemment une équipe du ministère de la santé a été dépêchée à son domicile pour la vacciner mais atteinte d’un syndrome grippale qui s’est avéré, après un test PCR, une contamination au Coronavirus a contraint l’équipe en question à procéder à son hospitalisation immédiate.

    Condamnée à mort par la France coloniale pendant la lutte pour le libération de l’Algérie, Djamila Bouhired, est née à Alger, en 1935.
    Elle faisait partie du commando des six poseuses de bombes qui ont été condamnées à mort par la France coloniale durant la bataille d’Alger qui a duré de janvier à octobre 1957.

    Elle était l’assistante personnelle de Yacef Saâdi, le chef de le zone autonome d’Alger pendant la révolution .
    Djamila a déposé, le 30 septembre 1956, une bombe dans le hall d’Air France à la Place Maurétanie, à Alger l’engin n’a pas explosé.

    Blessée à l’épaule dans un accrochage, Djamila va être arrêtée en 1957 puis inculpée pour sa participation aux attentats, et enfin condamnée à mort le 15 juillet 1957. Elle reste en prison jusqu’à 1962, ou elle sera libérée dans le cadre les accords d’Evian.

    Bouhired rejoint le hirak du 22 février en 2019. Elle participe à plusieurs vendredis en dépit de son âge et de sa santé chancelante.

    Le Jeune Indépendant, 30 avr 2021

    Etiquettes : Djamila Bouhired, covid19, moudjahida,

  • Le chiffre d’affaires annuel de l’aéroport d’Alger a diminué de 60 % en 2020


    Le chiffre d’affaires annuel de l’aéroport d’Alger a diminué de 60% en 2020, par rapport à l’année précédente en raison de la pandémie Covid-19, au moment où il a perdu des recettes d’une valeur de 5,7 milliards de dinars, par rapport à 2019.

    Le directeur général de la Société d’administration et de gestion des installations de l’aéroport d’Alger, Taher Allache, a indiqué à l’APS que le chiffre d’affaires annuel de l’aéroport s’est stabilisé dans la fourchette de 3,7 milliards de dinars, contre 9,4 milliards de dinars durant l’année 2019, soit une différence de 5,7 milliards de dinars.

    Le directeur général de l’aéroport d’Alger estime que cet effondrement est dû à la décision d’arrêter les vols réguliers depuis le 17 mars 2020, décision approuvée par le gouvernement dans le cadre de la prévention de la pandémie Covid-19, et les vols intérieurs ont repris progressivement, à partir de début décembre 2020, à travers tous les aéroports du pays.

    « Dans ce contexte, plus de 418.000 passagers ont transité par l’aéroport d’Alger depuis le début de 2021, dont 94.000 sur les vols internationaux, « exclusivement dans le cadre des évacuations », alors que le nombre total de passagers de l’aéroport d’Alger a atteint 418.259 passagers de janvier à ce jour, répartis sur 320.456 passagers sur les vols locaux, soit 76,5% du trafic de l’aéroport d’Alger, et 94.976 sur les vols internationaux, ce qui représente 22,5% du trafic », a-t-il ajouté.

    « Les vols internationaux ont eu lieu exclusivement dans le cadre de l’évacuation des ressortissants étrangers de l’Algérie vers d’autres pays car les vols internationaux réguliers ont été suspendus depuis le 17 mars ».

    Concernant les compagnies qui assurent les vols d’évacuation, M. Allache a cité Air France qui assure un vol quotidien vers la France, et la compagnie aérienne française « ASL », qui assure également des vols vers la France, et Turkish Airlines qui assure des vols vers Istanbul, en plus de Lufthansa, Qatar Airways et Royal Air Maroc.

    Le responsable a expliqué que la fréquence de ces vols varie de mois en mois en fonction de la demande des compagnies et selon un programme adopté par les autorités algériennes.

    Echourouk Online, 27 avr 2021

    Etiquettes : Algérie, aéroport d’Alger, coronavirus, covid 19, pandémie, fermeture des frontières,

  • Algérie/ Le partenaire espagnol d’Ali Haddad poursuit Sonatrach au niveau international

    Le groupe espagnol « OHL » a décidé de déposer un dossier d’arbitrage international contre la compagnie nationale d’hydrocarbures Sonatrach, exigeant qu’elle respecte l’accord d’achat de 49 % des parts de la société d’engrais « Fertial » que la partie espagnole détient, conformément à ce qu’elle dit être un accord conclu en mars 2019.

    Le site économique espagnol, « El Economista », a rapporté que le propriétaire espagnol du complexe OHL, l’homme d’affaires Juan Miguel Villar Mir, avait déposé un recours en arbitrage international contre la société algérienne Sonatrach auprès de la Chambre de commerce internationale de Paris par lequel il enjoint Sonatrach, de respecter l’accord d’achat conclu en mars 2019 entre le complexe et la Compagnie nationale des hydrocarbures.

    En mars 2019, le complexe OHL a conclu un accord avec Sonatrach pour l’achat de la Compagnie nationale des hydrocarbures de la part de la partie espagnole de 34%, en plus de la part de l’homme d’affaires emprisonné Ali Haddad estimée à 17%, et ce, au profit de la société « Asmidal » appartenant à Sonatrach.

    Cet accord fait suite à un accord conclu quelques jours plus tôt entre le conglomérat espagnol OHL et l’homme d’affaires Ali Haddad, qui stipulait qu’Ali Haddad achèterait les 49 % de parts de la partie espagnole, afin de devenir le propriétaire majoritaire de la société spécialisée dans la production d’engrais (Ammoniac).

    Le groupe Villar Mir (GVM) a donc ouvert une procédure d’arbitrage auprès de la Cour internationale d’arbitrage de la Chambre de commerce internationale (CCI) de Paris dans laquelle il exige que Sonatrach respecte l’accord d’achat par la société d’État algérienne des 49% que la holding espagnole détient dans Fertial, une société spécialisée dans la production d’engrais et d’ammoniac qui opère en Algérie, selon des sources au fait du processus.

    Le groupe présidé par Juan Miguel Villar Mir a pris cette décision après deux ans de blocage par Sonatrach, qui par le biais de sa filiale Asmidal détient 34% de Fertial. Selon les derniers comptes annuels de la holding familiale, les 49% de Fertial sont valorisés à 129,1 millions d’euros – auxquels s’ajoutent plus de 20 millions en attente de perception du dividende.

    Le Groupe Villar Mir et l’ETRHB Haddad, troisième actionnaire de Fertial avec 17% du capital, se sont mis d’accord en mars 2019 pour vendre.

    Le groupe Villar Mir et l’ETRHB Haddad, troisième actionnaire de Fertial avec 17% du capital, se sont mis d’accord en mars 2019 pour vendre leurs parts (66%) à Asmidal. Mais la filiale de Sonatrach n’a pas exécuté l’achat depuis, ce qui a conduit la société espagnole à recourir à un arbitrage international.

    Toutefois, la holding Villar Mir, qui compte parmi ses participations Ferroglobe, OHL, Inmobiliaria Espacio, VM Energía ou Fertial elle-même, garde la porte ouverte pour tenter de trouver un accord avec le gouvernement algérien afin de dénouer la situation.

    La violation de l’accord par Asmidal s’est prolongée dans un contexte où il y a eu un changement dans l’exécutif algérien.

    Le refus de ce dernier de consommer le pacte de 2019 a même affecté l’activité de Fertial, avec des blocages de production qui ont détérioré ses chiffres d’affaires. De plus, les problèmes judiciaires du propriétaire d’Etrhb Haddad, Ali Haddad, condamné à 12 ans de prison pour trafic d’influence, ont également affecté la transaction.

    Le groupe Villar Mir et Asmidal ont créé Fertial en 2005, avec une participation de 66 % et 34 % respectivement. Par la suite, en 2016, les autorités algériennes ont contraint la firme espagnole à se diluer sous les 50% – jusqu’à 49% -, permettant à Etrhb Haddad d’entrer dans le capital, avec 17%.

    Les 49 % que GVM détient dans Fertial ont été laissés de côté lors de la vente de Fertiberia, cédée en 2020 au fonds allemand Triton Partners.
    Actuellement, Fertial compte 1 035 travailleurs. L’entreprise possède deux usines en Algérie, Annaba et Arzew (Oran), avec une production de 1,68 million de tonnes d’engrais et 900 000 tonnes d’ammoniac.

    Les 49% que GVM détient dans Fertial ont été laissés de côté lors de la vente de Fertiberia, cédée en 2020 au fonds allemand Triton Partners. Avec ce désinvestissement et celui des 16% d’OHL, cédés il y a près d’un an aux hommes d’affaires mexicains Luis et Mauricio Amodio, la famille Villar Mir a réussi à réduire significativement sa dette ces derniers mois. Ainsi, avec la collaboration de Tyrus, elle a acquis et remboursé au début de cette année la majeure partie de la dette auprès du Crédit Suisse pour 115 millions d’euros.

    De même, elle a réglé le passif qu’elle avait avec OHL pour Pacadar, déjà contrôlé par l’entreprise de construction – elle a des droits de recouvrement pour Fertial -, et a allongé les échéances de la dette avec Tyrus. Avec la vente de Fertial, GVM a l’intention d’annuler une grande partie de cette dette.

    « El Economista » a indiqué que le complexe OHL, détenu par l’homme d’affaires Juan Miguel Villar Mir, a estimé la valeur de sa participation dans « Fertial » (49%) à 129 millions d’euros (environ 2 100 milliards de centimes), en plus de 20 millions d’euros de bénéfices.
    La société emploie environ 1035 personnes à travers ses deux sites de production à Annaba et Arzew, dans la province d’Oran, et produit des engrais agricoles, notamment de l’ammoniac.

    Cette démarche soulève de nombreuses questions quant à son timing et si l’homme d’affaires emprisonné Ali Haddad y est pour quelque chose, d’autant plus qu’il a déjà été impliqué dans la communication avec un groupe de pression américain.

    Un site internet américain a révélé début août 2020 que l’ancien président du Forum des hommes d’affaires (FCE), Ali Haddad qui a été condamné dans des affaires de corruption, a engagé un homme proche qui a travaillé comme conseiller de l’ancien président américain Donald Trump pour 10 millions de dollars afin de faire pression sur l’Algérie pour qu’elle projette des retombées importantes.

    Echourouk online, 28 avr 2021

    Etiquettes : Algérie, Espagne, Sonatrach, OHL, Ali Haddad,

  • Djamila Bouhired hospitalisée à Alger

    La moudjahida, icône de la Révolution algérienne, Djamila Bouhired a été hospitalisée au Centre hospitalo-universitaire de Mustapha Pacha.

    Elle serait contaminée par le coronavirus, selon le journaliste et éditeur Arezki Aït Larbi sur son profil Facebook.

    Agée de 85 ans, Djamila Bouhired est également « diabétique et hypertendue », a-t-il indiqué.

    Selon lui, la moudjahida « n’a pas été vaccinée ». « Très affaiblie, s’exprimant avec difficultés, l’icone de la révolution algérienne tient toutefois à saluer tous les jeunes résistants du Hirak, honneur et avenir de ce pays », conclut-il.

    Djamila Bouhired était une militante du Front de libération nationale (FLN), collaboratrice de Yacef Saâdi, chef de la Zone autonome d’Alger durant la Guerre d’Algérie.

    Cette icône de la Révolution fait partie des six femmes « condamnées à mort pour des actes terroristes » pendant la guerre de Libération.

    Elle a exprimé son soutien au Hirak dès le debut des manifestations en février 2019.

    34hDZ, 30 avr 2021

    Etiquettes : Algérie, Djamila Bouhired, Hirak,

  • Un groupe de marocains et d’israéliens observent un sit-in “provocateur” à Oujda

    Un groupe de promoteurs du tourisme israéliens en compagnie d’individus marocains, ont observé jeudi un sit-in à Oujda (nord-est du Maroc) prés de la frontière algérienne, selon le journaliste marocain, Ali Lmrabet qui évoque “une provocation” envers les deux peuples (algérien et marocain).

    Le journaliste considère, dans un autre tweet, que lorsqu’”un groupe de personnes vont, sous la protection de l’État marocain, dans un lieu précis et symbolique de la frontière” (algéro-marocaine), pour exhiber les symboles de l’entité sioniste, c’est une manifestation politique”.

    Vidéo à l’appui, le journaliste marocain et ancien diplomate, Ali Lmrabet, dénonce, dans un tweet, le fait que les autorités marocaines aient autorisé cette “exhibition” alors que la veille, mercredi, elles interdisaient un sit-in de soutien au peuple palestinien devant le parlement à Rabat. Après l’annonce en décembre dernier par l’ex-président américain, Donald Trump, de la normalisation des relations entre le Maroc et l’entité sioniste, plusieurs manifestations de protestation contre cette décision du régime marocain ont été organisées dans plusieurs villes du royaume.

    Début février, le Groupe d’action national pour la Palestine au Maroc a appelé à une mobilisation continue des Marocains, et à des rassemblements populaires d’envergure contre l’accord de normalisation, qui menace la stabilité de toute la région, dénonçant “la politique du chantage et de diabolisation menée par le régime contre les Marocains libres qui rejettent toute relation avec l’entité sioniste”.

    En mars, une quinzaine d’associations, de groupes politiques et syndicaux au Maroc ont décidé de faire front commun contre la normalisation des relations entre le royaume et l’entité sioniste, qualifiée par le président de l’Observatoire marocain contre la normalisation, Ahmed Wihmane, de “désastre”.

    Algérie54, 30 avr 2021

    Etiquettes : Algérie, Maroc, Israël, frontières, Oujda,

  • L’Algérie au beau milieu des forces d’intervention internationales assaillantes

    Par Tarek Benaldjia

    En novembre 2019, Macron a déclaré que l’OTAN avait subi une mort cérébrale et qu’il y avait un manque de coordination entre les États-Unis et les alliés de l’OTAN. En novembre 2018, Macron a proposé la création de l’armée de l’UE et, d’une certaine manière, suggéré l’abandon de l’OTAN et a exigé la création d’une armée internationale avec la France comme puissance active. Cette situation doit être évaluée en lien avec la volonté de Macron de faire de la France un État assaillant dans les relations internationales.

    Les développements vécus ces dernières mois en Algérie, ont permis de mettre plus clairement en évidence le branle bas de combat relative à la lutte géopolitique dans le bassin ouest-méditerranéen, comprenant l’Afrique du nord. Il n’y a aucun doute que cette région que l’on peut qualifier de zone de lutte super géopolitique, sera dans la période à venir, la région où sera vécue très intensément la concurrence à multiple acteurs.

    La Guerre d’influence dans l’Afrique du nord et la région du Maghreb

    Pour qu’un pays soit en position de leader, il doit être déterminant dans les événements qui se déroulent dans sa sphère d’influence. Sur ce point, en Afrique du nord , les intérêts de l’Algérie et de la France s’affrontent.

    Les développements vécus dans le continent Africain continueront comme le prolongement de la concurrence vécue au Moyen-Orient. La France et les Émirats Arabes Unis et l’entité sioniste ont rejoint la concurrence au Maghreb en tant qu’alliés du Maroc dans la région maghrébine. L’objectif principal de ce front, est d’encercler et de restreindre l’Algérie. Ils n’hésiteraient pas d’ailleurs à diviser la population en prenant part pour une partie pour dénigrer l’autre.

    Mais les récents changements géopolitiques ayant entraîné une intensification de la concurrence en Afrique du nord mèneront la région vers des conflits inévitables. D’où est nécessaire de comprendre les nouvelles luttes géopolitiques en méditerranée occidentale et le jeu auquel se livrent les forces d’intervention assaillantes contre l’Algérie.

    À ce niveau de traitrise, les deux pays ayant formé une nouvelle alliance,[ l’entité sioniste le Maroc et des Émirats arabes unis], le comble de l’hypocrisie pour eux, ils partagent le même idéal géopolitique d’agression, nous pouvons citer comme actions de leurs politiques: L’implantation de chancelleries au Sahara occidentale, la normalisation avec l’Etat sioniste. Tout cela au détriment des droits des peuples palestiniens et sahraouis. Nécessairement du droit international. Qui d’ailleurs ont été perçues avec colère par l’ONU et la communauté internationale.

    L’objectif principal de ce bloc, est d’encercler et de limiter l’Algérie. L’encerclement consiste à faire en sorte que ce bloc géopolitique anti-Algérie mette en place des politiques qui restreindront le champ de manœuvre de l’Algérie. Quant à la limitation, elle consiste à minimiser l’impact militaire de l’Algérie en égalisant sa force militaire.

    Il est donc important de voir, comment la cartographie d’assiégement de l’Algérie et qui décrit les contours d’une région, au risque de s’embraser dans le chaos. Ce dont nous sommes tous conscients.

    Aux niveaux des quatre point cardinaux :

    Nord méditerranéen, nous avons l’OTAN représenté par la France et des pays occidentaux ;
    Au sud ouest : Des groupes djihadistes installés en Libye ajouter à cela, les unités opérationnelles du général mercenaire Khalifa Haftar, embusqués à l’effet d’exécuter les plans et les cartes d’intervention susceptibles de remodeler les cartes géopolitique de toute la région ;
    A l’ouest : La liaison dangereuse entre Le Maroc, l’entité sioniste et les Émirats arabes unis. Engagés dans une coalition à réaliser les objectifs établis par les forces assaillantes dirigées contre l’Algérie et s’emparer du Sahara occidentale ;
    Au sud : On a également relevé depuis quelques années un intérêt certain de l’AQMI pour le Sahel (G5) qui est devenu un des principaux bassins de recrutement de l’organisation terroriste. Il a été relevé également la présence des éléments du MAK (Algérie) et des groupes djihadistes des régions du G5. Le tout sous la supervision de la France.
    L’encerclement et la limitation de l’Algérie reste pour le moment un projet politique. La mise en application du projet affecterait en particulier l’Europe. Dans ce contexte, l’Afrique du nord est devenue un des plus importants domaines de test. Désormais la elle deviendra régulièrement la scène de tension géopolitique, géoéconomique et militaire. Celui qui restera déterminé et patient, sera le grand gagnant de la tension.

    En somme, il est clairement constaté que les agresseurs géopolitiques poursuivent une politique hostile relativement importante vis-à-vis de l’Algérie qu’elle voit comme un concurrent sérieux en Afrique et dans le bassin méditerranéen. Il n’est pas du tout rationnel d’essayer, comme les institutions européennes et parties influentes corrompues d’algérien, de maquiller cette hostilité sous la forme d’une opposition au gouvernement au pouvoir parce que la vérité est évidente.

    Si une guerre éclate en Afrique du nord et conséquemment sur la méditerranée occidentale, elle aura un effet sur tout les pays qui la borde jusqu’à la mer orientale, et aucun pays ne pourra éviter ces effets. Cette crise va également réveiller des effets très forts qui s’étendent de la mer noire à la mer Baltique et de la mer Égée à la Pologne, qui seront ressentis par tous les points d’intersection de la carte d’influence ouest-russe.

    Le front d’ingérence intérieur combiné des islamistes radicaux et berbéro- sioniste

    L’arrestation des « Dahdah et les groupes séparatistes-makistes de Tizi-Ouzou » Ainsi que, les lots d’armes récupérés par les services de renseignements algérien montrent sans l’ombre d’un doute, que s’il y avait une intervention de l’extérieur, ils détruiraient l’Algérie de l’intérieur, ouvriraient les portes de la forteresse et remettraient la clé du pays au front assaillant.

    Une fois de plus, le front d’ingérence intérieur combiné des islamistes radicaux et berbéro- sioniste, a adopté une position ouverte en faveur des fronts d’interventions internationales, du terrorisme, de l’encerclement de la forteresse de l’extérieur et mener conjointement leur sale boulot à la destruction du pays à l’intérieur. Sinon quelle raison pourrait expliquer une telle alliance contre nature ? Sinon la liquidation géographique, historique de cette région. Ils n’ont été initiés que pour ce projet !

    Ces entités et cette guerre ont le soutien de l’Amérique, de l’Europe, d’Israël et du royaume marocain qui s’inquiètent de l’essor de l’Algérie et de sa transformation du cours de l’histoire, de sa transmission des aspirations historiques et réalités politico- économiques qui continuent d’illuminer les chemins de la jeunesse aujourd’hui pour une Algérie nouvelle.

    Ce projet, qu’ils promeuvent sous la forme d’une opposition politique pour «faire tomber l’Algérie» et de la recherche d’une alternative politique interne, est en fait un grand projet visant à ramener notre pays dans le giron des puissants et le soumettre sous sa tutelle.

    Nous assisterons à cette lutte géostratégique tout au long du siècle actuel.

    Les déclarations hostiles de la France envers l’Algérie s’expliquent par sa crainte de la voir remplacer ou même devancer la France dans des régions stratégiques du monde. La considérant comme une rivale redoutable, la France ne veut pas d’une Algérie forte et indépendante capable de la défier sur d’importantes questions internationales. Au fond, ce qu’elle essai de dissimuler, c’est son propre échec d’avoir perdu l’Algérie.

    La France est un pays qui a perdu ses compétences dans tous les domaines, perdu son rôle de centre mondial, perdant rapidement du terrain face aux puissances montantes du 21e siècle, et est en contradiction avec les pays émergents et de ses anciennes colonies. Elle n’a aucun crédit, aucune crédibilité. Elle n’a pas de réputation. Cela ne se reproduira plus. Nous l’avons vu avec les vingt (20) généraux signataires de la tribune, mettant en garde le président Emmanuel Macron contre un « délitement ».

    Le pire, c’est que nous avons tous vu que les rôles les plus importants dans ce jeu étaient attribués ces jours-ci aux «clans bloquants et islamistes», et que l’organisation « séparatiste » du MAK n’était pas la seule entité dans laquelle ils ont investi (les assaillants), mais dans d’autres alliances, dans les camps de tous ceux que nous connaissons depuis des années se présentant comme patriotes, conservateurs et démocrates.

    Se faisant, certains se lancent dans l’arène publique et s’exposent, dans l’acceptation démocratique la plus pure qui soit, à la critique, même exagérée, de ceux qui ne partagent pas leur perspective politique et économique. (Voir les cas des intellectuels de gauche versés dans le camp des ennemis de l’Algérie) Au-dessus de tout soupçon dans un bloc combiné, sous un même toit et autour d’un concept commun pour un grand projet.

    Nous sommes confrontés à des faits et à des menaces bien plus graves que de retrouver sa «liberté d’expression» Cette menace sérieuse est représentée dans la volonté de « Rachad » et du « MAK » qui se sont séparés des courants nationaux au profit des idéologiques marginaux et organisations terroristes, tous se préparant à un changement de régime par l’utilisation des forces selon un calendrier approuvé par leur maîtres.

    La pérennité et la résistance en Algérie commencent dans nos esprits et se répandent ensuite sur le pays. C’est ce qui s’est passé et se passe et se produira toujours. Cela a toujours été une évidence. La mentalité qui a façonnée l’Algérie au rang des nations libre et indépendants et gouverné le continent Africain surmontera cette épisode tout comme elle a surmonté au fil des siècles des crises majeures et des trahisons dangereuses.

    Alors donnez du sens à votre existence, à votre identité, à votre communauté, à votre géographie, à vos idées préconçues politiques face à cette vague qui survient soixante ans plus tard. Soyez la voix, le souffle, la puissance et l’arme de l’Algérie.

    Ne les laissez pas arrêter l’Algérie. Battez vous et indignez-vous contre ces envahisseurs coloniaux et leurs sbires. L’Algérie à besoins de ceux qui se sacrifient pour elle.

    Mais ne pas s’y préparé, c’est laisser la possibilité à d’autres acteurs d’avancer leurs pions dans notre géographie stratégique et les candidats ne manquent pas : Français, marocains, israéliens, Émiratis sans oublier les groupes terroristes… Très compliqué, vraiment !

    Je peux me tromper, mais je crois vraiment que l’Algérie a gagné la première bataille d’une partie qui est la constitutionnalité de ses interventions militaires dans ses domaines de compétences. Assume ses missions constitutionnelles avec un enga gement exemplaire ainsi qu’une disponibilité héroïque au sacrifice, chaque fois que le devoir national le requiert.

    Pour aller plus loin sur ces thèmes, cf, ces liens :

    Il est intéressant selon moi – et j’espère que cet avis est partagé – que nous publiions dans l’intervalle ci-dessous, des vidéo dans lesquelles Abelhamid Al Aouini , un spécialiste reconnu pour les questions de défense et de renseignements , nous décrive comment l’Algérie est au beau milieu des forces d’intervention internationales assaillantes, mais de façon parfaite sans que ses détracteurs ne trouvent rien à redire à leurs projets maléfiques mis à nus aujourd’hui devant le monde entier. Vous trouverez également dans ces vidéos quelques exemples, de questions et d’idées pouvant servir de point de départ ou de contribution.

    Algérie54, 30 avr 2021

    Etiquettes : Algérie, France, Maroc, Sahel, MAK, Kabylie, berbères, Israël,

  • Amar Saâdani se réfugie effectivement au Maroc où il a acheté plusieurs biens immobiliers

    Amar Saâdani, l’un des poids lourds de la scène politique algérienne depuis ces 20 dernières années, s’est effectivement installé au Maroc où il a demandé officiellement la protection des autorités marocaines, a-t-on pu confirmer auprès de plusieurs sources diplomatiques marocaines. Algérie Part a pu également confirmer au cours de ses investigations que l’ancien patron du FLN s’est établi au Maroc depuis plus d’une année.

    Il a séjourné ainsi régulièrement au Maroc au cours de l’année 2020. Mais à partir de 2021, Amar Saâdani a décidé de quitter définitivement l’Europe notamment la France et le Portugal où il détenait des biens pour s’installer officiellement sur le territoire marocain. L’ex-patron du FLN a même consenti à des investissements importants dans l’immobilier, a-t-on pu encore confirmer au cours de nos investigations. Amar Saâdani a fait des acquisitions à Casablanca, Marrakech et Tanger, certifient nos sources. Le politicien algérien s’est même intéressé au secteur du matériaux de construction et il avait entamé des démarches pour acquérir une briqueterie. Mais nous n’avons pas confirmer s’il a pu finaliser récemment cette acquisition.

    Ainsi, Amar Saâdani a investi une importante partie de sa fortune accumulée durant ces dernières années au Maroc. Nous avons pu confirmer qu’il cherchait à revendre depuis 2019 son appartement de 4 pièces situé à Neuilly sur Seine, la banlieue la plus riche de Paris. Comme il a été révélé récemment par Algérie Part, Amar Saâdani n’a pas pu renouveler sa résidence en France à la suite d’un refus catégorique des autorités françaises de lui délivrer une résidence en bonne et due forme, à savoir la fameuse carte de résidence de 10 ans. Il s’est rabattu sur le Portugal à partir de l’été 2019 où il a investi dans une ferme agricole. Mais, décidément, Amar Saâdani a succombé aux charmes du Maroc et entretient de très bonnes relations avec les autorités marocaines. En possédant plusieurs résidences immobilières dans trois villes importantes marocaines, Amar Saâdani a trouvé une terre d’accueil chez notre voisin de l’ouest.

    Rappelons enfin que le sieur Amar Saâdani a été entre 2004 et 2007 président de l’Assemblée populaire nationale (APN), puis du 1er septembre 2013 au 22 octobre 2016 , secrétaire général du Front de libération nationale (FLN).

    Algériepartplus, 3 avr 2021

    Etiquettes : Algérie, Maroc, Amar Saidani,

  • Algérie : Belmadi perd son binôme

    par Madjid Khelassi

    Le sélectionneur national Djamel Belmadi a été reçu par le président Tebboune…qui semble s’intéresser à ce qui se passe autour de notre équipe nationale de foot.

    Au menu des discussions d’où rien n’a filtré , on devine l’objet de la « visite » de Belmadi au palais d’El Mouradia : Il s’agit bien évidemment du parcours des verts en coupe d’Afrique, et de leur futur périple qualificatif à la phase finale de la coupe du monde 2022 au Qatar. Du foot comme soupape de la paix sociale, mais aussi des remous, que connaît l’instance suprême du foot algérien, au sujet de la poursuite ou pas de Zetchi à la tête de la FAF.

    Rempilant ou pas, Zetchi a été gratifié d’un hommage unanime de la part de Belmadi et de ses joueurs, qui ont arboré à la fin du match Algérie- Botswana , un maillot floqué de l’inscription : « Merci Président». Le sport sauve toujours la morale.

    Plus tard en conférence de presse d’après- match, le sélectionneur national, lui a rendu un vibrant hommage en disant… « je le dis devant Dieu et devant les hommes , Zetchi a toujours tenu ses promesses et que sans ça, je n’aurais jamais été là. Il a le même mérite que les joueurs et le staff dans la victoire continentale, et il mérite de sortir avec les honneurs ».

    Et reconnaissant, envers un homme qui a trop enduré les coups bas durant 4 ans, il poursuit : « en voyant ce qu’il a subi, moi, si j’étais à sa place, je serai parti il y’a longtemps» !

    Foot et coups bas, foot et bâtons sous les crampons ,foot et ingratitude…la galaxie footeuse algérienne éructe des saloperies à nulle autre pareille.

    Zetchi désigné à la vindicte…par une tutelle dirigée par un ministre qui nous intimait, il n’y’a pas si longtemps de quitter le pays, si on n’était pas content. La suite est logique.

    Le président de la FAF qui a vécu en bonne intelligence avec le prédécesseur de l’actuel MJS, fut d’emblée le mouton à sacrifier à l’arrivée au MJS de ce dernier.

    Combat d’arrière garde d’un ministre vis-à-vis d’un baroudeur président de fédération ? Ou obsession insensée d’un commis s’ennuyant à ne rien faire dans son ministère …devenu l’estrade du pilori sur lequel régler le compte du président de la FAF ? Tout cela est grotesque…et ne fera pas date.

    Zetchi ramenant une 2e étoile dès son premier sceptre…l’aiguille des jalousies mesquines s’affole et condamne au bûcher le premier essai transformé en coup de maitre. Ah l’ingratitude !

    A bientôt Mr Zetchi, on se retrouvera tous au Paradis…Pardon au Paradou…fief du foot sain et de son président revenant d’un périple qui a fait le bonheur de tout un peuple.

    Attention danger ! Belmadi perd son binôme. Et vous autres contempteurs de tout, vous avez gagné quoi en crachant sur la 2e étoile ?

    La Nation, 30 mars 2021

    Etiquettes : Algérie, Djamel Belmadi, séléctions nationale,