Catégorie : Algérie

  • Air Algérie ouvre la vente des billets de et vers la France

    Air Algérie ouvre la vente des billets de et vers la France

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    La compagnie aérienne nationale Air Algérie a annoncé, ce mercredi 8 juin, l’ouverture de la vente des billets pour ses vols de et vers la France.

    Depuis la réouverture partielle des frontières, le nombre de la compagnie Air Algérie entre l’Algérie et la France a été renforcé progressivement pour atteindre une cinquantaine de vols par semaine par semaine au mois de mai.

    Dans un premier temps, Air Algérie opéraient ces vols au départ des aéroports de Paris et Marseille vers Alger, Oran et Constantine. En prévision de la saison estivale, les autorités ont décidé de renforcer le nombre de vols entre la France et l’Algérie afin de répondre à la forte demande des algériens établis en France.

    Avec les vols supplémentaires prévus dans le cadre du programme spécial saison estivale, Air Algérie va désormais opérer 171 vols par semaine entre l’Algérie et la France.

    France – Algérie: Air Algérie lance la vente des billets

    Près de trois semaines après l’annonce du programme de vols supplémentaires d’Air Algérie pour la saison estivale, les algériens peuvent enfin acheter leurs billets.

    Ce mercredi, Air Algérie a annoncé officiellement « l’ouverture immédiate » des ventes des vols supplémentaires en provenance et à destination de la France. »

    Cet été, le pavillon national va assurer des vols vers l’Algérie au départ de Paris, Marseille, Lille, Toulouse, Lyon, Nice, Montpellier. Le nombre d’aéroports algériens desservis depuis la France a été également revu à la hausse.

    France – Algérie: Air Algérie va opérer 171 vols par semaine

    Durant cette saison estivale, la compagnie Air Algérie va desservir les aéroports d’Alger, Oran, Constantine, Annaba, Béjaia, Sétif et Tlemcen, selon le programme du ministère des transports.

    Air Algérie va assurer 95 de vols au départ de Paris vers Alger, Oran, Constantine, Annaba, Béjaia, Sétif et Tlemcen et 27 de Marseille vers Alger, Oran, Constantine et Annaba.

    Air Algérie va également opérer 27 vols depuis Lyon vers Alger, Oran, Constantine, et Sétif et 13 vols au départ de Toulouse vers Alger et Oran. La compagnie nationale va également desservir Alger au départ de Lille (4 vols), Nice (3 vols) et Montpellier (2 deux vols par semaine).

    Voyager, 8 juin 2022

    #Algérie #AirAlgérie #Vols #France #Billets

  • Coup de froid entre Alger et Paris?

    Coup de froid entre Alger et Paris?

    Algérie, France, MEDEF, Georges Malbrunot, Emmanuel Macron, Abdelmadjid Tebboune,

    Selon le journaliste Georges Malbrunot, les autorités françaises n’ont pas vu d’un bon oeil la visite effectuée en Algérie par le MEDEF au mois de mai dernier.

    “En visite fin mai, « le Medef et son patron Geoffroy Roux de Bézieux ont été fraichement accueillis à Alger », déplorent deux sources françaises”, a écrit Malbrunot dans un twit posté mardi. Pour lui, c’est un “nouveau signe du coup de froid entre Alger et Paris, alors que les positions économiques françaises reculent, face à l’Italie notamment”.

    Pour rappel, le MEDEF, conduit par M. Geoffroy Roux de Bézieux, a réalisé une visite d’affaires de deux jours en Algérie, au cours de laquelle, un forum d’affaires Algéro-français a eu lieu à Alger, organisé conjointement avec la Confédération algérienne du patronat citoyen (CAPC).

    Geoffroy Roux de Bézieux a fait le déplacement accompagné  de représentants des compagnies Airbus-Hélicoptère, Alstom, EGIS, Natexis, Renault, Société Générale et Total Energie.

    Après des discussions avec le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, les deux parties ont évoqué durant cette rencontre à laquelle a pris part l’ambassadeur français à Alger, François Gouyette, les relations algéro-françaises dans le domaine de l’industrie et les moyens de leur renforcement.

    Le partenariat entre les hommes d’affaires des deux pays dans le cadre du nouveau système juridique encadrant l’investissement en Algérie, a été notamment évoqué.

    A l’ouverture du forum, M. Sami Agli, en sa qualité de représentant du CAPC mais aussi de la toute nouvelle coordination du patronat , a lancé un appel aux entreprises françaises pour venir investir en Algérie.

    «En mon nom et au nom de mes confrères chefs d’entreprises, publiques et privés, nous réitérons notre disponibilité et affirmons notre intérêt à accueillir et à accompagner toutes les entreprises françaises qui souhaitent investir en Algérie», a-t-il déclaré.

    Pour le président du mouvement des entreprises de France, Geoffroy Roux de Bézieux «l’Algérie représente un marché potentiel, franchement méconnu en réaffirmant lors d’une conférence de presse tenue conjointement avec son homologue, la volonté des chefs d’entreprises françaises d’investir en Algérie. Néanmoins, Geoffroy Roux de Bézieux soulève quelques réserves . « Nous avons besoin de stabilité fiscale et juridique pour investir ».

    « Les entreprises françaises souhaitent et sont prêtes à co-localiser…Le seul bémol, c’est que nous avons besoin de nous inscrire dans la durée et cette durée a besoin d’un cadre législatif clair. Nous avons besoin d’avoir la certitude que quand une loi dit une chose, la loi suivante de l’année d’après ne la changera pas…Je dis cela à la fois pour l’Algérie et la France où n’importe quel autre pays. Nous avons besoin de stabilité législative et fiscale », a-t-il lancé.

    Le Forum d’affaires a permis à la partie française de prendre connaissance des nouvelles facilitations introduites  par  les changements apportés récemment au code des investissements. Il y est fait mention de facilitations et surtout de garanties, au sens plein.

    #Algérie #France #MEDEF #CAPC #Macron #Tebboune

  • Algérie. Lorsqu’il faut être député et diplomate!

    Algérie. Lorsqu’il faut être député et diplomate!

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    Brahim Boughali interpelle les membres de l’APN. Lorsqu’il faut être député et diplomate!

    Dans un monde où l’hégémonie occidentale n’est plus en vogue et où le multilatéralisme et la démocratie libérale semblent en déclin, comment faire progresser l’affrontement d’idées qu’un simple scrutin a pourtant vocation à relancer. Comment organiser l’action des parlements sources d’idées et d’inspiration sur le plan extérieur dans un contexte international de plus en plus conflictuel? Voilà un débat que nous ne pourrons peut-être pas aborder dans les prochaines années mais dont l’importance n’est certes pas mineure. La diplomatie parlementaire est une des solutions aux problèmes de l’encadrement et de la vie que mènent les membres des communautés de pays installées à l’étranger.

    Tout compte fait, on consent à admettre que les membres des parlements ont aussi un rôle à jouer à l’extérieur. L’Algérie, après avoir réorganisé son corps diplomatique à l’étranger, aspire très probablement à booster l’action de ses parlementaires à l’extérieur et en Afrique en particulier. Comment s’organisera notre action parlementaire extérieure dans les années à venir ? Pour les spécialistes, il faudrait commencer à réfléchir sérieusement à adapter l’action parlementaire extérieure aux nouveaux défis. Lesquels ? Il y a les jumelages, les traités d’amitié, les échanges commerciaux, la coopération et l’entente sur certaines questions géostratégiques.

    Le rôle des députés dans la promotion de l’image et des intérêts économiques et politiques de l’Algérie, pas seulement en occident mais aussi en Afrique, est somme toute important dans un contexte international marqué par des agglutinements d’intérêts et d’idées et de connivence des points de vue. Après avoir renforcé les attributions de ses diplomates et attachés de missions à l’étranger, l’Algérie s’apprête à s’attaquer à autre chantier qui, au-delà de son caractère purement parlementaire, vise à asseoir la diplomatie algérienne sur l’échiquier politique international. Comment? Nos députés devront œuvrer à transmettre les principes et les positions de la diplomatie algérienne à étranger. Ils devront éventuellement défendre les acquis de l’Algérie, appeler les investisseurs, promouvoir les droits sociaux et humains des immigrés, faciliter les interactions entre les gouvernements et pourquoi pas aussi élargir les concertations avec les membres parlementaires des pays hôtes dans les domaines sensibles divers dont par exemple les échanges, l’immigration et le travail.

    Les pays africains savent que notre pays jouit d’un capital d’expérience diplomatique. Ils comptent énormément sur l’intensification par l’Algérie de son action parlementaire extérieure. Une question: comment avoir la double casquette de député et diplomate en même temps? Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Brahim Boughali a affirmé, dimanche, que l’Algérie avait franchi « un grand pas », sous la direction du président de la République, M.Abdelmadjid Tebboune, pour recouvrer la place qui est sienne dans les fora régionaux et internationaux.

    « Nous voilà en passe de préparer le lancement qualitatif de la diplomatie parlementaire, à compter d’aujourd’hui, d’autant que l’Algérie a franchi un grand pas sous la direction de Monsieur Abdelmadjid Tebboune, dans le recouvrement de son image et de sa place dans les fora régionaux et internationaux. Le Parlement est appelé à être à la hauteur de cette haute performance », a souligné M. Boughali dans son allocution d’ouverture d’une Journée de formation au profit des députés membres des groupes parlementaires d’amitié avec les pays africains, organisée au siège de l’APN.

    A cette occasion, le président de la chambre basse du Parlement a appelé les députés chargés de missions dans le cadre des groupes parlementaires d’amitié à être « une source d’enrichissement pour la diplomatie algérienne dans une conjoncture extrêmement sensible sur le plan international », affirmant l’impératif d’assurer un traitement adéquat et efficace des dossiers pour « hisser très haut l’emblème national et défendre les intérêts suprêmes de l’Algérie ». Il les a également exhortés à améliorer le niveau de performance « en synergie avec la politique étrangère du pays et conformément à des visions définies par le président de la République ».

    Cette formation permettra d’acquérir de nouvelles connaissances et développer les compétences, a souligné le président de la chambre basse du Parlement, rappelant que l’Algérie accueillera cette année, deux importants rendez-vous, à savoir le Sommet arabe et la Conférence des assemblées des pays membres de l’Organisation de la conférence islamique (OCI).

    Depuis une année, le Parlement ne ménage aucun effort pour être au diapason de l’action des autres institutions constitutionnelles et a occupé une place de choix dans les fora internationaux pour faire entendre, haut et fort, la voix de l’Algérie concernant les questions d’actualité. Soulignant la nécessité d’arrêter un plan de travail « méthodique » pour les groupes parlementaires avec les pays frères et amis.

    Les journées de formations contribueront, certainement, à « la facilitation de cette démarche », notamment « la transmission des principes de notre politique étrangère basée sur le bon voisinage, la non-ingérence aux affaires internes des pays, la promotion de la paix et de la sécurité, le règlement pacifique des conflits, le soutien des causes justes notamment la libération des dernières colonies, la sécurité alimentaire, une priorité du président de la République, en sus de la promotion de l’investissement, le renforcement de l’industrie nationale et la relance du tourisme ».

    B. HABIB

    Le Carrefour d’Algérie, 07/06/2022

    #Algérie #APN #Députés #DiplomatieParlementaire

  • Algérie: Mal gérance de « El Minha » par manque de moyens?

    Algérie: Mal gérance de « El Minha » par manque de moyens?

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    Contribution de Amar Djerrad

    L’allocation chômage, initiée par le Président de la République, s’inscrit dans le cadre de la prise en charge sociale par l’Etat d’une catégorie de citoyens. Elle concerne les jeunes diplômés en attente d’insertion qui en bénéficieront sous forme d’un présalaire de 13.000 DA/mois « afin de préserver leur dignité », adossée à une « couverture sanitaire comme le reste des salariés » a précisé le président de la République ; soulignant qu’il s’agit « d’un acquis considérable pour notre pays qui se dirige à pas de géant vers l’épanouissement et le progrès ».

    Dans la réalité, les choses ne se passent pas toujours comme on le souhaite malheureusement; souvent faute de moyens adaptés ! Ce qui a été observé au niveau de l’ANEM de Sétif dans les inscriptions pour l’octroi de cette allocation chômage, mais le problème doit être national !

    Malgré une certaine expérience et les délais raisonnables pour s’organiser, le personnel ne semblent pas suffisamment préparé pour cette mission supplémentaire afin d’accueillir, comme il se doit, le flot important des demandeurs ! Dans la précipitation, il était prévisible à ce que le minimum d’ordre et d’organisation ne soit pas assurés pour les accueillir ! Il fallait certainement renforcer les structures par des moyens matériels et humains supplémentaires conséquents. Cela doit être le cas pour toutes les ANEM d’Algérie).

    Nous avons constaté non seulement un désordre, mais en plus des attitudes impertinentes ; comme si on a affaire à des quémandeurs ! La bureaucratie constatée est inadmissible au point où des dizaines de demandeurs (surtout les jeunes filles) fuient le lieu en jurant de ne plus y revenir !

    En effet, ce sont des dizaines de demandeurs agglutinés à l’entrée fermée, au soleil, qui attendent que la porte de l’agence s’ouvre (souvent en retard). L’entrée est permise par petits groupes sous l’œil d’un gardien qui annonce des n° et on ne sait quoi d’autre. Tous les demandeurs (catégories confondues) sont mis dans le même sac : les nouveaux qui doivent recevoir un N° et un RDV, les convoqués, ceux qui réclament, les garçons, les filles et ce dans une confusion affligeante, patientant debout sous le soleil durant au moins 2 heures ! Chaque étape oblige un bon moment d’attente : dehors, entre l’entrée et la grille, la salle d’attente, l’étage puis les bureaux. Une demi-journée est nécessaire pour terminer le parcours !

    Certaines des jeunes demandeuses, dont la plupart ayant des diplômes universitaires, sont confrontées à une autre humiliation due à l’insécurité. Des vauriens en profitent pour les importuner forçant certaines, à renoncer ce « dispositif » qu’ils assimilent à de la « propagande » selon ce qui ressort des propos coléreux exprimés !

    Au début, on vous inscrit pour un RDV et ce jour ne sera qu’une étape, car vous devez refaire le même parcours ! Même ceux qui se sont inscrits par « Internet » doivent passer par cette épreuve s’ils ont la chance de voir leur « demande électronique » prise en considération !

    Bien-sûr avec des moyens supplémentaires appropriés, on peut organiser les choses autrement par « catégories » de demandeurs (par exemple) qui peuvent faciliter l’orientation, le traitement de leur demande, réduire l’afflux pour pouvoir les contenir tous dans la salle et ce, dans la considération au lieu de les laisser dehors des heures durant. Cela permet aussi de soulager les employés de la pression et du stress qu’ils endurent !

    Ces demandeurs sont avant tout les futurs cadres de l’Algérie ! Les 13 000 DA ne sont qu’un ‘argent de poche’ pour « préserver leur dignité » en attendant un emploi permanent. Pourquoi les abaisser ainsi en leur faisant subir les effets d’une mal gérance due au manque de moyens.

    Qu’attendent les responsables de leur Direction Nationale, en liaison avec les agences, pour prendre les mesures appropriées afin d’éviter les confusions ? Ce n’est pourtant pas une tâche si ardue qui nécessite des « spécialistes » !

    Comme « un malheur ne vient jamais seul » dit-on, on apprend avec peine, ce 06 juin (par banderole), que les choses se compliquent puisque les employés de l’agence ont décidé, sûrement pour cause de pression au travail, d’une grève renouvelable où seuls les « dimanche et le lundi » seront consacrés aux « chômeurs » ! Deux jours par semaine vont aggraver la situation si on ne met pas les grands moyens !

    Il nous semble qu’il y a lourdeur dans la gestion de ce « dispositif » d’importance initié par les pouvoirs publics. Les responsables nationaux doivent donc, au plus vite, y prêter une attention particulière !

    La lecture des textes instaurant ce « dispositif »minha » » donne un autre esprit que ce que l’on a constaté !

    L’espoir libéré, 07/06/2022

    #Algérie #ElMinha #AllocationChômage

  • Algérie: « L’agonisant », le nouveau roman de Hedia Bensahli

    Algérie: « L’agonisant », le nouveau roman de Hedia Bensahli

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    Magnifiquement surpris, subjugué, happé par ce remarquable roman de Hedia Bensahli: L’agonisant.
    L’autrice raconte, en parallèle, la vie artistique du peintre viennois expressionniste Egon Schiele, fin du XIX°, début du XX° siècle, qui a subi les affres de la censure de sa peinture, et les aventures d’un groupe d’amis qui fonde un cercle artistique et culturel: « L’eveil de l’agonisant » dans l’Algérie contemporaine qu’on devine être les fins d’année de règne de Bouteflika, qui subira également la répression féroce des pouvoirs.

    Roman du refus, de la sédition, de la rébellion et aussi de la contestation, il s’agit aussi et surtout d’un pamphlet (tacite) d’une reconnaissance et d’une prise de conscience de ce besoin impératif, cette exigence, cette fatalité plus que nécessaire de l’Art (et de la politique).

    Un appel, une invocation à cet « éveil de l’agonisant » qui se trouve ancré en chacun de nous.

    A la fin de la lecture de ce livre, on en sort secoué, remué, différent, avec comme un goût d’amertume et d’impuissance dans la bouche.

    « L’agonisant » est un roman qui nous interpelle, ne laisse pas indifférent, nous interroge sur nos convictions et nos âmes bien pensantes.

    La vie politique, la société algérienne, l’ostracisme de l’opposition, et les représailles des pouvoirs, Hedia Bensahli passe tout cela en revue avec une grande précision et maints détails.

    Elle décrit avec force et un grand talent, la censure, les libertés asservies et réprimées, les emprisonnements arbitraires…

    Un système dont la finalité est de verrouiller la pensée pour que les gens oublient de se regarder en face.
    J’avoue avoir mis du temps à « rentrer » dans le roman, mais j’ai tout de suite apprécié le style, les formules percutantes de l’autrice : « Depuis l’indépendance, il attend la véritable métamorphose de la chrysalide qu’est le pays » (p. 24) ou alors « On leur demande de s’enorgueillir de la conquête arabe, mais on a oublié de leur préciser que Tarik ibn Ziyad, ce héros qui a donné son nom au détroit espagnol, était berbère.

    – Le déni de soi ! se désole Mohand. » (p. 92).

    Ou encore: « Il faut accepter les mutations comme une bonne santé de la pensée, dit Egon » (p. 168).
    Le croisement par l’autrice des deux histoires, celle du peintre Egon Schiele et celle du groupe « l’éveil de l’agonisant » est assez intéressant du point de vue structurel et de la construction du roman. A mon avis, il aurait fallu même peut-être insister plus et passer de l’écriture linéaire du roman à des chapitres alternant les histoires de chacun des protagonistes. Ça aurait donné à mon avis, plus de relief au roman… Mais là, c’est assez subjectif, et c’est l’écrivain que je suis qui se substitue au critique…

    Que chacun s’attelle au rôle qui lui est imparti !

    Plus qu’une analyse sans aucun compromis sur les conformismes et les traditions installées qui sclérosent la société et l’imposition des mentalités arides et stériles, L’agonisant est un roman sur l’art, une arme de combat contestataire et de résistance.

    Je le répète , L’agonisant est un roman intelligent, étonnant par sa richesse, et la parfaite connaissance du sujet et l’excellente érudition sur la personnalité de Egon Schiele…

    Bensahli, Hedia, L’agonisant, Ed. Frantz Fanon, 2020. 197 p.

    Lamine BENALLOU

    Algérie culture, 04/06/2022

    #Algérie #HadiaBensahli #Lagonisant #Roman

  • Massacre d’Algériens le 17 octobre 1961: De Gaulle le savait

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    Les massacres du 17 octobre 1961, commis par la police française à l’encontre de manifestants algériens pacifiques, ont constitué la répression «la plus sanglante» en France depuis la Commune de Paris, depuis l’épisode de la Commune de Paris, en 1871», affirment des historiens.

    Cette nuit-là, des milliers d’Algériens et d’Algériennes avaient manifesté pacifiquement dans la capitale française pour dénoncer le couvre-feu inique et discriminatoire décrété à leur encontre par le préfet de police Maurice Papon.

    Plusieurs d’entre eux avaient été exécutés sommairement par balles, jetés vivants dans la Seine ou battus à mort, selon les témoignages de survivants et d’anciens policiers français.

    Cette manifestation, réprimée dans le sang, avait fait un millier de victimes, selon Mohamed Ghafir, ancien responsable du Front de libération nationale (FLN) dans la région Nord de Paris, pendant la Guerre de Libération.

    De nombreux historiens algériens et français ont demandé à la France officielle de reconnaître les massacres du 17 octobre 1961 comme étant un crime d’Etat.

    Il s’agit d’un «crime d’Etat contre l’humanité», commis en vertu d’un «plan concerté» à l’encontre de civils qui furent «torturés et sommairement exécutés», atteste l’historien et politologue français, Olivier Le Cour Grandmaison.

    Soixante et un ans plus tard, des archives inédites de la présidence de la République française, consultées par Mediapart, prouvent désormais que Charles de Gaulle et l’Élysée ont tout su de ce crime d’État.

    Le massacre, (l’énième contre les Algériens) restera à jamais impuni, judiciairement et politiquement.

    « Le massacre le 17 octobre 1961 à Paris de plusieurs dizaines d’Algériens avait été rapporté au président Charles de Gaulle, qui a pourtant maintenu dans ses fonctions le préfet Maurice Papon et les ministres responsables », est-il en effet mentionné dans ces archives déclassifiées et publiées ce lundi, par Mediapart.

    Ce jour-là, quelque 30.000 Algériens avaient manifesté pacifiquement à l’appel du FLN (Front de libération nationale) contre le couvre-feu qui leur était imposé.

    Outre de nombreux blessés, plusieurs dizaines furent tués, leurs corps jetés dans la Seine».

    Le 16 octobre, à l’occasion d’une cérémonie pour le cinquantième anniversaire de ce massacre, Emmanuel Macron avait reconnu, dans un communiqué, des «crimes inexcusables» commis «sous l’autorité de Maurice Papon».

    Dans les archives déclassifiées, Médiapart, « a retrouvé une note datée du 28 octobre 1961, rédigée par le conseiller du général De Gaulle pour les affaires algériennes, Bernard Tricot ».

    Il écrit au président de la République française de l’époque, qu’«il y aurait 54 morts».

    «Les uns auraient été noyés, les autres étranglés, d’autres encore abattus par balles. Les instructions judiciaires ont été ouvertes. Il est malheureusement probable que ces enquêtes pourront aboutir à mettre en cause certains fonctionnaires de police», y explique le haut-fonctionnaire.

    Dans une seconde note datée du 6 novembre 1961, M. Tricot expose à Charles de Gaulle une «question d’ordre gouvernemental» : «savoir si on se bornera à laisser les affaires suivre leur cours, auquel cas il est probable qu’elles s’enliseront, ou si le ministre de la Justice (ndlr: Bernard Chenot) ainsi que le ministre de l’Intérieur (ndlr: Roger Frey) doivent faire savoir aux magistrats et officiers de la police judiciaire compétente que le Gouvernement tient à ce que la lumière soit faite».

    «Il importe beaucoup, semble-t-il, que le gouvernement prenne dans cette affaire une position qui, tout en cherchant à éviter le plus possible le scandale, montre à tous les intéressés que certaines choses ne doivent pas être faites et qu’on ne les laisse pas faire», poursuit-il.

    La note, retrouvée aux Archives nationales françaises, après sa déclassification en décembre dernier, porte la réponse manuscrite du général De Gaulle : «Il faut faire la lumière et poursuivre les coupables» et «Il faut que le ministre de l’Intérieur prenne vis-à-vis de la police une attitude d’+autorité+, qu’il ne prend pas».

    Aucune procédure à l’encontre de policiers n’a jamais été entamée. Les ministres de l’Intérieur Roger Frey et de la Justice Bernard Chenot ont été confirmés dans leurs fonctions, de même que Maurice Papon, qui a toujours nié quelque violence policière que ce soit.

    Maurice Papon a pourtant été condamné en 1998 pour complicité de crimes contre l’humanité pour son rôle dans la déportation de juifs entre 1942 et 1944.

    Quoi qu’il en soit, ces crimes perpétrés par la France coloniale, à l’encontre des manifestants algériens, ont révélé à l’opinion publique mondiale, la véritable nature de la France, et mis bas tous ses slogans creux relatifs aux droits de l’Homme.

    Yanis Younsi

    La patrie news, 06/06/2022

    #Algérie #France #17octobre1961 #DeGaulle #MauricePapon #Massacre

  • Algérie: Salima Souakri réagit aux « manipulations » du Maroc

    Algérie, Maroc, Salima Souakri, jeux méditerranéen, village des athlètes,

    Salima Souakri réagit à la manip des services marocains : « Vous êtes mal tombés avec moi ! »

    Patriote et nationaliste jusqu’au bout des ongles, Salima Souakri, notre grande championne nous a elle-même contacté après nos vaines tentatives de la joindre et le premier démenti que nous avions fait en citant des sources proches d’elle, et habilitées à s’exprimer en son nom. « cette fois-ci je déments catégoriquement et formellement de manière personnelle les propos personnels qui m’ont été attribués », at-t-elle commencé par nous dire, avant que le sang de la battante-championne » ne prenne le dessus : « vous êtes mal tombés avec moi », s’est elle exclamé, avant de décrire les infrastructures au top du village des athlètes qu’elle a elle-même visité, et pour lequel l’Algérie a mis le paquet. Tout en appelant tous les Algériens à s’impliquer pour la réussite éclatante de cet évènement, elle exprime ses appréhensions face au niveau très élevé des athlètes appelés à concourir contre les nôtres. Salima Souakri, qui a beaucoup donné pour le sport d’élite quand elle était Secrétaire d’Etat en charge de ce dossier, nourrit présentement de légitimes appréhensions. Mais, ainsi sont faits la concurrence et le sport.

    La Patrie News : Parlez-nous de la grosse et grossière manip dont vous avez été victime ?

    Salima Soukri : J’avais l’intention de publier un post de démenti sur ma page Facebook. Je n’étais pas au courant de cette manip qui m’a directement visée. J’en suis scandalisée. L’Algérie coule dans mon sang. J’ai mis en péril ma propre vie pour hisser très haut le drapeau algérien durant la décennie 1990. Mon engagement pour mon pays est absolu et non négociable.

    Il est certain en effet, qu’il s’agit là d’une scandaleuse manipulation qui cherche à porter atteinte à nos jeux méditerranéen…

    Il n’existe pas de jeux de cette envergure et à ce niveau qui ne comportent pas des manquements. Même ceux du Japon comportaient des lacunes, et je suis bien placée pour en parler. Nul n’est parfait. Ici, je tiens à apporter mon propre témoignage pour m’être rendue personnellement au village olympique d’Oran. L’Algérie a mis le paquet. Les infrastructures sont aux normes. On s’attend à un nouveau record en matière de participation par rapport aux précédentes éditions. Mes appréhensions sont surtout liées aux résultats car le niveau est très élevé. On est appelés à affronter les meilleurs pays et athlètes au monde. C’est franchement rien de le dire. D’autant que ce constat concerne l’ensemble des disciplines.

    Bien sûr, vous savez de quoi vous parlez…

    Bien évidemment. Je suis médaillée d’or des jeux méditerranéens. Et j’avais arraché la médaille d’argent à l’édition précédente. Je compte partager le podium et les médailles dans mon post de dément, que je n’ai pas eu le temps de préparer. En attendant, je lance un appel par votre biais à tous les Algériens, chacun de son côté et dans son domaine, à commencer par les supporters, pour que chacun s’implique en faveur de la réussite de notre grand évènement sportif. Il faut nous mobiliser, tous autant que nous sommes.

    Parlez-nous des infrastructures du village des athlètes…

    Sur le plan logistique et des infrastructures, je n’ai absolument aucun douter. J’ai moi-même visité les lieux. Le village est tout simplement magnifique. Il n’a rien à envier aux autres villages olympiques que j’ai eu la chance de visiter partout dans le monde au cours de ma carrière. Les chambres sont de haut standing. Toutes sont équipées de télévisions, climatisation et salles de bain. Le village comporte cinq restaurants, avec des aires de jeu, avec de nombreux terrains d’entrainement. Quand aux infrastructures sportives, je n’en parle même pas. Les équipements sportifs sont tout bonnement au top, aux normes de ce qui se fait de mieux partout dans le monde. Même le complexe aquatique comporte trois piscines, un bassin olympique de 50 mètres pour les joutes à proprement parler, ainsi que deux autres piscines destinées aux entrainements. Alors, franchement oser prétendre ou me faire dire que ce village ne comporterait pas de réseaux d’évacuation, cela va au-delà du ridicule. En tous cas, je termine pour dire à ces grossiers manipulateurs que vous êtes mal tombés avec moi, une patriopte-nationaliste jusqu’à la moelle…

    Propos recueillis par Mohamed Abdoun

    La patrie news, 06/06/2022

    #Algérie #Maroc #SalimaSouakri #Jeux_méditerranéens #Village_des_athlètes

  • Le président mauritanien reçoit le ministre de l’Energie algérien

    Le président mauritanien reçoit le ministre de l’Energie algérien

    Algérie, Mauritanie, Mohamed Arkab, Sonelgaz, Somelec, Naftal, ATTM,

    Le ministre de l’Energie et des Mines Mohamed Arkab en visite de travail les 6 et 7 juin en Mauritanie, accompagné d’une importante délégation du secteur de l’énergie et des mines.

    Selon le communiqué du ministère, « Au cours de cette visite, le ministre de l’Energie a eu l’honneur de rencontrer le président de la République islamique de Mauritanie, M. Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, qui lui a transmis à cette occasion les salutations de son frère, Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, et ses vœux au peuple frère mauritanien de progrès et de prospérité continus et l’importance qu’il attache au développement du partenariat stratégique algéro-mauritanien et sa détermination à poursuivre le travail conjoint pour faire avancer les efforts de stabilité et de développement dans la région.

    Le ministre a également eu un entretien avec son homologue mauritanien, le ministre du Pétrole, de l’Energie et des Minerais, Abdel Salam Ould Mohamed Saleh, au cours duquel ils ont discuté des moyens de renforcer la coopération bilatérale entre les deux pays dans le domaine de l’énergie et des mines.

    La rencontre a également été l’occasion de mettre en lumière les opportunités de coopération prometteuses entre les entreprises des deux pays dans les domaines de l’exploration et de la production d’hydrocarbures, de la commercialisation et de la distribution des produits pétroliers, de la production et du transport d’électricité, des mines, de la production d’engrais et de la formation.

    Ce fut aussi l’occasion de prendre connaissance des différentes démarches encourageantes prises par les entreprises des deux pays afin d’activer la coopération sur le terrain, alors que les pourparlers entre elles depuis 2021 ont abouti à la signature de plusieurs protocoles d’accord, dont le protocole d’accord entre Sonelgaz et la société mauritanienne d’électricité SOMELEC, et un contrat commercial entre Naftal et la société d’assainissement Transport et Maintenance ATTM.

    Le ministre de l’Energie s’entretiendra ultérieurement avec d’autres membres du gouvernement mauritanien.

    L‘Evénement, 06/06/2022

    #Algérie #Mauritanie #Sonelgaz #Somelec #Naftal #ATTM

  • Algérie. Ex-députés, ex-sénateurs : que sont-ils devenus ?

    Algérie, ex-députés, ex-sénateurs, mandat, privilèges,

    Il suffit juste d’avoir goûté à l’ivresse d’un seul mandat pour que l’on devienne otage malheureux de ce prestige avachi et de ces privilèges perdus. Une fois out l’hémicycle, tout s’estompe, l’on range ses cravates bigarrées, ses costumes cuivrés, ses mocassins dorés et l’on garde l’amertume au bout des soupirs et des regrets de voir le vieux beau temps finir de sitôt.

    Elle est difficile l’accoutumance, elle torture, elle crucifie en silence. Rares sont ceux qui savent s’en découdre. C’est dans les parages des deux Assemblées, à Alger, sur la terrasse de la Rotonde qu’ils viennent sentir leurs victoires disparues et leurs lauriers fanés. Le temps subi à applaudir et à lever haut les mains est un manque à ne pouvoir le combler que par le retour sur des selfies avec d’anciens ministres qu’ils ne peuvent ni montrer ni diffuser en réseau social. Tous ou presque ont été les adeptes du cadre et roulaient pour le cinquième mandat dont ils ne disent plus rien maintenant. Même Bouteflika, par qui juraient-ils à tous les podiums, n’est plus un mot utile à prononcer.

    Certains de ces ex-députés et sénateurs s’effacent dans les places de leurs provinces et ne soufflent le bon vent qu’une fois installés sur une chaise de café en face de l’Aletti ou de la Grande Poste. C’est là qu’ils croient grandir pour ne pas se voir mourir tout de suite là où l’urne les a vu naître. Les autres, à défaut d’être dans la grande avenue Zighoud Youcef, se rabattent sur les environs du siège de leur wilaya. Là où ils bombaient le torse et s’évanouissaient dans les sofas soyeux du salon d’honneur des walis. De loin, à l’abri des regards, à bord de véhicules, ils sustentent leur ego flétri par les souvenances et les bobards envers ceux qui ne les ont pas connus p’tits poussins de laboratoire.

    Attablés, je les ai vus, avec les nouveaux venus, tous tombés sous le charme de l’enthousiasme du moment; les ex tiennent à relater tel un conte biblique leur passage sur les bancs des immeubles formant la belle façade maritime algéroise. Ils ne disent plus rien sur l’exploit du cadenas ou sur la déferlante mouvance du 22 février qu’ils tentent de s’en y identifier louant ses effets. L’audace aussi persiste à couvrir sans gêne et à l’éternité leur drôle de visage. Mayna ! Pour preuve qu’aucun sens partisan ou idéologique n’était leur priorité, n’ayant de prévalence que le tremplin recherché; ils ne pointent plus aux instances de base de leurs partis. Fini l’élan de dissuasion, les yeux doux et le verbe enivrant. S’occuper et remplir son vide temporel par une réjouissance inachevée ou par un investissement quelconque ne peut suppléer le rang social qu’ils croyaient avoir acquis. Ils semblaient avoir été quelque chose, ils sont rien du tout. C’est naturel, quand on provient du néant, on réintègre en fin de course ce même néant.

    Quant aux élus locaux à mandat échu, la nostalgie du poste les dévore à la mesure du lourd temps qui passe depuis leur extinction. Les cérémonies ne sont plus au rendez-vous. Ni les audiences ni les sollicitations. Ils les guettent à la moindre occasion.

    Lorsqu’on bâtit sa personne sur le précaire et l’on se convainc que c’est durable, c’est à l’angoisse, à l’isolation de vous tenir compagnie. Ce phénomène d’accoutumance est parfois vécu dans la chair et ne s’avoue jamais en public. On le malaxe à l’intérieur de soi, mais il reste visible chez les observateurs pertinents. «A qui racontes-tu, ton Zabor, ô Daoud» !? La pension grasse et gracieuse, l’aisance financière, le confort matériel des rejetons ne suffiront pas à compenser la considération sociale que l’on prétendait avoir. Il manquera toujours cette position valorisante, même fausse, dans la hiérarchie du douar.

    El Yazid Dib

    Le Quotidien d’Oran, 07/06/2022

    #Algérie #Députés #Sénateurs #Mandat

  • L’Algérie se replace

    Algérie, Abdelmadjid Tebboune, Diplomatie, mouvement des Non-alignés, nouvel ordre mondial,

    ALGER – En Afrique, dans la région Mena (Moyen Orient et Afrique du Nord) et dans le bassin méditerranéen, on respire mieux, depuis l’élection du président de la République, Abdelmadjid Tebboune.

    En accédant, à la magistrature suprême, le président Tebboune avait conscience de ce qui l’attend sur le front interne et sur le front international. Plus que des mots, le pays a un grand besoin d’actes.

    Le chef de l’Etat n’a pas perdu son temps, il a très vite lancé les chantiers institutionnels, économiques et politiques pour changer la pratique du pouvoir et repenser un modèle démocratique qui était au pied du mur.

    Il fallait aussi redonner des couleurs à un appareil diplomatique désemparé. Chose faite, en un laps de temps très court, le président Tebboune, a replacé l’Algérie dans l’échiquier mondial. Le pays, a retrouvé toute sa place dans le concert des Nations.

    Sous la direction du président Tebboune, l’Algérie veille à rester au cœur du jeu international. L’Algérie, se retrouve sur tous les dossiers régionaux et internationaux.

    L’Algérie, est sur tous les fronts, elle occupe la scène, elle s’apprête à organiser un important sommet des pays Arabes, un sommet qui promet et qui se veut rassembleur, surtout en ces temps de grandes turbulences.

    D’ailleurs, avec l’avènement du nouvel ordre mondial, le président Tebboune est fortement sollicité par ses pairs, pour remettre en selle, le mouvement des Non-alignés.

    L’Algérie est incontournable, la posture de son président qui n’oscille jamais d’une position à l’autre comme une pendule, contribue à son rayonnement.

    APS

    #Algérie #Diplomatie #Tebboune #NouvelOrdreMondial