Catégorie : Algérie

  • Algérie : Le métro d’Alger prêt à circuler de nouveau

    Algérie : Le métro d’Alger prêt à circuler de nouveau – Métro El Djazaïr, coronavirus, pandémie, covid 19,

    Dans l’attente d’un feu vert qui pourrait intervenir dans les prochains jours, le métro d’Alger est prêt à recevoir ses usagers.

    La société d’exploitation de l’entreprise « Métro El Djazaïr », s’est adaptée au protocole sanitaire et au respect des mesures barrières pour une reprise malgré l’épidémie de coronavirus.

    Dans des photos postées par la même société, on y voit les premiers autocollants installés au niveau des stations, à l’intérieur des rames dans les ascenseurs. Sur le sol, des cercles colorés ont été placés devant les guichets et les distributeurs de tickets, de façon à ce que les voyageurs respectent au moins un mètre de distance dans la file d’attente.

    A l’intérieur des rames, des autocollants rappellent « le port obligatoire du masque ». Tandis que d’autres placés sur des sièges sur lesquels il est indiqué « Ne pas s’asseoir ».

    Les ascenseurs ne devraient être utilisés que par « deux personnes » en même temps.

    D’autres autocollants sont placés juste devant les quais de façon à séparer les voyageurs qui descendent de ceux qui montent.

    Les photos publiées par la société d’exploitation du métro reflètent « les préparatifs », « en attendant le feu vert des autorités pour la réouverture », a-t-elle précisé.

    Invité, lundi dernier, à s’exprimer sur la reprise du transport ferroviaire et du métro, le ministre des Transports, Lazhar Hani, a déclaré à la radio que la décision de la reprise des trains et du métro «dépend des hautes autorités du pays ».

    Aziz.T.

    AB News, 29/04/2022

    #Algérie #Métrol

  • Liste des compagnies aériennes qui desservent l’Algérie

    Liste des compagnies aériennes qui desservent l’Algérie – vols, voyages, réservation, Air Algérie, baisse des prix des billets,

    Depuis le 28 mars 2022, il y a plus de vols internationaux de et vers l’Algérie. Le ministère algérien des Transports avait, en effet, annoncé un nouveau programme de 64 vols supplémentaires dont 49 de et vers la France, accordé à la compagnie nationale Air Algérie. Cette hausse du nombre des vols a engendré une baisse des prix des billets lancée le 4 avril par la compagnie aérienne algérienne avant qu’elle ne soit suivie par les compagnies opérant entre la France et l’Algérie.

    Depuis la réouverture partielle des frontières algériennes, mise en œuvre dès le 1er juin 2021, Air Algérie dessert plusieurs destinations dans de nombreux pays. Et depuis, il y a eu des hausses graduelles du nombre de vols. Et conformément au principe de réciprocité, les compagnies étrangères des pays desservis ont droit d’opérer le même nombre de vols de et vers l’Algérie. Il faut dire que hormis la France, l’Espagne et l’Italie, Air Algérie ne dessert qu’un seul aéroport dans chaque pays à l’instar de l’Allemagne, la Suisse, l’Angleterre, les Émirats arabes unis, le Qatar, le Canada et la Turquie.

    Voici les compagnies étrangères qui desservent l’Algérie
    Air France (France)
    Transavia (France)
    ASL Airlines (France)
    Volotea (France)
    Vueling (France et Espagne)
    Iberia (Espagne)
    Tunisair (Tunisie)
    British Airways (Royaume-Uni)
    Lufthansa (Allemagne)
    TUI Fly Belgium (Belgique)
    ITA Airways (Italie)
    Swiss (Suisse)
    Air Canada (Canada – à partir du 8 juin)
    Turkish Airlines (Turquie)
    Emirates (Émirats arabes unis)
    EgyptAir (Égypte)
    Qatar Airways (Qatar)

    Infos Algérie, 27/04/2022

    #Algérie #Vols #Voyages #Réservations #Billets

  • Un live d’une algérienne depuis la Mecque crée la polémique

    Un live d’une algérienne depuis la Mecque crée la polémique

    Un live d’une algérienne depuis la Mecque crée la polémique – réseaux sociaux, influenceuse, followers, Omra,

    Une influenceuse algérienne a créé une polémique en partageant un live sur les réseaux sociaux à partir de la Mecque. Celle-ci a été en effet descendue en flamme et a été durement critiquée pour son geste. Les internautes des différents pays l’ont prise pour cible affirmant qu’elle n’avait pas à faire cette vidéo.

    Une Algérienne très suivie sur les réseaux sociaux s’est rendu à la Mecque ce mois de ramadan 2022. Celle-ci a filmé la prière effectuée sur les lieux. Suite à cela, les internautes de différents pays musulmans l’ont attaqué violemment sur les réseaux sociaux.

    Ces derniers ont, en effet, dénoncé l’acte de l’influenceuse algérienne. Pour les internautes, cette dernière n’était pas concentrée sur sa prière, mais elle avait plutôt son attention braquée sur son téléphone pour voir les commentaires que son live avait suscités. Certains sont allés jusqu’à dire que la jeune femme algérienne n’était pas allée pour effectuer la Omra, mais pour augmenter le nombre de ses followers.

    Live à partir de la Mecque : La jeune femme algérienne s’explique

    Chose qui a fait réagir l’intéressée, qui s’est exprimée sur les réseaux sociaux. Elle a ainsi expliqué que son objectif à travers ce live était de partager l’impressionnante ambiance spirituelle à cette occasion et faire vivre du coup ses fans ces moments de prière. La jeune femme algérienne a indiqué ainsi qu’elle a été mal comprise et s’est dite d’ailleurs choquée par la réaction que son live avait suscitée.

    Il y a lieu de signaler que des internautes algériens sont aussi intervenus pour tenter de défendre leur compatriote. Ils ont ainsi soutenu que l’influenceuse algérienne n’avait rien fait de mal et elle n’a pas commis un crime pour être traitée ainsi.

    Il y a lieu de signaler que le ministère de la Omra et du Hajj saoudien a invité dernièrement, à travers un communiqué, les pèlerins à éviter de filmer et de prendre des vidéos sur les lieux saints.

    Infos Algérie, 28/04/2022

    #Algérie #Caroline_Chahinez #Influenceuse #LaMecque #Live


  • Vive l’Algérie

    Vive l’Algérie

    Vive l’Algérie – conspirations, complots, colonisation, Cameroun, FIFA, football,

    Par Salah Bey

    L’Algérie est, depuis toujours, victime de conspirations et de complots. L’histoire ne manque pas de preuves réelles, tangibles et vivaces.

    L’histoire témoigne que la colonisation n’est en fait que le fruit amer d’un complot entre Français et Ottomans autour d’un illusoire rêve de partager des richesses du pays ; en contrepartie, les derniers effacent l’ardoise française due à l’Algérie. Mais il n’en fut rien et l’Algérie fut abandonnée à son sort. Elle ne s’en est sortie qu’après plus d’un siècle de résistance et d’une glorieuse guerre, pour arriver à bout du joug colonial, en juillet 1962. Avant cette époque, l’empire romain avait, délibérément, entamé des croisades attentatoires pour annexer l’Algérie à Rome. Et sans le fabuleux Augustin, cette terre aurait été un prolongement de l’empire du soleil qui régna, des siècles durant, sur l’Europe.

    L’acharnement contre notre pays ne s’est pas arrêté pour autant et croit crescendo au fur et à mesure que l’Algérie gagne en force, en puissance et en développement. Elle ne manquait pas, à travers des périodes, de subir les velléités expansionnistes des uns et des autres, de voisins avatars du néocolonialisme dans une adversité sans nom. Sans nom puisque ces animosités surviennent de partout. D’Afrique noire, d’Orient arabe ou encore d’Europe aryenne. Et l’Algérie indépendante, à coût de feu et de sang, résiste toujours aux attaques de toute nature, venant des pays hostiles mais se disant frères, amis ou alliés, pour blasphémer notre Nation, cracher sur notre Histoire, détourner notre patrimoine, malmener notre stabilité socio-politique jusqu’à voler des succès sportifs ou ravir, en 2022, notre qualification au Mondial du sport roi.

    Au Mondial de 1982, l’Algérie était, aux yeux des Allemands un outsider à faire sortir du jeu avec aisance, après une spectaculaire qualification à Espana 82. Pour mémoire, il a fallu des calculs monumentaux entre cousins germains (Allemands, Autrichiens et FIFA) pour écarter Madjer et Belloumi, qui avaient singulièrement battu l’imbattable équipe du Manchett alors favorite. Les coups bas de la CAF de la FIFA, complices de toujours, sont trop nombreux pour être compris dans cet espace. Le dernier en date est ce scandale mondial commandité par des parties haineuses qui suivent les Algériens. Et il n’est un secret pour personne que Noirs et Blancs s’entendent merveilleusement et obstinément bien sur le dos de l’Algérie montante.

    Au-delà des ententes, Africains, Arabes et Européens auront toujours l’Algérie en travers. Fiers de notre présence là où les circonstances nous imposent, la tête haute, la rage de vaincre au cœur, bon gré malgré, comme ce fut le cas depuis le temps. Vive l’Algérie.

    E-Bource, 29/04/2022

    #Algérie #Colonisation #Cameroun #FIFA #Bakary_Gassama


  • Investissements algériens en Mauritanie

    Investissements algériens en Mauritanie – route, Tindouf, Bir Moghrein, pêche, chalutiers, SACOMAS,

    Des sources médiatiques mauritaniennes font état de la validation par les autorités algériennes du tracé de la future route qui reliera les deux pays. Cet axe stratégique partira de Tindouf vers la ville de Bir Moghrein et suivra donc l’ancienne route commerciale construite du temps de la colonisation française.

    L’Algérie, qui a décidé de financer les 100 premiers kilomètres, prévoit de construire deux stations-services, ainsi qu’un relais doté d’un grand hôtel dans la ville de Bir Moghrein. Selon ces sources, les travaux devraient débuter au courant du mois de juin prochain.

    Le Soir d’Algérie, 26/04/2022

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    Tizi-Ouzou : deux embarcations de pêche exportées vers la Mauritanie (Vidéo)

    L’entreprise SAKOMAS, spécialisée dans la construction navale, a procédé hier à l’exportation de deux chalutiers vers la Mauritanie. L’opération a été lancé hier à partir du port d’Alger : « La livraison des deux embarcations de pêche d’une longueur de 14 mètres était prévue pour mars 2020, mais a été reportée pour cause de la situation sanitaire marquée par la pandémie du Coronavirus. 

    Le client mauritanien, qui a séjourné depuis quelques jours dans la ville d’Azeffoun, où est basé notre chantier naval, a effectué, durant cette période, plusieurs tests qui se sont avérées concluant sur les deux embarcations », a déclaré M. Nour El Islam Benaoudia, P/DG de SAKAMOS. 

    Depuis le lancement de son chantier naval d’Azeffoun en 2015, SAKOMAS a construit pas moins d’une dizaine de bateaux de pêche de 12 à 19 mètres, au profit de clients de différents ports du pays.

    L’Algérie aujourd’hui, 29/04/2022

    #Algérie #Mauritanie #BirMoghreib #pêche



  • Des magistrats engagés dans la lutte contre la cybercriminalité

    Des magistrats engagés dans la lutte contre la cybercriminalité – Algérie, système informatique, piratage, hacking, cyberattaque, cybersécurité,

    Le risque de la cyberattaque est devenu majeur de par le monde. L’Algérie s’est dotée de moyens technologiques lui permettant de protéger son système informatique.

    Hocine NEFFAH

    Des magistrats vont bénéficier de formation poussée dans le domaine de la cybercriminalité. Cette formation qui vient à point nommé, permettra à l’institution judiciaire de revoir son regard sur ce créneau délicat et ses retombées sur la sécurité des personnes et du pays.

    À ce propos, le ministère de la Justice a jugé utile, voire nécessaire de s’arrimer à cette nouvelle donne qui s’est imposée dans le domaine des affaires judiciaires et d’autres dont le caractère politique est déterminant.

    La formation en question tourne autour du «rôle du cyber-environnement dans la stabilité de la cybersécurité internationale». La formation se fera en coordination avec les cadres en la matière qui appartiennent à la sphère occidentale en termes d’expérience au plan juridique ou au plan de la pratique relevant de la cyberattaque et des «rançongiciels».

    C’est dire que le volet de la cybercriminalité est tellement complexe et profond que l’enjeu est très important et sensible dans la perspective de parer aux menaces et dangers qui affectent et touchent le monde numérique et la Toile en général.

    L’Algérie n’est pas en reste de ces menaces. Elle fait face à plusieurs formes de la cybercriminalité. C’est ce qui a poussé les pouvoirs publics à prendre au sérieux ce phénomène qui menace le monde entier en se dotant de moyens de lutte qui,au plan des textes de lois qui au plan des techniques et des moyens de dissuasion des plus sophistiqués pour se protéger et épargner les institutions et les entreprises de cette menace du siècle.

    La formation qui concerne le corps des magistrats aura comme objectif de «mettre en place les principaux fondements du cyberenvironnement de l’UE et à examiner la capacité de ces fondements à consolider la stabilité de la sécurité internationale à travers le renforcement de la flexibilité électronique, l’instauration de la confiance et le développement de la coopération entre les acteurs». Et d’ajouter: «La nécessité de la coopération internationale pour la prévention contre la cybercriminalité, l’investigation et le suivi des actions liées à la cybercriminalité via les techniques modernes: défis et opportunités», annonce-t-on.

    Il faut dire que cette formation sera spécifique et particulière, puisque elle portera sur la cybercriminalité liée au secteur de la santé publique, la propriété intellectuelle pour des magistrats exerçant à la Cour constitutionnelle.
    Le risque de la cyberattaque est devenu majeur de par le monde. L’Algérie s’est dotée de moyens technologiques lui permettant de protéger son système informatique. Mais cela ne suffit pas, il faut arriver à mettre en oeuvre une nouvelle stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité et ses multiples menaces. Des experts en la matière soulèvent le principe de la lutte contre ce phénomène international en s’assurant que le principe de l’éthique et de la liberté soit garantis.

    Les spécialistes de ce domaine sensible reconnaissent la complexité de l’activité relevant de la cybercriminalité et les dangers multiples qu’elle peut provoquer de par le monde. D’ailleurs, un de ces illustres spécialistes de la sécurité contre la cybercriminalité, Lars Weber, souligne à ce propos que «les personnes à l’origine des cyberattaques sont aussi diverses que les attaques. À l’une des extrémités de la chaîne alimentaire cybernétique, vous avez l’apprenti pirate informatique peu qualifié qui a du mal à faire fonctionner correctement son logiciel malveillant. À l’autre bout, vous pouvez être confronté à des organisations parrainées par un État et disposant de ressources de pointe. Dans son essence, la cybercriminalité n’est pas différente de la criminalité traditionnelle, où l’on trouve toute la gamme des criminels: du voyou de la rue à une organisation terroriste mondiale», précise-t-il.

    C’est dire que le monde du numérique n’est pas aussi simple que cela est appréhendé par ceux qui s’adonnent à l’aspect ludique de cette Toile sans avoir la moindre idée des dangers dont elle fait l’objet.

    L’Algérie est déterminée à lutter contre ce fléau du siècle, mais aussi d’avoir toute l’expertise technologique et de maîtrise pour parer surtout à la cyberattaque des plus nuisibles et néfastes, à savoir l’attaque aux fondements de l’Etat et ses institutions dans le cadre de la guerre hybride de quatrième génération.

    L’Expression, 28/04/2022

    #Algérie #Cybercriminalité #cyberguerre #cybersécurité #Piratage #Hacking

  • La cyberguerre est mondiale !

    La cyberguerre est mondiale !

    La cyberguerre est mondiale ! – désinformation, cyberespace, Algérie, intoxication,

    La Toile est un champ de bataille où se mène une guerre mondiale de la désinformation. En réalité, si l’espace occupé par les tirs amis et ennemis s’étend à la planète entière, infestant tous les milliards d’ordinateurs qui composent le cyberespace , ce n’est pas à proprement parler une seule grande guerre, mais une multitude de petites guerres. Ces dernières font des victimes et il arrive de plus en plus souvent à ce qu’elles débordent sur la place publique. Des émeutes, des révoltes et des révolutions un peu partout sont presque totalement mues par ces batailles du Net.

    Ce n’est pas un hasard que le chef d’état-major de l’ANP évoque très régulièrement la guerre de 4e génération, dont on ne connaîtra jamais la fin. A moins d’un conflit nucléaire mondial que nous préparent l’Otan et la Russie à partir de l’Ukraine.

    En attendant, l’Algérie n’échappe pas à cette nouvelle logique de cyberguerre permanente. Elle est sciemment dépeinte dans certains sites Internet comme un immense bazar où tous les trafics possibles et imaginables s’y déroulent. C’est l’impression bizarre qui se dégage après quelques cliques dans des sites bien connus pour noyer la Toiles d’intox et autres rumeurs visant spécifiquement à ternir l’image du pays auprès de l’opinion mondiale et même aux yeux des Algériens.

    Ces mêmes « médias », qui ont tenté par le passé de déstabiliser la République, font montre d’une terrible efficacité, puisque la fausse image d’un pays corrompu et en voie d’effondrement que renvoie l’Algérie sur l’Internet est difficile à combattre. D’où la vigilance de tous les instants comme le recommande les pouvoirs publics.

    Il faut dire que la concentration des tirs sur notre pays précisément est assez suspecte, pour la simple raison que pour nombre d’autres pays où le problème de la corruption est évident, l’on ne lit rien sur le sujet. L’insistance sur l’Algérie poursuit donc un autre objectif que le seul éclatement de la vérité. En noyant la Toile algérienne de pareils « informations » on cherche visiblement à mettre à genou les Algériens eux-mêmes, en les faisant douter de leur propre indépendance. C’est là l’objectif ultime des cyber-ennemis qui ne nous veulent que du mal.

    Le propos n’est pas de dire que la corruption n’existe pas en Algérie, mais il se dessine clairement une volonté de noircir le tableau pour atteindre le moral de toute la société. Nous sommes manifestement devant une énième tentative de briser le fil, encore solide à ce jour, qui lie la société aux autorités centrales du pays.

    Par Nabil G.

    Ouest Tribune, 28/04/2022

    #Algérie #Cyberguerre #Cyberespace #Désinformation #Intoxication

  • Sergueï Lavrov les 9 et 10 mai prochain en Algérie

    Sergueï Lavrov les 9 et 10 mai prochain en Algérie

    Sergueï Lavrov les 9 et 10 mai prochain en Algérie – Russie, Ukraine, médiation, bons offices,

    Par S. Ould Brahim

    Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, effectuera une visite en Algérie les 9 et 10 mai prochain, a appris ce jeudi 28 avril le Jeune Indépendant de source diplomatique.

    Cette visite a été prévue lors de la visite le 5 avril dernier à Moscou du chef de la diplomatie algérienne Ramtane Lamamra qui s’est rendu dans la capitale russe dans le cadre d’une mission de bons office dépêchée par la Ligue arabe.

    Lamamra avait effectué cette visite en compagnie des ministres des Affaires étrangères de la Jordanie, du Soudan, de l’Irak et de l’Egypte, en sus du Secrétaire général de la Ligue arabe, afin de lancer des concertations avec la partie russe et de contribuer à trouver une solution diplomatique à la crise ukrainienne. La mission s’était rendu ensuite à Varsovie, en Pologne, pour y rencontrer le chef de la diplomatie ukrainienne, Dmytro Kuleba.

    Lors de cette mission, M. Lavrov a fait part alors à M. Lamamra de son intention de concrétiser prochainement une visite en Algérie qui était prévue de longue date.

    Lavrov qui sera accompagné de plusieurs responsables russes sera reçu par le président de la république Abdelmadjid Tebboune et aura ensuite des entretiens élargis avec Lamamra. Mais la visite n’a été programmée que suite à l’entretien téléphonique entre Tebboune et son homologue russe Vladimir Poutine le 18 avril dernier, a précisé la même source.

    La situation en Ukraine qui a pesé lourdement sur la situation économique des pays arabes notamment en matière d’approvisionnement en céréales sera au centre des discussions entre les deux responsables, selon la même source qui a ajouté que les deux délégations s’attèleront, en parallèle, à préparer la réunion de la 10e session de la commission mixte du partenariat économique qui était prévue en 2021 mais reportée en raison de la pandémie.

    Selon la même source, cette commission devrait se réunir en juin prochain à Alger.

    Le Jeune Indépendant, 28/04/2022

    #Algérie #Russie #Lavrov



  • Alger exige des preuves sur l’origine du gaz envoyé au Maroc

    Alger exige des preuves sur l’origine du gaz envoyé au Maroc – Espagne, Sahara Occidental, gazoduc Maghreb-Europe, Italie, France, Europe, GNL,

    Alger exige que Madrid et Rabat certifient l’origine de chaque lot de gaz envoyé au Maroc.

    Alger exige que Madrid et Rabat certifient l’origine de chaque lot de gaz envoyé au Maroc.
    L’exigence de l’Algérie, difficile à respecter, augmente le risque de priver l’Espagne des hydrocarbures algériens.
    Par Ignacio Cembrero
    L’Algérie a serré un peu plus la vis à l’Espagne jeudi, 24 heures après que celle-ci a réactivé le gazoduc Maghreb-Europe (GME) pour envoyer au Maroc le gaz qui lui manque depuis que le président algérien, Abdelmajid Tebboune, l’a fermé en octobre en représailles à l’hostilité du Maroc envers son pays. Les nouvelles exigences formulées par Alger jeudi sont difficiles à respecter, ce qui augmente le risque que le voisin algérien finisse par dénoncer ses contrats gaziers avec l’Espagne. Au premier trimestre de cette année, l’Algérie a fourni 26,1 % du gaz consommé par l’Espagne par le biais du Medgaz, le seul gazoduc encore en service entre les deux pays.

    La vice-présidente chargée de la transition écologique, Teresa Ribera, a assuré à Alger à plusieurs reprises – la dernière fois hier à Séville – qu’en aucun cas le gaz algérien ne sera fourni au Maroc. Son homologue marocaine, Leila Benali, a expliqué au début du mois que son pays achèterait du gaz naturel liquéfié (GNL) sur le marché international, qui serait déchargé et regazéifié dans une usine espagnole et finalement introduit dans le tuyau pour être envoyé vers les centrales électriques de Tahaddart (Tanger) et Ain Beni Mathar (dans l’est du pays), qui sont fermées depuis que le flux en provenance d’Algérie a été coupé il y a six mois. Elles produisaient un peu plus de 10 % de la consommation d’électricité du pays. Le Maroc ne dispose pas d’usines de regazéification, ce qui l’empêche de décharger le gaz qu’il acquiert dans ses ports. « Le gouvernement estime qu’il est nécessaire de répondre à l’appel à l’aide du Maroc, qui cherche une alternative à ses besoins électriques et industriels », a expliqué Teresa Ribera à Séville. Le gouvernement a répondu à cet appel en entamant des pourparlers avec Rabat fin 2021, alors que la crise avec l’Espagne, déclenchée un an plus tôt par les autorités marocaines, perdurait.

    « (…) Nous mettons à disposition, en termes commerciaux, les infrastructures pour le Maroc, mais avec la condition indispensable que ce soit le Maroc qui contracte le gaz naturel liquéfié » qui transite « par ce tuyau, en sens inverse, nord-sud, et que l’origine de ce gaz et le lieu où ce gaz est déchargé soient transparents et publics, afin que nous puissions être sûrs que le volume, l’origine et la destination soient conformes à cet engagement avec l’Algérie », a souligné le vice-président, selon l’agence Europa Press. « Le vice-président espagnol a donné des assurances au ministre algérien de l’Énergie, Mohamed Akrab, mais malgré cela, le Maroc et les infrastructures espagnoles de regazéification doivent certifier de manière transparente et publique l’origine des cargaisons de GNL » qui seront envoyées par le gazoduc Maghreb-Europe, a déclaré une source gouvernementale algérienne à El Confidencial. Il reste à voir si le Maroc accepte de rendre public à quels pays, en quelles quantités et où le GNL qu’il acquiert est regazéifié avant d’être introduit dans le gazoduc. Il n’y a aucune obligation légale de le faire. S’il accepte de le faire, ce sera pour ne pas mettre le gouvernement espagnol en difficulté avec l’Algérie. Le GNL destiné au Maroc sera regazéifié dans l’une des six usines existantes en Espagne, qui appartiennent toutes, partiellement ou totalement, à Enagás, une entreprise publique.

    « Le travail a commencé ».

    Il reviendrait donc au directeur technique du système gazier, qui dépend d’Enagas, de fournir les certifications. « Suite aux indications du ministère de la Transition écologique, les travaux ont commencé en ce sens », indiquent des sources de l’entreprise publique. Il s’agit d’une opération sans précédent dans l’histoire d’Enagas. Du côté marocain, on s’attend à ce que l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM) fasse de même dans le cas peu probable où Rabat accepterait. Que se passera-t-il si les informations demandées par les autorités algériennes ne sont pas rendues publiques au Maroc dans les termes exigés par Alger ? Le responsable algérien a évité de répondre à la question, affirmant qu’elle était prématurée. Il a insisté sur le fait que les assurances du vice-président n’étaient pas suffisantes. Le ministère algérien de l’énergie a averti dans un communiqué mercredi que « toute expédition de gaz naturel algérien fourni à l’Espagne, dont la destination n’est pas celle prévue dans les contrats, sera considérée comme une violation des engagements contractuels et, par conséquent, pourrait entraîner la résiliation du contrat qui lie Sonatrach [compagnie publique algérienne d’hydrocarbures] à ses clients espagnols », notamment Naturgy.

    Derrière la pression algérienne croissante sur l’Espagne se cache la colère suscitée par l’alignement du Premier ministre Pedro Sánchez sur le Maroc dans le conflit du Sahara occidental, comme en témoigne la lettre qu’il a envoyée au roi du Maroc, que ce dernier a rendue partiellement publique le 18 mars. Le lendemain, Alger rappelle son ambassadeur en Espagne, Saïd Moussi, pour des consultations. Alger est également irritée par le fait que le gouvernement espagnol va utiliser le gazoduc pour combler le déficit énergétique dont souffre le Maroc depuis que le président Tebboune a coupé son approvisionnement en gaz. L’Algérie, troisième exportateur de gaz vers l’Europe, est désormais un pays très convoité car il peut atténuer la dépendance énergétique de plusieurs pays européens vis-à-vis de la Russie. Si elle décide de rompre avec l’Espagne, elle pourrait trouver d’autres clients à moyen terme, à commencer par l’Italie, avec laquelle elle a approfondi ses liens énergétiques le 11 avril à l’occasion du voyage du Premier ministre Mario Draghi à Alger. Sa visite a été suivie par celle du ministre français des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, qui s’y est rendu pour étudier la possibilité d’augmenter les achats de gaz.

    L’Italie ou la France vont-elles acheter du gaz ?

    Si Alger annule les contrats de Naturgy, la société espagnole avec laquelle Sonatrach les a signés, cela mettra à l’épreuve la solidarité intra-européenne. L’Italie ou la France vont-elles acheter le gaz qui n’est plus vendu à l’Espagne ? « L’Algérie émettra également des doutes sur sa fiabilité en tant que grand exportateur de gaz », déclare un diplomate espagnol ayant une expérience du Maghreb. Une hypothétique coupure des approvisionnements algériens vers l’Espagne serait un problème sérieux, mais moins que l’année dernière. Les importations espagnoles de GNL en provenance des États-Unis ont augmenté de 460 % au cours du premier trimestre de cette année par rapport à la même période en 2021. Au cours des trois premiers mois de cette année, près de 37% du gaz consommé en Espagne était américain – en mars, ce pourcentage était de 43,3% – tandis que le gaz algérien ne représentait que 26,1%, un niveau historiquement bas. Avec les six centrales d’Enagás, l’Espagne possède à elle seule un tiers de la capacité de regazéification de l’Europe. Elle pourrait encore augmenter ses achats de GNL, pas seulement aux États-Unis, pour compenser une hypothétique réduction des approvisionnements algériens. Elle paierait cependant plus cher le GNL que le gaz qui arrive par le gazoduc Medgaz, qui fait l’objet de contrats à long terme, avec des prix inférieurs aux prix du marché, et qui n’a pas besoin d’être regazéifié à l’arrivée.

    El Confidencial, 28/02/2022

    #Algérie #Espagne #Maroc #SaharaOccidental #Enagas #Italie #France

  • Vols Algérie: Annonce importante des aéroports de Paris

    Vols Algérie: Annonce importante des aéroports de Paris – Paris Orly, Paris CDG, forte affluence,

    Paris aéroport a publié, ce jeudi 28 avril, une annonce importante concernant les vols au départ des aéroports de Paris Orly et CDG vers plusieurs destinations dont l’Algérie.

    Actuellement, plusieurs de 80 vols sont opérés, chaque semaine, au départ des aéroports de Paris Orly et CDG vers Alger, Oran et Constantine.

    Les autorités algériennes ont décidé, depuis le 28 mars, de renforcer le nombre de vols au départ de Paris vers l’Algérie. Quatre compagnies desservent l’Algérie au départ des deux aéroports parisiens. Il s’agit d’Air Algérie, ASL Airlines, Air France et sa filiale low cost Transavia.

    Aéroports de Paris: Une forte affluence les prochains jours

    Ce jeudi, Paris Aéroport a annoncé, dans un tweet, qu’un forte affluence est à prévoir ces prochains jours aux aéroports de Paris Orly et Pari-CDG.

    « Forte affluence à prévoir ces prochains jours à Paris-CDG et Paris-Orly. Lors du contrôle de sûreté avant l’embarquement, adoptez les bonnes pratiques pour passer plus rapidement cette étape. » écrit Paris Aéroport dans un tweet.

    Contrôles de sûreté: Voici ce qu’il faut savoir

    Paris Aéroport a donné, sur son site, quelques conseils pour passer sereinement les contrôles de sûreté.

    Avant de passer les contrôles, le passager doit s’assurer d’avoir ses documents de voyage et vérifier les objets autorisés et interdits à bord.

    Dans un premier temps, le passager doit présenter sa carte d’embarquement au contrôle d’accès, il suffit de la scanner ou de la montrer à l’agent de sûreté.

    Ensuite, le voyageur doit déposer son bagage cabine, il est invité à les placer sur le tapis roulant ou dans un bac, et dans un autre bac, il faut déposer les autres bagages à main.

    Dans un autre bac, il faut placer tous les produits liquides, aérosols et gels de moins de 100 ml après les avoir mis dans un sac transparent. Tout liquide, aérosol ou gel de plus de 100 ml est interdit à bord.

    Si vous voyagez avec un bébé, il faut déposer dans un bac l’ensemble de ses aliments nécessaires au voyage. il faut également déposer, dans un bac, tout médicament, denrée alimentaire de régime particulier ou solution désinfectante.

    Dans un autre bac, le voyageur doit déposer tout appareil électrique ou électronique. Les produits achetés en duty free doivent être déposés dans un autre bac. Enfin, avant de se présenter à la portique de sécurité, le voyageur doit vider ses poches et déposer dans un bac tout élément susceptible de déclencher une alarme.

    « Des contrôles aléatoires peuvent être effectués. » précise Paris Aéroport dans une vidéo publiée sur Twitter.

    Voyager, 28/04/2022

    #Algérie #France #Aéroports #Paris_Orly #Paris_CDG