Catégorie : Maroc

  • Maroc: A propos de l’exploitation du gisement de Tendrara

    Maroc: A propos de l’exploitation du gisement de Tendrara

    Maroc: A propos de l’exploitation du gisement de Tendrara – Sound Energy, Afriquia, Aziz Akhannouch,

    La société britannique Sound Energy a découvert le gaz naturel dans la région de Tandrara à l’est du Maroc, et en avril 2021, elle a signé avec la société Afriquia gaz un contrat de distribution et de vente de gaz naturel liquide GNL (Gaz naturel liquéfié) pendant 10 ans. Selon certaines sources, Afriquia a acheté, en échange, 2 millions de livres sterling du capital de la société en Grande-Bretagne.

    En 2020, la Direction des Impôts a décrété un avis d’imposition contre la succursale Maroc de la société Sound Energy Maroc East concernant les années 2016, 2017, 2018, indique la même source.

    Un mois après la signature d’un partenariat entre la société anglaise et l’empire énergétique d’Akhannouch, c’est-à-dire en mai 2021, le PDG de la société britannique Graham Leon s’est entretenu avec la direction des impôts, le ministère de Benchaaboun (du parti d’Akhannouch) et le bureau national des hydrocarbures et des minéraux dont la directrice est aussi membre du parti d’Akhannouch, pour trouver une solution à ces impôts enregistrés sur le compte de la société.

    Ici, une question se pose : Dans cette réunion, quelle est la place du ministère des Finances et de l’Office national des minéraux, tous deux dirigés par des personnalités appartenant au parti RNI d’Akhannouch lors de cette réunion ? L’affaire ne concerne que le directeur des impôts et le PDG de la société en question. Pourquoi la réunion a-t-elle eu lieu un mois après l’accord de partenariat entre Afriquia Gaz et non pas en 2020?

    Deux mois après, en août 2021 plus précisément, contrainte par le devoir de déclaration en tant que société dont les actions se trouvent dans la Bourse de Londres, la société a annoncé que ses actions ont augmenté de 11% suite à la décision de l’administration des impôts d’abandonner la créance fiscale.

    Ainsi, précise la source, Afriquia a acheté les actions, puis la réunion a eu lieu pour ensuite faire tomber l’argent réclamé par le fisc élevant ainsi à 11% les actions de la société britannique. Ce qu’Afriquia a perdu dans la transaction commerciale a été gagné dans la Bourse de Londres, conclue la source.

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    Sound Energy remporte le contrat de vente de gaz pour le projet Maroc ; Hausse des actions

    Les actions de Sound Energy PLC ont augmenté mardi matin après avoir signé un accord de 10 ans avec la compagnie nationale d’électricité marocaine ONEE pour la vente du gaz de sa concession de Tendrara dans ce pays africain.

    La société énergétique cotée à Londres a déclaré que les partenaires de la concession se sont engagés à fournir des volumes annuels allant jusqu’à 350 millions de mètres cubes de gaz, avec un volume annuel d’achat ferme de 300 millions de mètres cubes.

    Le président exécutif Graham Lyon a déclaré que l’accord de vente de gaz permet à la société de progresser dans le développement du projet et sous-tend les discussions avec les partenaires financiers.

    Les actions à 08h53 GMT étaient en hausse de 12% à 1,45 pence.

    Jaime Llinares Taboada

    Market Watch, 30/11/2021

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    Sound Energy conclut un accord de vente de gaz sur la deuxième phase de Tendrara au Maroc

    Sound Energy, la société de transition énergétique, a annoncé que des progrès significatifs ont continué à être réalisés pour satisfaire les conditions préalables restantes à l’accord de vente de gaz GNL de la phase 1, annoncé par la société le 29 juillet 2021.

    L’accord de vente de gaz naturel liquéfié (GNL), relatif à la phase 1 du développement de la concession de production de Tendrara, s’ajoute à l’accord de vente de gaz de développement de la phase 2, annoncé par la société le 30 novembre 2021, relatif au plan de développement plus large, basé sur le gazoduc.

    Sound Energy a maintenant satisfait toutes les conditions préalables sous son contrôle direct et la condition préalable importante restante du SPA de GNL qui n’est pas actuellement satisfaite concerne l’entrée de l’accord de prêt avec Afriquia Gaz décrit dans l’annonce de la société du 29 juillet 2021. Les autres conditions préalables qui ne sont pas satisfaites à la date à laquelle l’accord de prêt est conclu devraient être levées.

    Graham Lyon, président exécutif de Sound Energy, a commenté :  » Beaucoup de travail a été accompli au cours du mois dernier et les contrats ont été finalisés avec Ital Fluids. « 

    M. Lyon est convaincu que toutes les conditions préalables à l’accord général sur le GNL seront satisfaites de façon imminente et que, par conséquent, l’avis de lancement de la phase 1 du développement pourra être annoncé dès que tous les contrats auront été exécutés.

    Oil Review Africa, 01/12/2021

    #Maroc #Tendrara #Gîsement #Gaz #Afriquia #Sound_Energy

  • Maroc : pourquoi la démarche policière répressive

    Maroc : pourquoi la démarche policière répressive – Manifestations, Israël, normalisation,

    Manifestations au Maroc: deux raisons imbriquées face à « une démarche policière répressive »

    Dans un entretien à Sputnik, l’économiste marocain Fouad Abdelmoumni évoque les raisons des manifestations populaires au Maroc, qu’il classifie en deux catégories: la dénonciation de la normalisation avec Israël et les revendications socioprofessionnelles des enseignants contractuels qui revendiquent leur intégration à la fonction publique.
    Depuis quelques semaines, notamment après la visite le 24 novembre du ministre israélien de la Défense à Rabat, des manifestations populaires ont eu lieu dans plusieurs villes du royaume chérifien. Les plus récentes étaient organisées à l’initiative d’organisations pro-palestinienne pour dénoncer la normalisation des relations avec Israël et demander l’annulation de l’accord sécuritaire signé entre les deux pays. Cependant, d’autres manifestations avaient eu lieu auparavant pour des objectifs socio-économiques.

    Pour faire le point sur les causes de ces mouvements populaires, leurs revendications et les raisons pour lesquelles ils ne sont pas couverts par la presse internationale, notamment occidentale, Sputnik a sollicité l’économiste marocain Fouad Abdelmoumni, également militant des droits de l’homme et membre du conseil d’administration de l’ONG Transparency International Maroc. Selon lui, « actuellement, il y a deux types de manifestations populaires au Maroc ».

    L’emploi, à cause « de contrats léonins et illégitimes »

    « Il y a d’abord celles initiées par les jeunes candidats à l’embauche dans le secteur de l’Éducation nationale, qui contestaient auparavant le type de contrat sur la base duquel sont recrutés les enseignants actuellement », affirme M.Abdelmoumni, soulignant qu’en « ce moment, nous sommes à une moyenne de 15.000 enseignants recrutés par an avec des contrats que ces derniers considèrent comme léonins et illégitimes. Il en résulte, qu’actuellement, il y a environ 70.000 enseignants contractuels qui ne sont toujours pas intégrés dans la fonction publique et qui demandent leur intégration ».

    Et d’ajouter qu’ »outre ces derniers, il y a surtout des centaines de milliers de diplômés qui attendent également d’avoir l’opportunité d’être recrutés et pour lesquels le ministère de l’Éducation nationale a annoncé qu’il plafonnait l’âge des candidats à 30 ans. Le ministère exige également des candidats d’avoir des mentions très élevées non pas dans leurs études universitaires mais ironiquement au baccalauréat. Il faut savoir qu’il y a des centaines de milliers de candidats qui ont déjà atteint cet âge limite ou qui pensent l’atteindre à la date à laquelle ils pourront candidater à un poste d’enseignant. Ces jeunes considèrent que certaines de ces conditions sont illégitimes, infondées et discriminantes ».

    Quid de la normalisation avec Israël?

    Par ailleurs, l’interlocuteur de Sputnik explique que « le second type des manifestations est effectivement lié aux appels contre la normalisation des relations avec Israël, mais surtout contre la visite du 24 novembre, au Maroc, du ministre israélien de la Défense, Benny Gantz, lors de laquelle un accord-cadre de coopération sécuritaire et militaire a été signé entre les deux pays ».

    Et de rappeler que « ces manifestations ont réuni des dizaines de milliers de Marocains dans un très grand nombre de localités. Cependant, elles ont été souvent soit empêchées par des cordons de sécurité de la police nationale qui ont interdit l’accès aux lieux où elles devaient se dérouler. Soit carrément réprimées dans la violence, quand certains participants ayant pu accéder aux lieux de rendez-vous avaient réussi à les faire démarrer ».

    Dans les manifestations contre la normalisation des relations avec Israël, la majorité des organisations ayant appelé la population à participer, à l’instar de l’Observatoire marocain contre la normalisation, ont estimé que l’accord sécuritaire signé entre les deux pays était un danger certain pour le royaume et toute la région.

    Ainsi, à la question de savoir si ces manifestations pourraient être commanditées de l’étranger, à l’image de celles du Printemps arabe, Fouad Abdelmoumni indique qu’ »à ce moment, il n’y a aucun indice qui permettrait d’accréditer la thèse d’une manipulation venant de l’extérieur du pays. Certes, plusieurs pays ont exprimé leur réprobation envers la politique sécuritaire du Maroc et ses derniers accords signés avec l’État hébreu. Mais tous les slogans scandés pendant les manifestations sont marocains, bien que nous ayons dernièrement remarqué que les slogans anti-régime deviennent de plus en plus présents ».

    Pourquoi le silence de la presse internationale?

    Enfin, concernant l’absence de traitement de ce qu’il se passe actuellement dans la presse internationale, M. Abdelmoumni estime que « probablement, le contexte mondial fait que certains évènements pourraient passer au second rang du traitement de l’actualité. Mais il y a également l’efficacité à court terme de la politique de muselage de la presse par l’État marocain. L’État marocain, dans sa nervosité à l’égard des médias ou des chancelleries, montre qu’il n’admet plus que ses déboires soient mis sur la place publique. Ceci a fait que beaucoup d’organes de presse ou de chancelleries préfèrent traiter ces questions avec beaucoup de précaution et de parcimonie. Nous sommes face à un État qui perd de plus en plus de sa superbe et de sa légitimité en se réfugiant dans une démarche policière répressive de premier rang ».

    En conclusion

    Pour l’économiste, « en signant ces accords avec Israël, il est clair que le royaume perd une partie de son autonomie, à cause de l’implantation des services de renseignement israéliens dans le pays qui auront accès de plus en plus à des informations sensibles le concernant. Ceci en plus des tensions exacerbées dans la région où l’on entend de plus en plus d’appels à la confrontation ouverte avec le Maroc de la part des Sahraouis et d’une partie de l’establishment algérien. Les risques de voir les conflits de basse intensité dans la région se transformer en confrontations de moyenne intensité voir de guerre ouverte sont réels et inquiétants ».

    « Les tensions internes dans le pays, à cause de l’incapacité du gouvernement à répondre aux aspirations de larges pans de la société, ne peuvent pas ne pas monter crescendo avec le temps à cause de l’absence de perspective d’une embellie économique et sociale dans la situation des engagements actuels de l’État marocain », conclut-il.

    Sputnik France, 02/12/2021

    #Maroc #Israël #Normalisation #Manifestations

  • France-Maroc: Pegasus, terrorisme et trahisons en chaine

    France-Maroc: Pegasus, terrorisme et trahisons en chaine

    France-Maroc: Pegasus, terrorisme et trahisons en chaine – conseil français du culte musulman, CFCM, espionnage, Mohamed Moussaoui, mosquées,

    Révélations / Les services marocains noyautent la communauté musulmane en France : Pegasus, terrorisme et trahisons en chaine…
    Le Makhzen n’est absolument pas digne de confiance. Son inconséquence et son inconsistance font qu’il va souvent jusqu’à trahir ceux qui se démènent (dans a plus totale illégalité) pour garantir l’impunité de ses frasques et ses crimes au conseil de sécurité. C’est par exemple le cas de la France, sans laquelle son entreprise coloniale au Sahara Occidental n’aurait jamais duré aussi longtemps. Or, loin de lui en être reconnaissant il en espionne son président de la République Emanuel Macron, à l’aide du logiciel sioniste Pegasus. Pis encore. Ce scandale planétaire n’est même pas éteint dans les mémoires qu’un autre vient d’éclater. Il est donné en exclusivité par le magazine Le Point, dont nous avons pu nous procurer le contenu. Il y est question d’une vile et sournoise infiltration, et même carrément prise de contrôle, du conseil français du culte musulman (CFCM), via son président le franco-marocain Mohamed Moussaoui.

    Cette mission de récupération et d’infiltration ne date pas d’hier. Elle dure depuis au moins 1998. Son objectif est comme de juste de multiplier les crasses et les peaux de banane pour l’Algérie, présente en force au sein de ce CFC. Est-il nécessaire de relever ici qu’un tacite « gentleman-agreement » interdit entre alliés et complices, comme le sont la France et le Maroc, toute action hostile et/ou d’infiltration sans que les deux parties n’en aient été informées.

    Or, le Maroc, adopte des cachoteries et des coups de poignards dans le dos, a omis d’en prévenir la France. Si bien que son principal homme de main, agent de la de Direction générale des études et de la documentation (DGED), l’équivalent marocain de la DGSE française, le fantomatique Mohamed B, a longtemps travaillé sous les ordres du sulfureux Yazid Mansouri sans que le contre-espionnage français n’en ait jamais été informé. Mohamed B, désormais activement recherché par la justice française, est sans doute un officier des services secrets français. Sans doute proche des milieux terroristes et salafistes activant en France, il est désormais en fuite, et demeure toujours insaisissable.

    Entre temps, il avait généreusement arrosé ce milieu de dizaines de milliers sous les prétextes les plus oiseux qui soient. On parle du paiement annuel de la location d’un appartement à l’usage douteux par un individu proche de ce Mohamed B, mais protégé par ‘immunité diplomatique. A cette scabreuse affaire est venue se greffer celle liée à l’infiltration par la DGED des renseignements généraux et police des frontières française.

    Le principal suspect dans ce dossier, est Charles D, officier de la PAF (police aux frontières) française. Il a bénéficié d’importantes sommes d’argent et de nombreux séjours de rêve au Maroc contre la fourniture de fiches de police sur des ressortissants français étrangers, et surtout algériens.

    Cette sordide affaire de corruption et de vénalité incarne au mieux le mode opératoire des services secrets marocains de Yazid Mansouri et Abdellatif Hammouchi. Il est certain que ces scabreuses affaires de l’ombre, particulièrement enchevêtrées entre elles, sont encore loin d’avoir livré tous leurs secrets. Or, pour qui sait que les espions de Mohamed VI n’hésitent pas à traficoter avec la pire engeance terroriste, il ya fort à parier que le ver est déjà dans le fruit français…

    Mohamed Abdoun

    La patrie news, 02/12/2021

    #Maroc #France #Pegasus #CFCM #Conseil_français_culte_musulman #Espionnage #DGED #Mosquées

  • Maroc: santé, éducation, gangrénés par la corruption

    Maroc: santé, éducation, gangrénés par la corruption

    Maroc: santé, éducation, gangrénés par la corruption – transparence, contrôle, services publics

    RABAT – Les secteurs de la santé et de l’éducation sont les plus gangrénés par le phénomène de la corruption au Maroc, selon l’Autorité nationale pour l’intégrité, la prévention et la lutte contre la corruption, relevant que « les mesures exceptionnelles prises par le gouvernement afin de lutter contre ce fléau sont inefficaces et ne répondent pas aux normes de transparence et de contrôle ».

    « Les secteurs de la santé et de l’éducation arrivent en tête des secteurs gangrénés par la corruption au Maroc », a indiqué l’instance dans son rapport annuel de 2020, notant que « la corruption touche davantage les secteurs du service public qui sont les plus sollicités par les citoyens ».

    Le rapport fait remarquer, en outre, « que 36.138 appels d’alerte sur les cas de corruption ont été enregistrés entre le 14 mai 2018 et le 31 décembre 2019 via la ligne directe mise en place par le procureur de la République afin de dénoncer la corruption », précisant que « ces appels ont conduit à l’arrestation de 117 suspects à travers le pays ».

    Il note que « le nombre d’affaires de corruption serait beaucoup plus important que celui arrêté car certaines affaires sont du ressort de la Police judiciaire », déplorant « le retard dans leur traitement ».

    #Maroc #Corruption #Education #Santé #Services_publics #Transparence #contrôle

  • Maroc : Le harcèlement en milieu scolaire -rapport officiel-

    Maroc : Le harcèlement en milieu scolaire -rapport officiel- Ecole primaire, ecole secondaire, harcèlement sexuel

    RABAT – Le Conseil supérieur de l’éducation, la formation et la recherche scientifique du Maroc a révélé dans un rapport d’enquête réalisé sur un échantillon de plus de 36.000 élèves de l’école primaire et secondaire, des données inquiétantes sur le harcèlement en milieu scolaire, notamment sexuel de la part des enseignants.

    « Au Maroc, 9% des élèves de la 6e année primaire et 17% des élèves de la 3e année secondaire collégiale sont victimes de harcèlement sexuel par leurs camarades », a indiqué un rapport du Programme marocain d’évaluation des acquis (PNEA), rendu public le 30 novembre par le Conseil supérieur de l’éducation, la formation et la recherche scientifique.

    Selon la même source, « 8 et 13% d’entre eux, respectivement, déclarent être harcelés sexuellement par leurs enseignants, contre 7 et 11% par le personnel administratif ».

    Le travail d’enquête a été réalisé en mai 2019 par l’Instance marocaine de l’évaluation (INE) du conseil, sur un échantillon de 36.808 élèves dont 18.025 au primaire et 18.883 au secondaire collégial.

    Les auteurs du rapport ont, en outre, fait savoir que le harcèlement sexuel n’affecte pas seulement les élèves entre eux. Il impacte aussi les relations élèves-enseignants et élèves-personnel administratif.

    Il relève que « le harcèlement sexuel des élèves se poursuit jusqu’en dehors de l’école ». Selon le PNEA, « 10% des écoliers et 20% des collégiens en ont été victimes dans l’environnement direct de leurs établissements scolaires », notant que sur internet, ces proportions « restent pratiquement les mêmes ».

    « Le harcèlement sexuel d’un enfant porte atteinte à la dignité de la victime qui se sent humiliée et chosifiée, ce qui de nature conduit à le traumatiser, perturber et compromettre son développement cognitif, psychique et social », souligne également le conseil dans son rapport.

    « Le phénomène prend plus d’ampleur au collège qu’au primaire. Il atteste d’une déviance par rapport à la norme et constitue un acte condamnable à l’extrême lorsqu’il se produit dans une institution d’éducation et touche les enfants », déplore le conseil.

    L’étude s’est également penchée sur les autres formes de harcèlement en milieu scolaire et ses conséquences sur le rendement des victimes en classes.

    « Un enfant harcelé et humilié se trouve handicapé dans le processus d’apprentissage. Le harcèlement scolaire est susceptible d’hypothéquer durablement la vie scolaire de l’élève qui en est victime », dénonce le rapport.

    Si les résultats obtenus par les élèves en 6e année primaire les moins exposés au harcèlement sexuel avoisinent la moyenne nationale (250), les scores enregistrés chez leurs camarades les plus exposés s’en écarte de 13 à 19 points, selon les matières, détaille l’étude.

    Même constat au secondaire collégial où les élèves les plus exposés au harcèlement perdent 14 à 22 points, selon les matières, par rapport à leurs camarades les moins exposés.

    #Maroc #Ecole #Milieu_scolaire #Harcèlement

  • France: Espion marocain au sein du Conseil de culte musulman

    France: Espion marocain au sein du Conseil de culte musulman

    France: Espion marocain au sein du Conseil de culte musulman – Maroc, DGED, Mohamed Moussaoui,

    Le média français Le Point révèle ce mercredi que le Conseil de culte musulman CFCM, dirigé par Mohamed Moussaoui serait infiltré par les services de renseignements du Makhzen.

    L’espion du Makhzen est soupçonné un agent secret marocain serait soupçonné d’avoir tenté à influencer l’islam de France à travers son rôle d’«agent traitant» du président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Mohammed Moussaoui.
    Il s’agit de Mohamed B, résident en France depuis 2010, fait objet d’un mandat d’arrêt depuis mars 2018 pour «corruption d’agents publics en France». Fiché «S03» , il est soupçonné d’avoir tenté d’infiltrer plusieurs organisations islamiques françaises pour le compte des services de renseignement marocain. L’homme qui a disparu de la circulation, dont les recherches à le retrouver sont vaines,est fiché «S03» et aurait réussi à s’accaparer de dizaines de fiches d’informations confidentielles portant sur des personnes plus ou moins liées à la mouvance islamiste.

    Mohamed B aurait réussi l’opération de la transmission illégale de documents officiels dont certains seraient classés «confidentiel défense» .

    Dans le même cadre, les enquêteurs sont persuadés que Mohamed B est un agent de la Direction générale des études et de la documentation (DGED). sa mission consistait à renforcer le contrôle du Makhzen sur la pratique de l’islam en Europe.

    L’espion fait partie du réseau marocain visant à asseoir l’influence du Maroc sur de nombreuses mosquées françaises ,à l’instar de ce qu’a été révélé il y a quelques semaines par les médias neerlandais sur le même subterfuge mis en place par le Makhzen, pour espionner les fidèles des mosquées en terre néerlandaise dont des ressortissants marocains Dans le cadre de cette enquête , le Point souligne que les quittances de loyer de l’appartement parisien occupé par Mohammed Moussaoui seraient directement adressées à un certain Samir X., attaché à l’ambassade du Maroc en France, mais qui en réalité serait le numéro 3 de la DGED à Paris. Après Pegasus, le Maroc est de nouveau éclabousse par un scandale d’espionnage. Que fera Macron, pour mettre hors d’état de nuire les agissement du Makhzen?

    Algérie54, 02/12/2021

  • Maroc: L’Espagne mobilise des navires de guerre dans les côtes

    Maroc: L’Espagne mobilise des navires de guerre dans les côtes – Iles Chafarines, Sahara Occidental, UE, accord de pêche

    L’Espagne a mobilisé des navires de guerre pour patrouiller et mener une surveillance accrue dans les eaux des Îles Chafarinas, au large des côtes de l’enclave Melilla, après avoir protesté officiellement auprès du Maroc contre la mise en place dêune ferme piscicole « illégale » près de ces îles, ont rapporté lundi des médias espagnols

    Selon le site « Info Defensa », le patrouilleur « Infanta Cristina » de la Marine espagnole a mené la semaine dernière une surveillance près des Îles Chafarinas dans les eaux que l’Espagne considère comme les siennes, mais que le régime marocain ne reconnaît pas et tente vainement de les occuper. Le média espagnol a précisé que la visite de ce navire, qui s’inscrit dans le cadre des opérations dites « permanentes », intervient après la protestation officielle du gouvernement espagnol contre le régime du Makhzen, suite à l’installation « illégale » de cette ferme piscicole près des eaux territoriales de l’enclave de Melilla. La ferme marocaine a été placée, il y a deux mois, selon la presse espagnole, à environ 700 mètres de l’île de Congrès (Chafarinas) dans les eaux de souveraineté espagnole . De son côté, le journal « El Confidencial », a évoqué la patrouille de la Marine espagnole près des îles Chafarinas sous le titre: » la tension entre l’Espagne et le Maroc se réactive 6 mois après l’invasion migratoire de Ceuta ». Ce média a relevé que l’envoi du patrouilleur « Infanta Cristina » est un « message subliminal » au régime marocain après la protestation officielle du ministère espagnol des Affaires étrangères contre « l’occupation illégale des eaux territoriales espagnoles ».

    DES PARTIS POLITIQUES ESPAGNOLS RECLAMENT UNE REPONSE « FERME » CONTRE LE MAROC

    Des partis politiques espagnols demandent au gouvernement de donner une réponse « ferme » à ce qu’ils qualifient comme étant une « hostilité permanente » du régime marocain envers Madrid. Le Parti populaire de Melilla (PP) a demandé au gouvernement espagnol de « donner une réponse ferme à l’hostilité permanente du Maroc avec l’Espagne », dans le cadre de l’affaire des fermes piscicoles du Makhzen près des îles Chafarinas, ont rapporté dimanche des médias espagnoles. La sénatrice du PP, Sofia Acedo a estimé que l’absence de réactions « peut être interprétée comme une faiblesse ou un manque d’intérêt » pour « la défense de l’intégrité territoriale de l’Espagne », selon les mêmes médias. « L’Espagne ne doit pas et ne peut pas consentir à la contestation permanente du Maroc contre notre pays. Après plusieurs épisodes hostiles, le Maroc revient avec deux fermes piscicoles, désormais sur la route Almeria-Melilla et dans les eaux territoriales espagnoles », a-t-elle fustigé.

    Pour la sénatrice, l’Espagne serait « confrontée à un chantage permanent » de la part du Maroc. De son côté, le parti de l’extrême droite VOX a annoncé, samedi, travailler sur une « demande d’information » qu’il adressera au gouvernement espagnol afin de connaître « la manière dont il entend réagir si le Maroc ne se conforme pas aux exigences espagnoles » d’abandonner les fermes piscicoles près des îles Chafarinas. Mercredi dernier, des sources diplomatiques espagnoles ont confié que le ministère espagnol des Affaires étrangères a remis, une semaine auparavant, « une note de protestation » à l’ambassade du Maroc en Espagne, contre une ferme piscicole marocaine dans les eaux proches des îles Chafarinas.

    Selon la presse espagnole, le chef de la diplomatie espagnole, José Manuel Albares Bueno, considère le projet marocain, comme « une occupation illégale des eaux territoriales espagnoles » et représente « un risque pour la sécurité de la navigation maritime et une menace pour l’environnement ». Le ministère espagnol des Transports avait donné un délai de 20 jours à la société espagnole spécialisée dans la pisciculture « Morenot », pour retirer les cages marines qu’elle a fournies et installées pour la société marocaine « Mediterranean Aquafarm », concessionnaire de ladite ferme, au risque de sanctions pour « installation en violation des lois sur l’environnement et de la sécurité maritime ».

    ACCORDS D’ASSOCIATION MAROC-UE: La Suède s’oppose à l’appel interjeté contre le verdict du Tribunal européen

    La Suède s’est opposée à la décision du Conseil de l’Union européenne (UE) de faire appel du verdict du Tribunal européen invalidant deux accords sur la pêche et l’agriculture liant le Maroc à l’UE et étendus au Sahara occidental occupé pour non-respect du consentement du peuple sahraoui, a affirmé l’Observatoire international Western Sahara Resource Watch (WSRW). « Dans un geste qui n’a surpris personne, le Conseil de l’UE a fait appel auprès de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) (…) mais le Conseil n’a pas été unanime », indique WSRW sur son site internet.

    L’observatoire chargé du suivi de l’exploitation des ressources naturelles au Sahara occidental occupé assure que « la Suède a voté contre la décision du Conseil de l’UE de faire appel de la décision du 29 septembre du Tribunal de l’Union européenne, qui a annulé à la fois l’accord agricole UE-Maroc et l’accord de pêche dans la mesure o˘ ils étaient appliqués aux territoires sahraouis occupés ». « L’objection suédoise à l’appel est conforme à la position déclarée du pays selon laquelle les accords bilatéraux UE-Maroc ne devraient pas être étendus au Sahara occidental », ajoute la même source. WSRW rappelle « qu’en 2018 la Suède a été le seul Etat membre de l’UE à s’opposer à la pratique que l’UE avait adoptée en réponse aux précédents arrêts de la Cour de justice de l’UE qui avaient déjà invalidé l’application des accords UE-Maroc à la dernière colonie en Afrique : l’approche consistant à insérer un amendement dans les accords contestés afin d’inclure explicitement le Sahara occidental dans leur champ d’application géographique, sans le consentement » du peuple sahraoui.

    La Suède a expliqué son refus d’approuver ces amendements en déclarant que « les exigences légales de la Cour européenne de justice n’ont pas été remplies » car « les organisations vitales représentant le peuple du Sahara occidental n’ont pas donné leur consentement », explique l’ONG. L’observatoire international déplore, en outre, le fait que le Conseil de l’UE ait cédé au chantage du Maroc en faisant appel du verdict du Tribunal de l’Union européenne après une réunion des ministres du Développement des 27.

    « L’appel avait déjà été approuvé provisoirement au niveau des ambassadeurs des Etats membres de l’UE (COREPER), le 10 novembre, mais devait encore être approuvé au niveau ministériel », a fait observer WSRW. L’approbation du COREPER, poursuit l’observatoire, « est intervenue quelques jours seulement après que le roi du Maroc a émis une menace claire vis-à-vis de l’Union » européenne lors de son discours tenu le 6 novembre à l’occasion de l’anniversaire de l’invasion militaire contre le peuple sahraoui.

    Lemaghreb.dz, 02/12/2021

    #Maroc #Espagne #UE #accord_pêche #Iles_Chafarines #ferme_piscicole

  • Maroc: Coup dur pour le secteur touristique

    Maroc: Coup dur pour le secteur touristique

    Maroc: Coup dur pour le secteur touristique – fermeture des frontières, covid 19, pandémie

    L’état du secteur du tourisme au Maroc, sévèrement frappé par la crise de la Covid-19, risque de connaître une grave détérioration à la suite de la décision des autorités de fermer de nouveau les frontières aériennes et maritimes, pour des raisons sanitaires, ont déploré des professionnels. « Le tourisme national est aujourd’hui sous-perfusion et la dernière décision des autorités (fermeture frontières aériennes et maritimes) est venue lui porter un nouveau coup dur », a réagi la présidente du Conseil régional du tourisme (CRT) de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Rkia Alaoui. « La situation est encore plus sombre dans la région du Nord qui souffre déjà d’un handicap majeur, à savoir la saisonnalité.

    Avec ce contexte défavorable, la crise qui sévit et les décisions intempestives des autorités, les chances pour les opérateurs de se remettre à flot sont quasi inexistantes », s’est-elle insurgée. « On décrie plus souvent la fermeture de l’espace aérien, mais il ne faut pas oublier la suspension des liaisons maritimes qui pénalisent fortement le tourisme national, et encore plus dans notre région », a-t-elle relevé. Les autorités marocaines ont décidé dimanche de suspendre tous les vols directs de passagers à destination du Maroc pour une durée de deux semaines à compter de lundi, en raison de « la propagation rapide du nouveau variant Omicron du Covid-19 ».

    Le Makhzen avait auparavant décidé de suspendre les liaisons maritimes en Europe, à partir de dimanche soir et « jusqu’à nouvel ordre ». Abondant dans le même sens, un autre membre du CRT de Marrakech-Safi, cité par le même média, sous couvert de l’anonymat, a tranché que « ce secteur (du tourisme) n’est plus agonisant, mais il est tout simplement mort ».

    Faisant état que les mesures prises par les pouvoirs publics, notamment le versement d’une indemnité aux employés, sont « insuffisantes », le syndicaliste a insisté sur « des actions plus importantes pour aider les opérateurs qui ont tenu bon et sauvegarder les emplois, mais aussi les métiers connexes ». Même son de cloche du côté de Jalil Madih, président de l’agence de voyages Alizés Travel, également membre du Morocco Travel DMC et de la Fédération nationale du transport touristique, qui a qualifié la décision de « véritable drame », alors que le secteur du tourisme est « déjà dans une situation très difficile ».

    « Nous assistons impuissants à des drames familiaux, nos salariés n’arrivent plus à payer les écoles de leurs enfants et leurs logements, plusieurs opérateurs ont mis les clés sous le paillasson, les transporteurs ont vu leurs véhicules saisis pour défaut de paiement. Cela fait pratiquement 22 mois que nous sommes à l’arrêt dans l’indifférence et le silence le plus total des autorités », a-t-il dénoncé.

    « Nous sommes en train de mourir à petit feu au vu et au su de tout le monde depuis plusieurs mois. Nous sommes livrés à nous-mêmes en l’absence de mesures urgentes et efficaces pour pouvoir maintenir le nez hors de l’eau. Le point de non-retour n’est plus loin. Et quand il y aura une reprise, personne ne sera là pour l’accompagner », a-t-il ajouté.

    La fermeture des frontières aériennes et maritimes du pays ont par ailleurs suscité de l’inquiétude sur le marché boursier marocain.

    #Maroc #Tourisme #Covid19 #Pandémie #Coronavirus #Fermeture_frontières

  • Maroc: l’UGEM condamne la répression du soulèvement estudiantin

    Maroc: l’UGEM condamne la répression du soulèvement estudiantin – Enseignement, âge de candidature

    L’Union générale des étudiants marocains a dénoncé « la répression excessive » des forces de sécurité contre les étudiants dans les différents établissements universitaires du Royaume du Maroc après avoir manifesté contre la décision du ministère de l’Education marocain sur le plafonnement de l’âge de candidature aux concours d’enseignement à 30 ans, brandissant la menace d’escalade des protestations.

    Dans un communiqué rendu public dimanche, l’organisation estudiantine a indiqué « suivre avec grande inquiétude » les décisions gouvernementales actuelles marquées par « la précipitation, l’ambiguïté et la confusion », faisant fi aux droits, aux libertés fondamentales et à plusieurs acquis matériels et moraux pour la concrétisation desquels la société marocaine, toute catégorie confondue, a payé le prix fort.

    Elle a également dénoncé « la décision injuste prise par le ministère de l’Education marocain qui entend plafonner l’âge de candidature aux concours du secteur de l’éducation à 30 ans, aussi bien que d’autres conditions et critères arbitraires et subjectifs visant l’exclusion directe et méthodique d’une large catégorie des chômeurs diplômés ».

    Le Royaume marocain est plongé depuis deux semaines environ dans une situation marquée par des manifestations massives des étudiants universitaires à travers toutes les régions du pays, pour dénoncer les décisions arbitraires dans le domaine de l’éducation et les conditions de vie difficiles que traverse le peuple marocain.

    #Maroc #UGEM #Etudiants #Age_candidature

  • Le Maroc prêt à accomplir « les plus sales besognes »

    Le Maroc prêt à accomplir « les plus sales besognes »

    Le Maroc prêt à accomplir « les plus sales besognes » – Israël, normalisation, Palestine

    TUNIS- Le parti des Travailleurs tunisien a mis en garde contre « les lourdes conséquences » qu’auront les conventions sécuritaires signées entre le Maroc et l’entité sioniste sur les régions arabes, du Maghreb et d’Afrique du Nord, soulignant que la régime du Makhzen est prêt à accomplir « les plus sales besognes » en contrepartie du soutien de son occupation du Sahara Occidental.

    Les conventions sécuritaires signées avec l’entité sioniste auront de lourdes conséquences sur les régions arabe, du Maghreb et d’Afrique du nord, a précisé le parti à l’occasion de la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien, célébrée le 29 novembre de chaque année.

    Les peuples et les forces nationales à travers le Monde arabe doivent redoubler d’efforts pour dénoncer la conspiration de certains systèmes arabes, a-t-il dit.

    Le parti a appelé toutes les forces nationales en Tunisie à trouver un cadre de coordination pour l’élaboration d’une loi criminalisant la normalisation avec l’entité sioniste (…), appelant à faire pression sur les autorités du pays pour les amener à adopter une position explicite contre la convention sécuritaire signée entre les gouvernements marocain et sioniste, vu ses répercussions directes sur la sécurité en Tunisie.

    Dans ce cadre, le parti des Travailleurs tunisien a réaffirmé son soutien au peuple palestinien, appelant les peuples libres à travers le monde à « redoubler d’efforts pour soutenir le combat du peuple palestinien (…) et lui permettre d’établir son Etat indépendant avec pour capitale Al Qods ».

    Le Front marocain de soutien à la Palestine prépare un plan d’action contre la normalisation

    RABAT – Le Front marocain de soutien à la Palestine et contre la normalisation prévoit d’annoncer, jeudi, un programme d’action contre la normalisation des relations entre le Maroc et l’Entité sioniste, indique-t-il dans un communiqué.

    Le Front marocain a invité la presse écrite, audiovisuelle et électronique ainsi que les agences de presse nationales et internationales et les attachés de presse accrédités auprès des ambassades étrangères à Rabat, à assurer la couverture médiatique de la conférence de presse prévue jeudi à midi, a indiqué mercredi un communiqué du Front.

    Selon la même source, les points à l’ordre du jour de la conférence sont : le bilan des actions menée, par le front, au cours de la troisième journée nationale de solidarité avec le peuple palestinien qui coïncide avec la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien, célébrée le 29 novembre. Il s’exprimera également  au sujet de la répression de plusieurs rassemblements organisés dans des villes marocaines contre la normalisation, en plus de la présentation de son programme de lutte au cours de la période à venir « pour mettre un terme à la normalisation ».

    Plusieurs sit-in de protestation organisés par le Front marocain de soutien à la Palestine et contre la normalisation, à l’occasion de la journée internationale de solidarité avec le peuple Palestinien, le 29 novembre, dans 36 villes marocaines ont été violemment réprimés par les forces de sécurités marocaines.

    Dans ce contexte, le Front a réaffirmé dans son communiqué, « la solidarité permanente et inconditionnelle du peuple marocain avec le peuple palestinien », assurant que les Marocains ne seront jamais favorables à la normalisation.

    « Nous sommes conscients de la difficulté et de la complexité de la période que traverse la cause palestinienne à l’international et dans le monde arabe, où le sionisme et l’impérialisme se sont alliés avec leurs agents

    locaux, dans une tentative d’enterrer la cause palestinienne » à travers desaccords (…) qui étaient dissimulés pendant longtemps.

    APS

    #Maroc #Israël #Palestine #Normalisation