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  • Services secrets. Quand Mansouri parle

    Par Driss Bennani
    Services secrets. Quand Mansouri parle
    Le très discret Mohamed Yassine Mansouri est récemment sorti de sa réserve légendaire. Répondant à la fameuse “accusation de génocide au Sahara”, il menace de porter plainte pour diffamation. Une première.

    La dépêche en a surpris plus d’un. Le bureau de l’AFP à Madrid y annonce que “le chef du renseignement marocain allait porter plainte” contre les associations sahraouies qui accusent l’Etat marocain de génocide au Sahara. Les responsables de ces associations avaient, en début de semaine, réactivé une plainte contre 32 personnalitésmarocaines, coupables, selon eux, de crimes et de tortures au Sahara, entre 1970 et 1986. Les grands généraux (comme Benslimane, Kadiri et Laânigri) y figurent au grand complet, aux côtés de quelques civils comme Driss Basri et Mohamed Yassine Mansouri qui, à l’époque, n’était encore que stagiaire au ministère de l’Intérieur. “Le projet de plainte traîne depuis septembre 2006, mais le juge espagnol a demandé aux plaignants de constituer un dossier plus solide et de supprimer quelques noms improbables, comme celui de Mansouri, pour qu’il puisse ouvrir une enquête”, affirme un observateur sahraoui. Finalement, sur les 32 noms initiaux, seuls 13 seront retenus dans le cadre de l’enquête ouverte par le juge Balthazar Garzon. Et comme prévu, la liste définitive ne comportait plus le nom de Mohamed Yassine Mansouri. L’affaire aurait donc très bien pu s’arrêter là. Mais notre espion en chef a cette fois décidé (et le fait est rare) de marquer le coup sur la scène publique. De passage à Madrid “dans le cadre de ses responsabilités”, il envoie une déclaration écrite à quelques médias locaux. Mansouri les gratifie même de quelques confessions personnelles. “Il est encore heureux que la justice espagnole se soit finalement aperçue que la plainte en question concernait aussi l’enfant âgé d’une douzaine d’années que j’étais dans les années 1970 (…) Mon nom a été cité dans la plainte initiale (…) Un tel préjudice vise à porter atteinte à mon honneur et à salir ma personne (…) (il) ne peut être passé sous silence et doit être aujourd’hui dénoncé”, a notamment déclaré Mansouri au bureau de l’AFP à Madrid. Le grand muet a finalement parlé. Mieux, il s’expose au grand jour et menace de porter plainte devant un tribunal espagnol pour “injures et diffamation”, “comme n’importe quel citoyen dont l’honneur aurait été bafoué”, précise une source proche de Mansouri.

    Mansouri dans la ligne de mire ?
    Selon plusieurs observateurs, “la contre-attaque de Mansouri confirme le changement de stratégie de l’Etat dans la gestion du dossier du Sahara, et plus largement celui des droits de l’homme. L’Etat ne compte plus se laisser faire et répond à chaque provocation. En plus, Mansouri n’est cette fois pas cité dans une petite affaire juridique ou technique, il est accusé de torture au moment où il avait 12 ans. Il ne pouvait laisser passer pareille occasion sans réagir”, affirme un membre du Corcas. “En plus, renchérit ce journaliste politique, le roi n’accepte pas que ses hommes ou que ses collaborateurs les plus proches soient mêlés à des affaires d’atteintes graves aux droits de l’homme. Leur virginité est même l’une de leurs plus grandes forces. Ils en ont besoin puisqu’ils mènent des négociations difficiles sur plusieurs fronts et avec plusieurs pays dont l’Espagne”. Depuis le redéploiement de Fouad Ali El Himma, Yassine Mansouri est d’ailleurs perçu par plusieurs capitales internationales comme le nouvel homme fort du régime. Il contrôle un appareil désormais décisif dans la prise de décision et jouit d’une confiance totale de la part de Mohammed VI. “Les services algériens le suivraient même de très près depuis que ses équipes ont réussi à infiltrer plusieurs groupes du Polisario en Europe. Même s’ils savent qu’il n’est en aucun cas responsable de torture dans les années 70, les plaignants sahraouis espéraient obtenir une poursuite contre Mansouri en sa qualité de patron actuel de la DGED. Cela aurait freiné son élan et affaibli sa position de négociateur”, croit savoir un militant associatif sahraoui, très proche des milieux indépendantistes installés en Espagne. Tout indique donc que la sortie de Mansouri était d’abord un signal adressé aux dirigeants du Polisario et à leurs soutiens en Europe et en Algérie. Une manière de dire : “Le Maroc ne baissera plus les bras, nous ne nous laisserons plus faire”. Mais en Espagne, la sortie de Mansouri est passée (presque) inaperçue. Au lieu de convoquer la presse espagnole, Mansouri s’est contenté d’adresser une déclaration écrite à l’AFP (agence peu reprise en Espagne), Europa Press (agence de presse privée) et au quotidien madrilène El Pais. “Très peu de gens en Espagne sont au courant de l’action de Mansouri, alors que la liste initiale de la plainte pour génocide a été largement diffusée, constate un journaliste espagnol à Madrid. Le chef du renseignement marocain a donc fait une très belle opération, mais elle a été très mal vendue, à moins que ça ne soit fait exprès” conclut-il.

    Et maintenant ?
    Aujourd’hui, en tout cas, rien n’indique que Yassine Mansouri ira jusqu’au bout de la procédure judiciaire. Il l’a dit lui-même en précisant “se réserver le droit” d’obtenir réparation du préjudice moral qui lui a été causé. Sa sortie a déjà créé une petite secousse à Tindouf. Son but (immédiat du moins) a donc été largement atteint. La plainte déposée contre l’Etat marocain suivra, quant à elle, son bonhomme de chemin. Balthazar Garzon, qui a déjà instruit plusieurs grandes affaires comme celle d’Augusto Pinochet, mènera son enquête “et butera sans doute sur des obstacles d’ordre technique, tout comme son confrère français Patrick Ramaël”, ironise un chroniqueur espagnol. Le Maroc a été d’ailleurs le premier à ouvrir le feu. Quelques jours seulement après la publication de la liste, Khalid Naciri, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, taxait Balthazar Garzon de proximité douteuse avec le Polisario. “C’est un juge très populaire qui n’est partisan que de lui-même et de son ego. Il cherche le vedettariat, même si plusieurs personnes lui reconnaissent une grande compétence juridique”, commente notre chroniqueur espagnol. Aux dernières informations, quelques associations marocaines comptent emboîter le pas à Mansouri et déposer différentes plaintes contre le Polisario ou contre … l’Etat espagnol. “Le dossier des armes chimiques utilisées dans le Rif par les Espagnols et la situation des droits de l’homme à Tindouf sont un bon créneau pour ces associations”, analyse un politologue à Rabat, qui poursuit : “le Maroc change de division et joue désormais avec les grands. Ses méthodes se professionnalisent également”, conclut-il. Ce vieux journaliste politique semble lui répondre en affirmant que “tant que le Maroc n’a pas courageusement soldé le dossier des droits de l’homme, en tirant au clair des affaires comme celle de Ben Barka, il se trouvera toujours un juge dans un pays quelconque pour traîner quelques-uns parmi ses responsables dans la boue et salir l’image de ce nouveau règne”.
    Espagne. Magistrats superstars

    En Espagne, il existe une seule juridiction habilitée à instruire des affaires de torture, de crime contre l’humanité ou de grande corruption : la Audiencia nacional. Cinq juges y siègent en permanence. Ils font généralement partie de l’élite des magistrats espagnols. Ce tribunal fonctionne sept jours sur sept et un juge (parmi les cinq) assure la permanence durant les week-ends et les jours fériés. “Les plaignants sahraouis ont délibérément choisi le week-end où Balthazar Garzon était de garde, pour être sûrs que c’est lui qui instruira l’affaire”, suppose un journaliste espagnol. Garzon est d’ailleurs de loin le juge le plus célèbre de la Audiencia nacional. C’est lui qui a été, par exemple, à l’origine des poursuites contre le général chilien Augusto Pinochet. Friand de coups médiatiques et de grandes affaires à fracas, Garzon jouit cependant d’une grande popularité en Espagne, aussi bien à droite que dans les rangs de la gauche. Il serait même pressenti pour présider un tribunal international. Pour l’instant, il n’a décidé que d’ouvrir une investigation au sujet du “génocide saharien”. Ira-t-il jusqu’à lancer des poursuites contre les généraux marocains ? Wait and see !

  • Une mascarade nommée Corcas

    Les membres du Conseil royal consultatif pour les affaires sahraouies (Corcas) ont-ils véritablement confectionné et «proposé» au roi un projet d’autonomie ? Ceux qui se sont exprimés en «off» sont unanimes : sous la pression du président et de certains «proches» du roi, ils ont «adopté» un «projet» dont ils ne connaissaient même pas le contenu. Ould Errachid a-t-il donc menti ?
    C’est un projet très attendu par l’ONU, même s’il est unilatéral et même si le principe d’autonomie est déjà rejeté par le Polisario. C’est également un projet destiné à faire sortir le Maroc de l’impasse dans laquelle il s’était engagé après avoir remis en cause l’option référendaire. Selon la majorité des observateurs, le Maroc a intérêt à faire une proposition “crédible”, notamment pour placer le Polisario dans une position d’embarras diplomatique. Mais sur le terrain, les faits se présentent différemment. Non seulement aucun détail sur le contenu du projet d’autonomie n’a été “divulgué” par Ould Errachid, président du Corcas, mais son discours, lors de la conférence de presse tenue le mercredi 6 décembre à Rabat, en a surpris plus d’un : «Le projet d’autonomie est la réponse définitive aux revendications historiques de tous les Sahraouis. Il ne fera l’objet d’aucune modification, aussi bien de la part de l’Etat que de la population. C’est un package définitif ». En insistant sur le caractère “définitif” de ce projet, l’Etat marocain entend «sans doute mettre la communauté internationale et le Polisario devant le fait accompli. C’est politiquement dangereux», note un observateur. Mieux encore, au cours de cette même conférence, Ould Errachid a dit … une chose et son contraire. Dans un premier temps, il a souhaité l’adhésion «de nos frères du Polisario à ce projet historique» et juste après, a assuré que ce même Polisario «vit aujourd’hui une crise profonde qui affaiblit de jour en jour sa direction et les campements». Le président du Corcas a ajouté : «Notre objectif est de produire quelque chose de crédible», mais «les grandes lignes de ce projet restent entre les mains du Palais qui en confectionnera « la dernière mouture »». Aucun mot, donc, sur le contenu du texte ou du moins ses grandes lignes : «Tout ce que je peux vous dire, poursuit Ould Errachid, c’est que le Maroc préserve, dans son territoire, tous les symboles de sa souveraineté ainsi que les droits politiques, économiques et sociaux des Sahraouis dans la gestion de leurs affaires. Et que les exigences de la communauté internationale seront garanties. Les détails sont encore secrets».
    Il faut dire que ce manque de précision n’a surpris personne. Depuis l’émergence de l’idée d’autonomie au Sahara occidental, les instructions de Mohammed VI en personne étaient très fermes à ce niveau : «Rien ne doit filtrer à la presse». Mais qu’en est-il des membres du Corcas ? A ce niveau, le “black-out” a été instauré, des mois durant, par la présidence. Résultat, un profond malaise parmi la composition du conseil royal, et qui s’est surtout manifesté au moment de la réunion avec la présidence, le lundi 4 décembre 2006 à Rabat. Officiellement, ce rendez-vous de la présidence avec ses membres devait être consacré aux “suggestions” relatives au projet d’autonomie, suggestions qui devraient être, par la suite, portées au roi.
    Le lundi 4 décembre 2006, à 9 heures, plusieurs membres du Corcas ont refusé de se réunir avec le président Ould Errachid. Le mécontentement était tel qu’il a fallu l’intervention d’un “proche du roi”, Yassine Mansouri, patron de la DGED (Direction générale des études et de la documentation, contre-espionnage marocain) et de Mohamed Draïss, ex-wali de Laâyoune et actuel directeur de la DGSN (Direction générale de la sûreté nationale). Les négociations avec les membres contestataires étaient ardues et ont duré jusqu’aux environs de 15 heures. «Ils se sont présentés comme des envoyés du roi, avec un message limpide : il faut calmer les esprits car la conjoncture est délicate», confie un membre du Corcas. Deux jours auparavant, une rencontre préliminaire a eu lieu entre Khelli Henna Ould Errachid, Yassine Mansouri et … l’inévitable Fouad Ali El Himma. Là aussi, les recommandations tendaient à faire prévaloir l’apaisement au détriment de la tension.

    Un corcas très contesté
    Prévue initialement pour le lundi 4 décembre à 9 heures, la réunion du Corcas n’a finalement commencé qu’aux environs de 16 heures. Elle s’est prolongée après 22 heures, et les débats ont porté essentiellement sur la gestion d’Ould Errachid, de plus en plus contestée. Les membres du Corcas (une quarantaine) lui reprochaient «son arrogance et un manque de communication qui renforcent la coupure» avec la population sahraouie. «Le Corcas a été institué par Sa Majesté pour écouter la population et essayer de résoudre ses problèmes. Or aujourd’hui, ce conseil est totalement éloigné de ces objectifs», s’est insurgé l’un d’eux. Ce malaise a pesé sur le déroulement des travaux lors de la réunion du lundi. «Notre silence a assez duré. Si vous ne pouvez pas résoudre nos problèmes, il faut le dire. Nous n’aimons pas parler dans le vide. Nos enfants risquent leur vie dans l’océan tous les jours pour pouvoir demander l’asile politique à l’Espagne. Je n’ai même pas 50 dirhams dans ma poche. Nous sommes tous nommés par le roi, comme vous …», aurait lancé au président un membre du Corcas. Une violente altercation s’est, par ailleurs, produite entre Oul Errachid et Houcine Beida, président de la commission des droits de l’Homme au Corcas et le plus contestataire des membres du conseil royal.
    En somme, assurent certains témoins, le Corcas n’a pas été capable de dépasser ses clivages pour aborder le sujet qui intéresse le plus l’opinion publique, nationale et internationale : le contenu du projet d’autonomie. Un membre a affirmé que le président en a parlé vaguement à la fin de la deuxième journée en soulignant qu’il comporte deux volets : juridique (essentiellement judiciaire) et économique (portant surtout sur la politique fiscale et le rôle de l’Etat marocain).
    Selon Khelli Henna Ould Errachid, le projet d’autonomie a été élaboré au sein du Corcas, par ses membres. «Une marque déposée Corcas», a-t-il lancé. Cette déclaration en avait fait sourire plus d’un lors de la conférence de presse de mercredi dernier à Rabat. D’abord, il n’y a aucun constitutionnaliste au sein du Corcas. Ensuite, aucune commission du conseil royal ne s’est réunie depuis déjà plusieurs mois, et tout le monde sait que le président a focalisé son action sur une diplomatie parallèle qui a totalement éclipsé le ministère des Affaires étrangères. Enfin, tous les membres qui ont été contactés, en “off”, par les journalistes sont unanimes : le projet d’autonomie n’a pas été discuté au sein du Corcas, encore moins “confectionné”, contrairement à ce que prétend son fringant président.

    L’arlésienne
    Quelles sont alors les grandes lignes du projet royal ? Selon des sources universitaires ayant participé, au sein de la REMALD (Revue Marocaine d’Administratoin Locale et de Développement), à l’élaboration de ce texte, il contient des dispositions très précises sur la politique fiscale devant être fixée par l’Etat central. Ce même texte prévoit que la justice, bien que liée à l’entité autonome, sera prononcée au nom du roi et qu’elle sera conduite par des magistrats sahraouis formés au sein de l’Institut supérieur de la magistrature à Rabat.
    A travers ce qui s’est réellement passé au cours de ces trois journées (lundi, mardi et mercredi derniers), la stratégie de l’Etat marocain semble se préciser : faire croire que le projet d’autonomie est sorti du Corcas, alors qu’en fait, il n’en fut rien. Jusqu’où ira donc le Corcas ? Cette question était dans l’air, ce mercredi 6 décembre 2006, à la fin d’une conférence de presse tenue par le président au lendemain d’une réunion, la première depuis plusieurs mois, avec des membres en ébullition. Pourquoi les autorités marocaines se sont-elles comportées ainsi ? Est-ce pour “protéger la confidentialité” du contenu ? Est-ce pour gagner du temps ? Est-ce pour imposer l’option centralisatrice, avec une mise en scène qui laisserait croire que le Corcas est véritablement représentatif de la population sahraouie, et que c’est à ce titre qu’il a “accouché” du projet ? Toutes ces hypothèses ont été présentes au cours de ces trois jours, et y ont pesé. Elles ont marqué l’action du président du Corcas, fortement épaulé par Fouad Ali El Himma et ses auxiliaires du ministère de l’Intérieur. Déjà élaboré, et en dehors du conseil royal sahraoui, le projet d’autonomie serait particulièrement décevant et ne différerait pas tellement de son prédécesseur, celui-là même qui avait été qualifié “d’insultant” par un certain … James Baker.

  • Los 10 salarios más altos de los jefes de estado en todo el mundo

    SIGUIENTE ARRIBA
    10 razones para no llamarla…
    Los 10 salarios más altos de los jefes de estado en todo el mundo, no todos son iguales (ni mucho menos).
    Ser presidente es una vocación que se logra a través de la ambición y después de haber superado muchos obstáculos. Pero, ¿qué es lo que nos atrae? ¿Por servicio público o por dinero? Depende del país que ocupe nuestro pensamiento. Porque en las cenas oficiales, no todo el mundo puede presumir de ganar el mismo dinero, ni mucho menos.
    1. Estados Unidos (antes de Trump)
    Cada mes, Obama se comería 26.435 euros. Pero Trump, para aprovecharlo al máximo, redujo el salario al euro simbólico. De todos modos, está pasando sus tinturas como gastos, así que tampoco hay que quejarse de él.
    2. Australia
    El Primer Ministro australiano palpita un poco más de 25.000 euros al mes. Suficiente para pagar tu peso en canguros.
    3. Lituania
    En Lituania, el jefe de Estado gana 23.200 euros al mes, que es exactamente la mitad del tamaño de Lituania en metros cuadrados, aquí tienes, aprendes mucho.
    4. Canadá
    Con su Cananananadair, el Primer Ministro canadiense recibe una transferencia mensual de 17.544 euros en una fecha fija. Lo que probablemente explica por qué Justin Trudeau tiene bonitos disfraces de piel y calidad.
    5. Bélgica
    17.381 euros una vez para ser el primer ministro una vez de un estado que acaba de ser creado para que la gente pueda hacer bromas al respecto, yo digo que no está mal.
    6. Italia
    El Primer Ministro italiano tiene mucho que ofrecer. Con 17.300 bolas cayendo cada mes, es simplemente el sexto jefe de estado mejor pagado del mundo y el primero en Italia porque el Papa es un sacerdote, así que podemos considerarlo un tipo duro.
    7. Alemania
    En Alemania, la canciller, en este caso una canciller, en este caso Angela mwen ké fend’tchou aw Merkel, impone su marca al euro aumentando un poco más el déficit europeo a través del recibo mensual de 16.663 euros al mes, les dejo contar el número de 6 en esta cifra para familiarizarse mejor con Satanás.
    8. Guatemala
    15.379 euros para el presidente guatemalteco. Así que cuando le pica la espalda, puede permitirse preguntarle a sus secuaces guatemaltecos, por favor.
    9. Suecia
    El Primer Ministro sueco baila todo el día haciendo que las muñecas se hundan ya que recibe 15.138 euros al mes para hacer sonrisas en todas partes y tener frío.
    10. Azerbaiyán
    En Azerbaiyán, una buena manera de estar en paz e intentar socavar los derechos humanos es ganarse la vida como presidente. Y puedo decirles que no nos privamos de ello, allí, ya que el presidente del país recibe 15.098 euros al mes.
    11. Dinamarca
    Con 14.800 euros al mes, el presidente danés puede cantar Enrico Macías, como give, give, give me, o más precisamente Dannez, Dano-is. Sí, pero haciendo bromas sobre 30 países seguidos, te aseguro que no es fácil.
    12. Irlanda
    Curiosidad: el Primer Ministro irlandés recibe 14.018 euros al mes, más que su colega del Reino Unido. Hecho curioso.
    13. El Reino Unido
    Curioso: el Primer Ministro inglés recibe 13.873 euros al mes, menos que su amigo irlandés. Hecho curioso.
    14. Japón
    En la tierra del sol naciente, ganamos 13.535 euros al mes para la primera demostración. Oh yen.
    15. Turquía, Turquía
    El muy amable Erdogan recibe 13.504 euros al mes. Pero también tiene que tomar las regalías cada vez que la gente dice cosas malas de él en los medios de comunicación, así que puede llegar a más.
    16. Francia
    En Francia, después de un fuerte aumento con Sarko y un descenso relativo con Holanda, el salario del Presidente es de 13.505 euros. Eso es mucho, pero sigue siendo razonable. Todavía estamos hablando de un tipo que tiene que tener cenas regulares con presidentes de países aburridos, como Bulgaria.
    17. Los Países Bajos
    Si el PIB de los Países Bajos va bien, es probablemente porque el Primer Ministro, que recibe 11.856 euros al mes, no bombea todos los fondos del Estado.
    18. Argelia
    Argelia es el único país del mundo donde un hombre momificado puede ganar 11.213 euros al mes.
    19. México
    El Presidente de México gana 10.893 euros al mes. Pensando que pagará por la pared, Trump quiere construir de su propio bolsillo.
    20. Kenia Kenia Kenia
    10.653 euros. Kenia tiene más, hay más. (Sí, estoy cansado de bromas).
    21. Chile
    10.574 euros para el presidente de Chile. Mucho con lo que relajarse, todo el día.
    22. noruego
    Primer Ministro de Noruega, paga más que un albañil, por ejemplo, ya que pagamos 10.414 euros al mes. Después de eso, dado el nivel de vida en Noruega (SMIC en más de 2000 pelotas), es relativamente bajo.
    23. Rusia
    Podemos decir lo que queramos de Vlad’, pero no que sea corrupto. Con 9.053 euros, ni siquiera tiene las 10.000 bolas. Así que si quiere permanecer en el poder, es porque está convencido de que el mundo será varonil o no.
    24. El Surninam
    Al mismo tiempo, si yo fuera presidente de Surinam, yo también aprovecharía el hecho de que nadie me miraría para embolsarme 8.500 pelotas geniales cada mes.
    25. Indonesia
    8.251 euros al mes. No, nada de bromas, nada de fatiga.
    26. Zimbabue
    7.210 euros al mes para el Presidente de Zimbabwe. Un buen Zimbabwe de ayuda en caso de derrame.
    27. Liberia
    En Liberia, el presidente recibe 6.000 euros al mes. La compañía aérea Iberia gana más, a modo de comparación.
    28. Portugal – Portugal
    Un consejo: si duda en convertirse en comerciante en Londres o en Primer Ministro de Portugal, hágase comerciante en Londres. El Primer Ministro portugués gana apenas 5.900 euros al mes. No vale la pena.
    29. España
    5.850 euros al mes. No lo suficiente para comprar un castillo en España.
    30. RuandaSIGUIENTE ARRIBA
    10 razones para no llamarla…
    Los 10 salarios más altos de los jefes de estado en todo el mundo, no todos son iguales (ni mucho menos).
    Ser presidente es una vocación que se logra a través de la ambición y después de haber superado muchos obstáculos. Pero, ¿qué es lo que nos atrae? ¿Por servicio público o por dinero? Depende del país que ocupe nuestro pensamiento. Porque en las cenas oficiales, no todo el mundo puede presumir de ganar el mismo dinero, ni mucho menos.
    1. Estados Unidos (antes de Trump)
    Cada mes, Obama se comería 26.435 euros. Pero Trump, para aprovecharlo al máximo, redujo el salario al euro simbólico. De todos modos, está pasando sus tinturas como gastos, así que tampoco hay que quejarse de él.
    2. Australia
    El Primer Ministro australiano palpita un poco más de 25.000 euros al mes. Suficiente para pagar tu peso en canguros.
    3. Lituania
    En Lituania, el jefe de Estado gana 23.200 euros al mes, que es exactamente la mitad del tamaño de Lituania en metros cuadrados, aquí tienes, aprendes mucho.
    4. Canadá
    Con su Cananananadair, el Primer Ministro canadiense recibe una transferencia mensual de 17.544 euros en una fecha fija. Lo que probablemente explica por qué Justin Trudeau tiene bonitos disfraces de piel y calidad.
    5. Bélgica
    17.381 euros una vez para ser el primer ministro una vez de un estado que acaba de ser creado para que la gente pueda hacer bromas al respecto, yo digo que no está mal.
    6. Italia
    El Primer Ministro italiano tiene mucho que ofrecer. Con 17.300 bolas cayendo cada mes, es simplemente el sexto jefe de estado mejor pagado del mundo y el primero en Italia porque el Papa es un sacerdote, así que podemos considerarlo un tipo duro.
    7. Alemania
    En Alemania, la canciller, en este caso una canciller, en este caso Angela mwen ké fend’tchou aw Merkel, impone su marca al euro aumentando un poco más el déficit europeo a través del recibo mensual de 16.663 euros al mes, les dejo contar el número de 6 en esta cifra para familiarizarse mejor con Satanás.
    8. Guatemala
    15.379 euros para el presidente guatemalteco. Así que cuando le pica la espalda, puede permitirse preguntarle a sus secuaces guatemaltecos, por favor.
    9. Suecia
    El Primer Ministro sueco baila todo el día haciendo que las muñecas se hundan ya que recibe 15.138 euros al mes para hacer sonrisas en todas partes y tener frío.
    10. Azerbaiyán
    En Azerbaiyán, una buena manera de estar en paz e intentar socavar los derechos humanos es ganarse la vida como presidente. Y puedo decirles que no nos privamos de ello, allí, ya que el presidente del país recibe 15.098 euros al mes.
    11. Dinamarca
    Con 14.800 euros al mes, el presidente danés puede cantar Enrico Macías, como give, give, give me, o más precisamente Dannez, Dano-is. Sí, pero haciendo bromas sobre 30 países seguidos, te aseguro que no es fácil.
    12. Irlanda
    Curiosidad: el Primer Ministro irlandés recibe 14.018 euros al mes, más que su colega del Reino Unido. Hecho curioso.
    13. El Reino Unido
    Curioso: el Primer Ministro inglés recibe 13.873 euros al mes, menos que su amigo irlandés. Hecho curioso.
    14. Japón
    En la tierra del sol naciente, ganamos 13.535 euros al mes para la primera demostración. Oh yen.
    15. Turquía, Turquía
    El muy amable Erdogan recibe 13.504 euros al mes. Pero también tiene que tomar las regalías cada vez que la gente dice cosas malas de él en los medios de comunicación, así que puede llegar a más.
    16. Francia
    En Francia, después de un fuerte aumento con Sarko y un descenso relativo con Holanda, el salario del Presidente es de 13.505 euros. Eso es mucho, pero sigue siendo razonable. Todavía estamos hablando de un tipo que tiene que tener cenas regulares con presidentes de países aburridos, como Bulgaria.
    17. Los Países Bajos
    Si el PIB de los Países Bajos va bien, es probablemente porque el Primer Ministro, que recibe 11.856 euros al mes, no bombea todos los fondos del Estado.
    18. Argelia
    Argelia es el único país del mundo donde un hombre momificado puede ganar 11.213 euros al mes.
    19. México
    El Presidente de México gana 10.893 euros al mes. Pensando que pagará por la pared, Trump quiere construir de su propio bolsillo.
    20. Kenia Kenia Kenia
    10.653 euros. Kenia tiene más, hay más. (Sí, estoy cansado de bromas).
    21. Chile
    10.574 euros para el presidente de Chile. Mucho con lo que relajarse, todo el día.
    22. noruego
    Primer Ministro de Noruega, paga más que un albañil, por ejemplo, ya que pagamos 10.414 euros al mes. Después de eso, dado el nivel de vida en Noruega (SMIC en más de 2000 pelotas), es relativamente bajo.
    23. Rusia
    Podemos decir lo que queramos de Vlad’, pero no que sea corrupto. Con 9.053 euros, ni siquiera tiene las 10.000 bolas. Así que si quiere permanecer en el poder, es porque está convencido de que el mundo será varonil o no.
    24. El Surninam
    Al mismo tiempo, si yo fuera presidente de Surinam, yo también aprovecharía el hecho de que nadie me miraría para embolsarme 8.500 pelotas geniales cada mes.
    25. Indonesia
    8.251 euros al mes. No, nada de bromas, nada de fatiga.
    26. Zimbabue
    7.210 euros al mes para el Presidente de Zimbabwe. Un buen Zimbabwe de ayuda en caso de derrame.
    27. Liberia
    En Liberia, el presidente recibe 6.000 euros al mes. La compañía aérea Iberia gana más, a modo de comparación.
    28. Portugal – Portugal
    Un consejo: si duda en convertirse en comerciante en Londres o en Primer Ministro de Portugal, hágase comerciante en Londres. El Primer Ministro portugués gana apenas 5.900 euros al mes. No vale la pena.
    29. España
    5.850 euros al mes. No lo suficiente para comprar un castillo en España.
    30. Ruanda
    5.600 euros. De eso a decir que hicieron recortes de presupuesto con machetes…. Qué mal chiste, ya era hora de que se detuviera.
    De lo contrario, en Topito, los editores ganan 645.000 euros al mes, sin los bonos y puedes hacer informes de gastos sobre la metanfetamina.
    Fuente: BFM TV
    5.600 euros. De eso a decir que hicieron recortes de presupuesto con machetes…. Qué mal chiste, ya era hora de que se detuviera.
    De lo contrario, en Topito, los editores ganan 645.000 euros al mes, sin los bonos y puedes hacer informes de gastos sobre la metanfetamina.
    Fuente: BFM TV

  • L’équipe de football de la révolte du Rif

    L’équipe de football de la révolte du Rif

    Les autorités marocaines à Al Hoceima, capitale du Rif, avec l’approbation du ministère de l’Intérieur du régime Alaouite, ont interdit la présence du public lors du match disputé mercredi entre l’équipe locale Chabab Rif Al Hoceima [CRA, en espagnol Juventud Rif Alhucemas, Jeunesse Rif Al Hoceima] et le Raja de Casablanca. par peur de protestations violentes après la confirmation des peines prononcées à l’encontre des condamnés pour la révolte du Rif.

    periodistas.es

  • Gabon : Les mises en scène de la françafrique

    Les mises en scène de la #Francafrique série multiplient sans effets sur notre détermination de libérer le #Gabon. Après les sorties virtuelles de #M6 avec #FeuAliBongo, c‘est le tour de #FaureGnassingbe de jouer la comédie de dissuasion.

  • « DES GENS SANS TOIT ALORS QUE LES RICHES NE PAIENT PAS D’IMPÔTS ? ÇA ME RÉVOLTE »

    Comme annoncé, Raoul Hedebouw était chaud à Jeudi en Prime : « Nous avons ce qui faut comme technologie pour offrir à manger à tout le monde, un toit à tout le monde, la culture pour tout le monde. Mais notre société tourne de plus en plus pour le profit d’une petite minorité. Cela doit changer. »

    PTB.BE

  • ONU : Le Sahara Occidental réaffirmé en tant que tna

    Le Séminaire régional pour les Caraïbes du Comité spécial de la décolonisation, qui s’est tenu à la Grenade, du 2 au 4 mai 2019, s’est achevé ce week-end avec l’appel fervent du Ministre des affaires étrangères grenadais à amener à zéro le nombre de territoires non autonomes figurant sur la Liste.
    « Nous ne voudrions pas quitter cette conférence sans avoir des propositions claires pour ramener la liste à zéro », a déclaré, M. Peter David, en référence à la liste des 17 territoires non autonomes qui relèvent du Comité spécial.  L’issue du séminaire, a-t-il ajouté, doit garantir la survie et la protection des plus vulnérables et veiller au développement économique, social et politique des populations de ces territoires.
    M. David se faisait ainsi l’écho du message envoyé dès l’ouverture des travaux par le Secrétaire général, qui a appelé les parties concernées à redoubler d’efforts pour mettre un terme au colonialisme d’ici à 2020.
    La tenue de ce séminaire, que GrenLe Séminaire régional pour les Caraïbes du Comité spécial de la décolonisation, qui s’est tenu à la Grenade, du 2 au 4 mai 2019, s’est achevé ce week-end avec l’appel fervent du Ministre des affaires étrangères grenadais à amener à zéro le nombre de territoires non autonomes figurant sur la Liste.
    « Nous ne voudrions pas quitter cette conférence sans avoir des propositions claires pour ramener la liste à zéro », a déclaré, M. Peter David, en référence à la liste des 17 territoires non autonomes qui relèvent du Comitade accueillait pour la quatrième fois, a permis aux participants d’aborder, trois jours durant, au cours d’une série de tables rondes, divers thèmes liés à la réalisation des objectifs de développement durable dans les territoires non autonomes, et de faire le point sur l’appui qui leur est accordé par le système de l’ONU.

    Les discussions ont également porté sur le statut de Gibraltar, des îles Falkland (Malvinas) et du Sahara occidental.  Sur cette dernière question, de nombreuses délégations ont apporté leur soutien au dialogue politique lancé par l’Envoyé personnel du Secrétaire général pour le Sahara occidental.  L’Algérie a notamment fait part de son engagement à appuyer, « en tant que pays voisin », les efforts déployés par ce dernier et à respecter tout accord conclu par les deux parties, à savoir le Maroc et le Front POLISARIO.

    Les 17 territoires qui relèvent du Comité spécial sont: Anguilla, les Bermudes, Gibraltar, Guam, les Îles Caïmanes, les îles Falkland (Malvinas)*, les Îles Turques et Caïques, les Îles Vierges américaines, les Îles Vierges britanniques, Montserrat, la Nouvelle-Calédonie, Pitcairn, la Polynésie française, le Sahara occidental, Sainte-Hélène, les Samoa américaines et les Tokélaou.

    Source : ONU

  • Soudan : L’Afrique découvre le vrai visage du Maroc

    L’image du roi du Maroc et de son pays commence à se fissurer au vu de ses pratiques peu orthodoxes en Afrique.

    Après plus d’une décennie d’un cycle de corruption, soudoiements et d’achats de consciences, l’Afrique commence lentement à découvrir la face prédatrice de la monarchie marocaine et ses acolytes.

  • Le roi du Maroc utilise les extrémistes pour se débarrasser du mouvement démocratique et social

    Au Maroc : Le chef d’état Mohamed VI (commandeur des croyants musulmans) et ses gouvernements responsables du silence face au patrimoine religieux islamique historique, qui appellent à la haine, à la violence, à l’excommunication et au meurtre aux infidèles, aux chrétiens et aux juifs. Ainsi l’image du musulman, endoctriné par l’idéologie jihadiste daechienne, est celle d’un être diabolique dans les mosquées et les différents media par des cheikhs, des imams, des associations islamistes fascistes, de secte terroriste des frères musulmans marocains sans que la justice et les autorités sécuritaires ne se saisissent de leurs cas. La montée des islamistes fascistes soutenues par la tète de régime (commandeur des croyants musulmans) a poussé les minorités religieuses à croire que le pays est devenu un nouvel état islamique sous le règne des Daechs ? Le dictateur utilise les extrémistes pour se débarrasser du mouvement démocratique et social. Mais lorsque les extrémistes veulent le pouvoir, une confrontation se produit quand ils prétendent lutter contre le terrorisme surtout dans ses versions islamistes fondamentalistes. Ils disposent par ailleurs de machines bien rodées pour pratiquer le chantage dirigé aussi bien contre le monde occidental que contre leurs pays « frères ». Il le fait en fait contre des groupes qu’il à lui-même crée, entretenus. Il les « vendent » au moment opportun, avec de juteux dividendes, au plus offrant!!!!