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  • Après avoir terrorisé les sahraouis, les marocains terrorisent l’Europe

    Après avoir terrorisé les sahraouis, les marocains terrorisent l’Europe

  • Alexandre Djouhri se confie exclusivement au Soir d’Algérie

    Quelques heures seulement avant d’être livré à la France, Alexandre Djouhri se confie exclusivement au Soir d’Algérie
    «J’ai accompagné Ali Haddad à Djibouti pour construire un pipe».
    «Le système Bouteflika n’était pas tissé en réseau mais plutôt en forteresse».
    «Ils voulaient me faire mentir (…) Il fallait, pour des raisons politiques, que j’accuse Sarkozy».
    A lire l’entretien complet dans notre édition de demain dimanche.

  • Maroc : les convulsions de la mort du Makhzen

    Maroc : les convulsions de la mort du Makhzen

  • L’élection de Netanyahu espère faire entrer les États-Unis dans la «dernière colonie» de l’Afrique

    Israël a demandé aux États-Unis d’ouvrir un consulat au Sahara occidental annexé au Maroc pour l’aider à normaliser ses relations avec la nation nord-africaine, a déclaré un responsable, une mesure qui renforcerait à la fois la revendication territoriale du Maroc et la candidature de réélection du leader israélien.
    On ne sait pas si le gouvernement marocain ou Washington est d’accord avec les efforts d’Israël pour tirer parti de sa proximité avec l’administration Trump pour faire des États-Unis la seule grande puissance avec une mission là-bas, a déclaré le responsable marocain, sous couvert d’anonymat, pour discuter des communications secrètes.
    Alors que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu serait en mesure de signaler une telle décision comme preuve de son sens diplomatique alors qu’il lutte pour conserver son poste lors des élections du mois prochain, le soutien populaire au Maroc à la cause de l’État palestinien pourrait créer un recul important, malgré la perspective de liens commerciaux et commerciaux solides. Le bureau de Netanyahu, le ministère marocain des Affaires étrangères et l’ambassade des États-Unis au Maroc n’ont fait aucun commentaire.
    La chaîne israélienne Channel 13 TV a rapporté lundi que Netanyahu faisait pression pour que les États-Unis reconnaissent la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental, que le Maroc a saisie après le retrait du pouvoir colonial espagnol en 1975, dans une étape qui n’est pas internationalement reconnue. L’ancien conseiller américain à la sécurité nationale, John Bolton, s’est opposé à la pression de Netanyahu, mais le Premier ministre a de nouveau soulevé la question, sans obtenir d’accord, a-t-il déclaré.
    Drones achetés
    Le site français Intelligence Online a rapporté que l’armée marocaine avait pris possession la semaine dernière de trois drones de reconnaissance fabriqués en Israël et vendus via la France.
    Le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a refusé de commenter le rapport Axios aux législateurs et, en réponse aux critiques concernant un possible réchauffement des relations avec Israël, a rétorqué que la priorité nationale du Maroc était le Sahara occidental et non la Palestine, ont rapporté les médias locaux.
    « Nous ne devons pas être plus palestiniens que les Palestiniens eux-mêmes », a déclaré mardi le journal Lakome, citant Bourita.
    Les dirigeants palestiniens ont fait campagne pour isoler Israël et ont observé avec prudence ses liens avec les États arabes et musulmans se sont améliorés. Les nations arabes étaient tièdes dans leur opposition au plan de paix de l’administration Trump au Moyen-Orient dévoilé la semaine dernière, qui va plus loin que les propositions américaines précédentes en faveur des demandes d’Israël, y compris d’annexer le territoire occupé en Cisjordanie, le cœur des Palestiniens espérés Etat.
    Soutien africain
    Ces dernières semaines, quatre petits pays africains ont ouvert des consulats dans les parties sous contrôle marocain du Sahara occidental riche en minéraux. Les médias d’État marocains ont salué le développement comme une affirmation de la souveraineté de Rabat sur la région, que le Maroc a maintenue tout au long d’une guerre de guérilla de 16 ans menée par le groupe indigène du Polisario, qui s’est terminée par une trêve de 1991 négociée par les Nations Unies. Le Maroc revendique des droits séculaires sur le territoire.
    Le plan de l’ONU de tenir un référendum pour décider du sort du Sahara occidental a vacillé au milieu de divergences sur les personnes habilitées à voter. L’ONU décrit le Sahara occidental, considéré par beaucoup comme la dernière colonie de l’Afrique, comme un territoire non autonome.
    Netanyahu, qui n’a pas été en mesure de former un gouvernement après deux élections consécutives l’année dernière, s’efforce de se distinguer de son rival Benny Gantz, un ancien chef militaire et nouveau venu politique sans expérience diplomatique. À l’approche des élections du 2 mars, il a volé à travers le monde pour rencontrer des dirigeants mondiaux, dont les présidents Donald Trump et Vladimir Poutine, de la Russie. Cette semaine, il s’est envolé pour l’Ouganda, où il a discuté de l’ouverture d’ambassades avec le président Yoweri Museveni et a tenu une réunion surprise avec le chef du gouvernement de transition du Soudan, qui a accepté de travailler à l’établissement de relations diplomatiques.
    La campagne du dirigeant israélien pour normaliser les relations avec les États à majorité arabe et musulmane n’est cependant pas nouvelle. Netanyahu travaille depuis des années à normaliser les relations, essayant de créer des fronts communs contre l’extrémisme islamique. Les relations avec le Maroc n’ont jamais été aussi hostiles qu’avec certains autres pays arabes, et la presse israélienne a fait état ces dernières années d’ouverture diplomatique.
    Le Maroc a joué un rôle discret en négociant les premiers pourparlers de paix entre Arabes et Israéliens dans les années 1990 sous le défunt roi Hassan II. Alors que Rabat a suspendu ses contacts diplomatiques discrets avec Israël il y a deux décennies au début du soulèvement palestinien, Israël a une grande communauté de citoyens d’origine marocaine, et le tourisme israélien au Maroc est autorisé, bien qu’il n’y ait pas de vols directs entre les pays.
    Ces liens culturels pourraient signifier un fort potentiel pour les affaires et le commerce, en particulier dans le tourisme, l’agro-industrie et la sécurité.
    https://www.bloomberg.com/news/articles/2020-02-05/netanyahu-s-election-hopes-rope-u-s-into-africa-s-last-colony

  • Au Maroc, les choses bougent, la terreur du Makhzen aussi

    La politique de répression et d’expropriations des richesses du peuple sahraoui va faire long feu que cela passe par une guerre régionale ou non. Car l’ONU traîne les pattes et n’a pas l’air d’être consciente du danger qui guette la région. Les puissances étrangères également ne voient pas d’un mauvais œil un conflit larvé entre l’Algérie et le Maroc. C’est un moyen pour augmenter leurs influences et assurer leurs ingérences chez les deux parties pour consolider leurs intérêts.
    Le formidable camp d’Igdim Izik est une leçon que le Makhzen n’oubliera pas de sitôt. La paix apparente depuis plusieurs années n’a jamais exprimé la soumission des Sahraouis au roi marocain. Dans cette aventure extraordinaire des camps de la Liberté (liberté, j’écris ton nom), jamais un peuple n’a été aussi ingénieux, aussi imaginatif et innovateur dans ses revendications pacifiques face à un régime totalitaire. Mais un colonisateur restera un colonisateur : impitoyable et féroce. A une manifestation pacifique, il rétorque avec du feu et du sang. Moins sanglant, mais cela rappelle un peu notre 8 mai 45.
    Les choses sont en train de bouger. La terreur du Makhzen aussi. Tortures, répression, black-out, grèves de la faim, violations des droits de l’homme, mensonges, intoxication, l’accusation de l’Algérie, etc. vont être le quotidien des Marocains et des Sahraouis. Les années de plomb de Hassan 2 reviennent à pas de charge. Les années d’apparentes paix et de stabilité du nouveau roi étaient un simple répit, un état de grâce pour les opprimés de toujours marocains et sahraouis. Tel père tel fils, il manquait seulement d’ « expérience » et de maturité. Le voilà à point maintenant. Comme en Algérie, le makhzen n’a jamais perdu de sa superbe et il reste la colonne dorsale du régime.

  • Les trois médailles d’or du Maroc : trafic de drogues, prostitution et terrorisme

    Les trois médailles d’or du Maroc : trafic de drogues, prostitution et terrorisme

  • Le Maroc craint l’élection de l’Algérie à l’OICS

    Le Maroc craint l’élection de l’Algérie à l’OICS

  • PROTECTORAT AU MAROC UNE POLITIQUE COLONIALE

    En 1912, la France signe avec l’Empire chérifien le traité de Fès qui établit son protectorat au Maroc, régime qui promeut une politique coloniale particulière tout en permettant à ce pays de vivre selon ses traditions. Une conception que le général Lyautey incarne jusqu’au lendemain de la Première Guerre mondiale.
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    Moulay Hafid buvant le thé à la menthe avec le général Lyautey
    Le 30 mars 1912 est une date clé de l’histoire du Maroc. Pour la première fois, ce vieil empire dont l’État fut fondé au VIIIe siècle après J.C par la dynastie Idrisside, cède les attributs essentiels de sa souveraineté à une puissance étrangère, la France, qui ne partage ni sa religion, ni ses mœurs. Salué comme une victoire à Paris, cet événement est ressenti comme une humiliation par beaucoup de Marocains qui y voient une forme intolérable d’ingérence. Il faudra tout l’intelligence politique et le tact du général Hubert Lyautey, nommé résident général du Maroc en avril 1912, pour restaurer, non sans soubresaut, ni conflits un climat d’amitié entre la France et le Maroc, qui malgré les aléas et les violences de la décolonisation, perdure encore aujourd’hui. Historiquement, il est incontestable que cette relation de confiance a été facilitée par le caractère original d’un protectorat qui, s’il institue une situation coloniale de fait, en évite les aspects les plus brutaux en permettant à la monarchie marocaine de maintenir sa personnalité. Comme le stipule l’article 1re du traité signé entre le gouvernement français et le sultan du Maroc Maoulay Abdel Hafid : Le gouverneur de la République française et sa Majesté le Sultan sont d’accord pour instituer au Maroc un nouveau régime comportant des réformes administratives, judiciaires, scolaires, économiques, financières et militaires que le Gouvernement Français jugera utile d’introduire sur le territoire marocain.
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    Lyautey en inspection au Moyen-Atlas en 1917
    Mais l’article précise aussitôt : Ce régime sauvegardera la situation religieuse, le respect et le prestige traditionnel du Sultan, l’exercice de la religion musulmane. L’article II stipule que sa majesté le Sultan admet dès maintenant que le Gouvernement Français procède après avoir prévenu le Maghzen (l’administration marocaine), aux occupations militaires du territoire marocain qu’il jugerait nécessaires au maintien de l’ordre et de la sécurité des transactions commerciales et ce qu’il exerce toute action de police sur terre et dans les eaux marocaines. En outre, et c’est ici que la notion de protectorat prend son sens, l’article III affirme Le Gouvernement de la République prend l’engagement de prêter un constant appui à sa majesté Chérifienne contre tout danger qui menacerait sa personne ou son trône ou qui compromettrait la tranquillité de ses États. En réalité ce protectorat, qui perdure jusqu’en 1956, est l’aboutissement d’une longue évolution qui va faire de ce pays un enjeu entre des puissances européennes qui considèrent leur expansion en Afrique comme légitime.
    L’Angleterre et l’Espagne, tout au long du XIXe siècle, mais aussi la France et l’Allemagne, vont exercer leur influence sur un Maroc tiraillé entre un désir d’ouverture, en particulier à travers les villes côtières ou le commerce avec l’Europe se développe, et à une aspiration à préserver son identité Berbère traditionnelle nourrie d’un islam rigoriste. La signature du protectorat avec la France intervient donc dans la durée. Depuis la conquête de l’Algérie, la France considère que l’Afrique du Nord est sa zone d’influence naturelle. Ainsi, n’hésite-t-elle pas à combattre l’émir Abdel Kader, qui originaire du Maroc, fut le fer de lance de la rébellion contre la colonisation à une époque où les frontières entre les deux pays ne sont pas fixées.
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    Rencontre du général Lyautey avec Moulay Youssef au palais impérial en 1916
    C’est dans le cadre de cette pacification qui a aussi pour vocation de protéger l’Algérie des prétentions hégémoniques du Maroc que le général Bugeau écrase les troupes marocaines lors de la fameuse bataille de l’Isly en 1844. Initiée sous la monarchie de Juillet, la politique de la France au Maroc se poursuit et même s’intensifie sous la IIIe République, comme l’illustre la conférence de Madrid qui en 1880, voit l’Espagne, la France et l’Angleterre convenir de leurs prérogatives respectives dans cette région. Alors que l’Angleterre concentre ses ambitions sur l’Égypte, la France et l’Espagne, laquelle exerce sa souveraineté sur une partie du Nord marocain, affirment leur volonté de s’implanter dans un pays de plus en plus indépendant économiquement d’une Europe dont i a besoin pour des produits qui, tel le sucre et le café, sont devenus consommation courante. Au début du siècle dernier, le sultan Abdel Aziz voit son pouvoir se restreindre. Sa légitimité est contestée par les secteurs les plus traditionnels de la société marocaine qui le mettent en garde contre les dangers de la pénétration occidentale.
    C’est dans ce contexte tourmenté qu’intervient la célèbre crise de Tanger. Celle-ci éclate le 30 mars 1905 quand Guillaume II envoie sa flotte devant le port et traverse la ville à cheval pour se poser en défenseur de l’intégrité marocaine. Provoquant ainsi la réaction indignée d’une France désireuse d’instaurer son protectorat au Maroc, comme elle l’a fait en Tunisie, avec le traité de Bardo en 1881. Après une forte tension, ou certains voient poindre la menace de guerre, la crise se conclut par le traité d’Algésiras, signé en août 1906, qui promeut les bases d’un protectorat français au Maroc. Il institue la surveillance, par la France et l’Espagne, de la sécurité urbaine des ports marocains, la création d’une banque d’État, dans laquelle les banques françaises détiennent un tiers des fonds, l’établissement à Tanger d’une commission national chargée notamment de la construction des nouveaux ports de Casablanca et de Safi qui vont être financés par des entreprises françaises. En 1908, écrit Michel Abitbol, orientaliste et auteur d’une Histoire du Maroc, qui fait référence, plus de 50% des échanges extérieurs du Maroc s’effectuaient déjà avec la France qui dépassait ainsi pour la première fois l’Angleterre et les autres puissances européennes commerçant avec le royaume chérifien. Approuvé le 18 juin 1906 par le sultan Abdel Aziz, l’acte d’Algésiras provoque l’émoi d’une population qui considère celui-ci comme indigne de porter le titre de Prince des Croyants!
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    Port de Casablanca en 1913
    Il est accusé par les nationalistes de livrer son pays aux étrangers, Ironie de l’histoire, ç la tête de ce courant se trouve son demi-frère Moulay Abdel Hafid ui quelques années plus tard signe le traité de protectorat avec la France! Peu de temps avant sa signature, l’Allemagne provoque un incident en envoyant devant le port d’Agadir, en juillet 1911, une canonnière pour exprimer son refus de se voir évincée des affaires marocaines. Après que la crise se soit résorbée et en compensation de son renoncement à exercer son influence sur le Maroc, l’Allemagne obtient un accroissement de son domaine colonial au Congo. Si la France a la voie libre au Maroc, elle n’a pas la partie facile. Quelques jours après la signature du protectorat entérinant la domination française sur le Maroc, des émeutes éclatent, notamment à l’encontre des communautés juives, accusées d’être favorables à la tutelle française. C’est dans un pays en ébullition que Lyautey va devoir gouverner. S’il n’hésite pas à réprimer les fauteurs de troubles Il se met à l’écoute des autorités traditionnelles à commencer par elle du Sultan Moulay Youssef qui comprend que le catholique fervent qu’est Lyautey n’est pas un ennemi de l’islam. J’ai écarté soigneusement de lui toutes les promiscuités européennes, les automobiles et les dîners en campagne, affirme celui-ci. Je l’ai entouré de vieux marocains rituels. Son tempérament de bon musulman et d’honnête homme a fait le reste, il a restauré la grande prière du vendredi, il a célébré les fêtes de l’Aïd Seghir avec une pompe et un respect des traditions inconnus depuis Moulay Hassan.
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    Remise de décoration dans le Bled
    Tout à coup; il prend une figure de vrai sultan. Mais l’action de Lyautey, résident jusqu’en 1925, n’est pas que symbolique. Elle s’accompagne d’une œuvre considérable, aussi bien sur le plan économique et social que sur celui des infrastructures et des communications, notamment ferroviaires. Mais aussi au niveau du développement de villes, comme Rabat ou Casablanca dont Lyautey met en valeur l’architecture originale. Le Résident général marque ainsi de son œuvre un pays qui, aujourd’hui encore, cultive sa mémoire, comme le montrent les statues et effigies qui lui sont consacrées.
    http://jpbro.unblog.fr/2018/02/28/protectorat-au-maroc-une-politique-coloniale-2/

  • Maroc : Les Etats du Golfe sont attirés par le sexe anal au Maroc

    Maroc : Les Etats du Golfe sont attirés par le sexe anal au Maroc

  • Le Maroc prouve que la Palestine et le Sahara Occidental partagent le même statut d’occupation illégale (Sarah Lea Whitson)

    Bravo Morocco government – for making it clear to the world and the people of Morocco that your occupation of Western Sahara is same as Israel occupation of Palestine and needs same sort of lawless protection from Trump
    Moroccan occupation of parts of Western Sahara is well documented. Morocco reminds the world that they need some sort of illegal deal to annex a territory that the ICJ, UN and the international community have once and again stated it has never belonged to Morocco.
    Bravo Maroc gouvernement – pour avoir fait comprendre au monde et au peuple marocain que votre occupation du Sahara occidental est la même que l’occupation israélienne de la Palestine et a besoin du même type de protection illégale de Trump
    L’occupation marocaine de parties du Sahara occidental est bien documentée. Le Maroc rappelle au monde qu’il a besoin d’une sorte d’accord illégal pour annexer un territoire que la CIJ, l’ONU et la communauté internationale ont déclaré une fois de plus qu’il n’a jamais appartenu au Maroc.
    Mouvement islamique du Levant
    Le 25 juillet 2014, le Harakat Cham al-Islam s’allie avec trois autres groupes djihadistes — Jaych al-Mouhajirine wal-Ansar, le Harakat Fajr al-Cham al-Islamiyya et le Bataillon Vert — pour former le Front Ansar Dine5. Cependant quelques mois plus tard le Bataillon Vert prête allégeance à Jaych al-Mouhajirine wal-Ansar, qui lui-même rallie le Front al-Nosra en 20155.
    Le Harakat Cham al-Islam est salafiste djihadiste et proche d’al-Qaïda
    En 2014, le nombre de ses combattants est estimé à environ 500 hommes1. Mais après la mort de son chef fondateur, le groupe se désagrège et bon nombre de ses combattants rallient l’État islamique ou des brigades proches d’Al-Qaïda