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Moulay Hassan : Le prince marocain qui brûle 500 euros à Mykonos
« Mykonos ayant fait fureur avec son entreprise, il a brûlé 500 euros ( !) faisant dévisager tout le Psarou.
Prêt à faire la fête à nouveau », tel était le titre lapidaire d’un hommage rendu par le Financial Times à l’ »homme blanc », mais sur l’île même, l’héritier du trône marocain, le prince Moulay Hassan, âgé de 18 ans, qui se déplace partout dans son avion Gulfstream G650, d’une valeur de 67,4 millions de dollars, rend les gens fous : S’étant déchaîné avec son entourage, il a brûlé 500 euros ( !) faisant dévisager tout Psarou.
L’arrivée internationale suivante a été celle de Miralem Pjanic, l’ »as » international de Barcelone, qui, avec son meilleur ami Marco Borriello, ancien joueur de Milan et ancien coéquipier de la Roma, était à Panormo, dégustant des spécialités fines et le très cher vin rosé Sainte Marguerite. Ils ont même célébré l’anniversaire d’un ami dans un endroit chic, en dansant sans arrêt après le dîner !
https://www.parapolitika.gr/lifestyle/article/1125807/moulai-hasan-o-prigipas-tou-marokou-pou-kaiei-500eura-sti-mukono -
Diabète : l’Italie et le Maroc s’associent pour améliorer la prise en charge des patients
Rome, le 7 juillet 2021 – Les diabètes sucrés de type 1 et de type 2 représentent la maladie chronique la plus répandue dans le monde (463 millions de personnes touchées, dont 232 millions non diagnostiquées). Une véritable pandémie silencieuse en croissance constante – dont la prévalence augmente avec l’âge – qui affectera lourdement non seulement les pays occidentaux, mais aussi les pays économiquement développés. En Italie, il y a plus de 3 millions de patients diabétiques, avec un pourcentage encore élevé de travail non déclaré et une adhésion à la thérapie et aux modes de vie corrects qui souvent ne dépasse pas 50%.
Ce qui se passe au Maroc – qui compte plus d’un million et 700 000 diabétiques adultes – se passe aussi en partie en Italie », explique Claudio Zanon, directeur scientifique de Motore Sanità, lors du webinaire « #pazientealcentro : parlons du diabète ». Italie Maroc, comparaison d’expériences », organisé par Motore Sanità et auquel ont participé des institutions italiennes au Maroc. « Il suffit de dire que la Sardaigne, la deuxième plus grande île de notre pays, a la plus forte incidence de diabète de type 1 au monde. Le nombre de cas non déclarés, tant en Italie qu’au Maroc, serait sous-estimé en raison de la difficulté de retracer tous les cas effectivement présents sur un territoire d’une grande complexité géographique, socioculturelle et linguistique. Le fait le plus inquiétant est que la majorité des patients diabétiques au Maroc n’atteint pas l’équilibre glyco-métabolique recommandé par les directives nationales – comme c’est souvent le cas en Italie – et internationales, ce qui suggère l’existence d’un fossé entre la gestion de cette maladie chronique et les pratiques quotidiennes des habitants du pays. En outre, malgré les efforts continus pour augmenter l’espérance de vie de la population et améliorer sa qualité, il existe encore, tant en Italie qu’au Maroc, des inégalités dans l’accès au traitement et au contrôle de la maladie, également en relation avec le statut social et le mode de vie ».
« D’où l’importance de la collaboration scientifique entre les deux pays pour partager les meilleures pratiques, avec un grand objectif commun : améliorer la prise en charge des patients diabétiques », a commenté Federico Mozzi, premier secrétaire de l’ambassade d’Italie au Maroc.
« Les difficultés existent partout : tant en Italie que dans le reste de l’Europe, ainsi qu’au Maroc », a confirmé Felice Strollo, vice-président de l’ANIAD – Professeur IRCCS San Raffaele Pisana – Rome. « Même aux États-Unis, l’accès à l’insuline pour tous est un problème, il en va de même pour nous en Italie en ce qui concerne la possibilité généralisée d’accéder aux médicaments les plus innovants. D’où l’importance d’un plan national de lutte contre le diabète, fruit du grand effort consenti en Italie par les associations de patients et le ministère de la santé, qui a été remodelé région par région. Il faut partir de là : de la présence d’un plan organisé qui prévoit une amélioration continue dans le temps sur plusieurs fronts, dont celui de l’éducation du patient à un style de vie correct. En tant qu’Association Nationale Italienne des Athlètes Diabétiques (ANIAD), nous sommes prêts pour un effort de collaboration à construire ensemble, Italie-Maroc, dans le futur ».
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Le prince du Maroc qui s’amuse sans souci à Mykonos en brûlant 500 euros.
Moulay Hassan : Le prince du Maroc qui se délecte en toute insouciance à Mykonos en brûlant 500 euros.
Son nom a été évoqué avec insistence dernièrement
Le prince du Maroc a choisi la Grèce pour ses vacances d’été et s’est fait remarquer à Mykonos. Le Prince Moulay Hassan était à Mykonos et sa présence ne pouvait que passer inaperçue.
Le prince Moulay Hassan, désormais âgé de 18 ans, a été retrouvé il y a quelques jours sur l’île venteuse et a fait le tour d’internet, car on l’a vu faire la fête avec ses amis « sur l’île où tout peut arriver » et dans une ambiance… gloussante, il s’amusait à brûler des billets de 500 euros. Ce sont du moins les rumeurs qui ont circulé. De plus, la terreur s’est répandue, un touriste arabe à Mykonos qui a essayé de droguer une fille en versant dans sa boisson probablement une pilule de Roofie, fondue en poudre.
Mais qui est ce jeune prince ?
Depuis l’âge de 10 ans, Moulay Hassan s’entraîne pour devenir un jour le roi du Maroc. Moulay Hassan, dont l’avenir est prédéterminé puisqu’il succédera sur le trône à son père et roi du Maroc, Mohammed VI.
Pourtant, il reste un enfant qui, comme son âge l’exige, se déchaîne dès qu’il en a l’occasion. Le fils aîné du roi Mohammed suit son père dans ses fonctions officielles depuis quelques années déjà, afin d’être prêt à prendre la relève lorsque le moment sera venu de lui succéder.
Le prince de 18 ans est même devenu viral il y a quelques années lorsqu’il s’est spontanément essuyé la main dès que quelqu’un l’embrassait. Il est à noter que le baiser de la main est la salutation obligatoire entre les membres de la haute société du pays.
Le rôle de sa mère
Dans l’éducation du futur roi, un rôle important a également été joué par sa mère bien-aimée, Lala Salma, du Maroc, qui est une femme d’une immense influence sur le trône. En témoigne d’ailleurs l’estime dont elle jouit tant auprès du roi que de la cour.
En effet, Lala Salma est la première épouse d’un roi de la région à recevoir le titre de princesse, les femmes n’étant pas habituées à recevoir des titres royaux. La princesse Lala Salma a été mariée pendant 16 ans au roi du Maroc Mohammed VI et ils ont divorcé fin 2018, mais ont conservé le titre d’ancienne reine-princesse, car elle est la mère de l’héritier du trône, Moulay Hassan.
Sa destination préférée est la Grèce.
Cependant, ce n’est pas la première fois que le jeune prince se rend en Grèce pour des vacances et certainement pas la dernière. Lui et sa famille au sang bleu ont une préférence particulière pour notre pays.
En août 2014, la famille royale s’est rendue à Corfou. En 2015, la famille a visité Mykonos et Kyllini, tandis qu’en 2019, la princesse Lala Salma et son fils Moulay Hassan ont passé des vacances à Skiathos.
Le prince et l’éducation
Mullai a montré une préférence pour l’aviation et sera le premier de la famille à prendre… le ciel. Son père a étudié le droit. Il est conscient des responsabilités qui incombent à la famille royale et apparaît souvent avec le roi lors de grands événements internationaux et au Maroc.
L’année dernière, le prince a présidé la cérémonie d’ouverture du 14e Salon international de l’agriculture (SIAM) au Maroc. Moulay était le plus jeune participant au One Planet Summit en France en 2017, où il a acquis une reconnaissance internationale. En 2019, Moulay a accueilli le prince Harry et Meghan Markle au Palais royal des hôtes à Rabat.
Le jet privé
Il voyage dans le monde entier avec son avion Gulfstream G650, d’une valeur de 67,4 millions de dollars. On dit que c’est l’un des jets VIP les plus chers et les plus puissants qui existent. La plaque d’immatriculation « CN-AMH » signifie « Altesse » (ou « Majesté »), ce qui lui confère le privilège d’être désigné comme « Sa Majesté Moulay Hassan ».
Il peut voler 14 000 kilomètres sans escale et peut accueillir huit passagers et quatre membres d’équipage. Le jet est équipé d’un système de défense antimissile israélien J-Music de 20 millions de dollars.
Sports
La popularité de Moulay au Maroc peut être appréciée par le fait que le Circuit International Automobile Moulay Hassan à Marrakech et le Stade Moulay Hassan de 12 000 places à Rabat portent tous deux son nom.
Vacances en famille
Le prince a des liens forts avec sa famille et les fêtes de famille semblent être plus qu’importantes pour lui. Lors d’un voyage sur l’île de Skiathos en juillet 2019, la famille royale a loué un yacht de luxe appelé Serenity, qui coûte 550 000 euros par semaine.
Un esprit de solidarité
Il se soucie profondément du monde et travaille en étroite collaboration avec son père pour faire en sorte que le Maroc soit un lieu paisible pour les personnes de tous horizons. En 2017, Moulay a chaleureusement accueilli les enfants palestiniens tout en leur présentant le civil.
https://www.athensmagazine.gr/article/gossip/519761-moylai-xasan-o-prigkipas-toy-marokoy-poy-glenta-anemela-sth-mykono-kaigontas-500eyra -
Le Maroc interdit les mariages en raison du nombre croissant de contaminations
EFE – Mardi 20 juillet 2021
Les nouvelles mesures sont décrétées à une période d’affluence maximale dans les lieux de loisirs en raison de la coïncidence avec les mois d’été.
Le gouvernement marocain a annoncé une série de restrictions pour limiter la propagation du COVID, après avoir enregistré « une augmentation considérable des infections et des décès » causés par le virus.
Ces restrictions comprennent l’interdiction des mariages, la limitation des funérailles à un maximum de dix personnes et l’obligation de respecter un taux de 50 % de places assises dans les cafés, les restaurants, les transports publics et les piscines.
Toutes ces mesures, qui entreront en vigueur vendredi soir prochain, ont été décrétées à un moment d’affluence maximale dans les lieux de loisirs en raison de la coïncidence avec les mois d’été, avec une participation particulièrement élevée des Marocains résidant en Europe, qui remplissent les villes du Maroc à cette époque de l’année.
Ces derniers jours, le nombre de nouveaux cas a de nouveau dépassé le millier (1 153 hier, plus 16 décès), malgré le succès de la campagne de vaccination, qui a touché jusqu’à présent près de 9,7 millions de personnes avec la double dose et 11,4 millions avec une seule dose.
Le nombre total de cas confirmés de COVID est de 556 000 personnes, et le nombre de décès est de 9 466, des chiffres qui ont conduit une grande partie de la population à relâcher ses mesures de distanciation sociale ou de port de masque. -
Le système de magasin patauge après une série d’échecs
Après l’Espagne et l’Algérie… Signes d’une crise diplomatique avec la France
Les gifles diplomatiques continuent contre le régime du Makhzen et ses échecs diplomatiques, malgré ses tentatives infructueuses de prouver son prétendu droit au Sahara Occidental occupé, sur la base du « tweet » de Twitter, et la tentative de faire pression sur l’Espagne en permettant à ses citoyens de « le brûler ». » à Ceuta, sous l’illusion d’une » vengeance » de Madrid. Pour la recevoir, le président sahraoui Ibrahim Ghali, qui a été soigné dans un de ses hôpitaux, au point de soutenir ce qu’il a appelé » l’indépendance de la région de Kabylie » puis espionnage de hauts fonctionnaires en Algérie et en France à l’aide du programme « Pegasus ».
Le voisin occidental est dans un état de confusion après l’intensification du « nœud coulant » international et il a reçu de nombreux revers diplomatiques, notamment de la part des pays de l’Union européenne, à commencer par la crise des migrants avec l’Espagne, pour finir par l’espionnage de hauts responsables de l’Elysée en France, dirigé par Après la question du soutien à ce qu’il a appelé « l’indépendance de la Kabylie », le journal Le Monde a souligné que de hauts responsables algériens figuraient sur la liste des personnes qui Les services secrets marocains ont utilisé le programme sioniste « Pegasus » pour espionner.
Le journal précise que, selon les informations dont il dispose, le Royaume du Maroc est l’un des plus gros utilisateurs du programme d’espionnage Pegasus au détriment des autorités algériennes, car l’un des services de sécurité marocains montre un grand intérêt pour le climat politique. en Algérie, sur fond de mouvement populaire qui a contraint l’ancien président Abdelaziz Bouteflika à quitter le pouvoir. Et « Le Monde » a indiqué que ce service de sécurité marocain a choisi plus de 6 000 numéros de téléphone appartenant à des politiques, des militaires, des chefs de services de renseignement , des hauts fonctionnaires, des diplomates étrangers ou des militants politiques comme cibles possibles du programme d’espionnage, selon les données publiées par Histoires interdites, Amnesty International et le journal Le Monde, le Maroc est un grand utilisateur du programme, et ces six mille numéros constituent un grand groupe, à la lumière de 50 000 numéros de téléphone choisis dans le monde, entre 2017 et 2019, ajoutant que le processus de surveillance ne se limitait pas au nombre de citoyens sur le sol algérien, mais visait plutôt un nombre supposé de ressortissants algériens, principalement des diplomates, en Afrique du Sud, Angola, Belgique, Burkina Faso, Canada, Côte d’Ivoire, Emirats Arabes Unis et Egypte Espagne, Éthiopie, Finlande, Indonésie, Iran, Kenya, Mauritanie, Maroc, Namibie, Niger, Nigeria, Ouganda, République tchèque, Rwanda, Sénégal, Suède, Suisse, Syrie, Tunisie, Turquie et Zimbabwe, affirmant que le programme Pegasus était très intéressé par l’ambassade d’Algérie, le numéro de téléphone de l’ambassadeur d’Algérie et de l’attaché militaire. De l’autre côté de la Méditerranée, le numéro de l’ambassadeur de France de l’époque, Xavier Drincourt, et le numéro de l’attaché militaire français ont été visés. Outre d’autres numéros appartenant prétendument à l’ambassadeur de l’Union européenne en Algérie, outre l’entourage de l’ancien président, dont ses deux frères Saïd et Nasser et sa sœur Zohour Bouteflika, l’appareil marocain a également visé les numéros de grands dirigeants de la l’armée, y compris les numéros des chefs des services de renseignement de l’époque.
D’autre part, la présidence française a déclaré que si les informations relatives aux écoutes téléphoniques du téléphone de Macron étaient correctes, ce serait très dangereux, et a ajouté que les autorités enquêteraient sur ces informations pour faire la lumière nécessaire sur les rapports. Le Monde a indiqué que selon les sources, l’un des numéros de téléphone de Macron, qu’il utilise régulièrement depuis 2017, figure dans la liste des numéros choisis par les renseignements marocains pour un éventuel espionnage électronique, en plus de viser l’ancien Premier ministre français Edouard Philippe et 14 ministres en 2019, alors que le Maroc publiait une déclaration lundi, il a nié toute implication dans l’utilisation de Pegasus, et a rejeté ce qu’il a qualifié de « fausses allégations » qui ne sont pas fondées sur « une base factuelle ».
Dans ce contexte, le président français Emmanuel Macron a ordonné une série d’enquêtes sur le cas des services de sécurité marocains espionnant ses numéros de téléphone. « Le président de la République a ordonné une série d’enquêtes », a déclaré le Premier ministre français Jean Castix lors d’une interview sur TF1. « Si ces faits sont prouvés, ils seront dangereux », a ajouté Castells. Je confirme que. » Il a souligné qu’il serait « irresponsable » de parler de toute réaction de Paris jusqu’à ce que la situation devienne claire et que les faits deviennent clairs.
http://elmihwar.dz/ar/231747/%D9%86%D8%B8%D8%A7%D9%85-%D8%A7%D9%84%D9%85%D8%AE%D8%B2%D9%86-%D9%8A%D8%AA%D8%AE%D8%A8%D8%B7-%D8%A8%D8%B9%D8%AF-%D8%AA%D9%88%D8%A7%D9%84%D9%8A-%D8%B3%D9%82%D8%B7%D8%A7%D8%AA%D9%87/ -
L’allié de la France et des Etats-Unis dans ses petits souliers
https://www.youtube.com/watch?v=StIfO4ICvcw -
Salma Bennani, la princesse rebelle qui a défié le Roi du Maroc
Grâce à son charisme, sa beauté, son élégance et sa formation, Salma Bennani a donné un nouveau visage à la monarchie alaouite. C’était avant de découvrir la vérité sur la personnalité du roi Mohammed VI.
Salma n’est pas la princesse typique. Elle a fait preuve de courage en affrontant la famille royale qui voulait la soumettre à ses caprices. Elle mérite le surnom de « princesse du peuple » parce qu’elle est très aimée au Maroc. Son esprit rebelle a montré qu’à l’intérieur du palais royal il y a aussi des drames déguisés en contes de fées. Seize ans après son mariage, elle a exprimé son ras-le-bol de l’air irrespirable dégagé par le souverain marocain et la jalousie maladive de ses sœurs.
Salma Bennani fait peur au palais royal parce qu’elle incarne l’esprit de Lady Di, la princesse qui a dévoilé le vrai visage de la monarchie britannique. C’est la raison pour laquelle, elle a été ciblée par un média proche du palais qui l’a qualifiée de « dédaigneuse », « méprisante », « colérique » et « agressive ». Des qualificatifs qui pourraient être attribués au roi Mohammed VI et qui ont poussé Salma Bennani à s’éloigner de lui.
Selon des rumeurs très répandus dans les milieux populaires marocains, l’ex-princesse a exprimé maintes fois des violentes critiques envers la politique de répression suivie par Mohammed VI dans le Rif et dans les autres régions du Maroc.
Maroc Leaks, 9 juillet 2018
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Maroc : Le Telegraph, vu par la boîte d’Abdelmalek Alaoui
Présentation :
Telegraph .co.uk est la version électronique du journal the Daily Telegraph(Voir ci-dessous) publié par le groupe « Telegraph Media Group Limited » une filiale de « Press Holdings Ltd »
Le groupe opère dans la publication des journaux quotidiens des hebdos et les sites web qui fournissent des informations sur le volet politique, sport, finance, style de vie et mode, santé et voyage, culture et la technologie.
Staff:
Le groupe a une grande équipe de journalistes (environ 500 journaliste) et dont les cadres clé sont :
• Mr. Murdoch MacLennan : PDG
• Mr. William Lewis : Directeur général de numériques
• Ms. Sarah Crompton : Rédacteur en chef d’Arts de Daily Telegraph
• Mr. David King : directeur
• Mr. Hannah Grahame : Chef de Groupe de Présentation Régionale
The telegraph et la cause nationale :
Le journal a traité à mainte fois la problématique du Sahara, ci-dessous quelques articles publiés cette année :
http://www.telegraph.co.uk/news/wikileaks-files/london-wikileaks/8305037/WESTERN-SAHARA-UK-UNDECIDED-ABOUT-UN-STATEMENT.html
http://www.telegraph.co.uk/news/wikileaks-files/london-wikileaks/8304724/C-WESTERN-SAHARA-UK-SUPPORTS-VAN-WALSUM-RENEWAL-FIFTH-ROUND-OF-TALKS-IN-2009.html
http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/africaandindianocean/morocco/8116862/Moroccan-forces-end-protest-at-Sahara-camp.html
http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/1322205/Forgotten-PoWs-bake-in-Sahara-for-20-years.html
Sources
http://investing.businessweek.com/research/stocks/private/snapshot.asp?privcapId=5502744
http://en.wikipedia.org/wiki/The_Daily_Telegraph
http://www.telegraph.co.uk/
The Daily Telegraph
The Daily Telegraph est un quotidien d’information britannique fondé en 1855. Son orientation politique est plutôt vers le parti conservateur britannique. Le Telegraph est traditionnellement considéré comme pro-Israël et placé sur la droite modérée de l’échiquier politique
Le Daily Telegraph et les autres journaux du groupe, étaient la propriété de l’homme d’affaires canadien d’origine britannique Conrad Black. Le groupe de presse fut racheté par les frères Barclay, hommes d’affaires britanniques, déjà propriétaires de plusieurs journaux au Royaume-Uni. -
Maroc : nouvel eldorado des pédophiles ?
La grâce puis l’arrestation et finalement l’annulation de la grâce du pédophile espagnol Daniel Galvan Vina a soulevé le courroux de la population marocaine. Cette réaction populaire – nouvelle dans ce pays – révèle l’importance du phénomène au Maroc, grande destination du tourisme sexuel.
Les Marocains ne décolèrent pas. L’annonce début août de l’annulation de la grâce accordée par erreur au pédophile espagnol Daniel Galvan Vina n’a fait qu’envenimer l’ire populaire. La mobilisation de la société civile sur ces questions d’abus sexuels qu’elles concernent des Marocains ou des étrangers, remontent à deux ans observe Béatrice Bouron, directrice de l’association marocaine d’aide à l’enfance Amane : « On sent que la population est de plus en plus révoltée par à ces situations. Elle le manifeste et le fait savoir. » C’est le fruit du travail de sensibilisation d’associations et de collectifs. « Récemment, des artistes ont décidé d’organiser une marche blanche », souligne Béatrice Bouron. « La mobilisation fonctionne très bien aussi sur Facebook. » S’il est rare, voire inédit, qu’un pédophile soit condamné à 30 ans de prison puis gracié, comme Daniel Galvan Vina, ce n’est pas la première fois qu’un violeur d’enfants bénéficie d’une grâce royale.
Ex-ministreCe fut le cas de Hervé Le Gloannec. Ce ressortissant français arrêté en 2005 à Marrakech en possession de 17 000 photos et 140 00 vidéos de pornographie pédophile a été condamné à quatre ans de prison. Puis sa peine a été réduite à deux ans, avant qu’il ne soit libéré par grâce royale en 2006 à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance du pays. C’est ce que révèle un câble diplomatique publié à l’époque sur Wikileaks et ressorti récemment par le site Lakome. Le cas de ce pédophile arrêté par les autorités marocaines n’est pas isolé. On lit aussi sur Wikileaks qu’un autre Français, Jacques-Henri Soumere, ancien directeur du théâtre de Mogador à Paris et aujourd’hui encore de l’opéra de Massy, en France a été arrêté en 2006 alors qu’il se trouvait avec un garçon de 16 ans. Placé deux mois en prison, il est alors accusé d’homosexualité et non de relations sexuelles avec mineur. Il sera ensuite libéré. Sa peine est bien légère comparée à celle de Daniel Galvan Vina. Ces trois cas ne sont pas isolés dans le pays. D’autres sont régulièrement dénoncés par la presse nationale et jusque sur les plateaux de télévision en France. Lors d’une émission en 2011, l’ancien ministre de l’Education – Luc Ferry – avait accusé un ex-ministre d’avoir des relations sexuelles avec des mineurs au Maroc. « Nous savons qu’il y a du tourisme sexuel, que certaines villes sont particulièrement concernées mais on ne sera pas en mesure de donner des chiffres », regrette Béatrice Bouron. « Dans notre association, nous n’avons pas voulu nous focaliser sur les étrangers. Souvent, on fermait un peu les yeux sur ce qui se passait avec des Marocains, tout en sachant que l’inceste est assez répandu. Mais on accusait le touriste ou l’étranger qui venait abuser de nos enfants. » Ces derniers ne sont, certes, pas les auteurs de tous les abus sexuel du pays, mais ils y participent.
A la modeCette année, le Maroc enregistre une augmentation de 9% du nombre de touristes. Et tous les voyageurs de cette destination à la mode n’ont pas pour seule intention d’admirer les beautés culturelles du pays. Les vols peu chers ont participé à rendre plus accessible cette destination et facilité l’accès aux pédophiles. « On a commencé à parler du tourisme sexuel en Asie du Sud-Est avec la Thaïlande », observe Béatrice Bouron. « Mais ces pays ont pris des dispositions et on s’est rendu compte que le tourisme sexuel s’est déplacé. On a alors vu au Maroc et dans d’autres pays se développer ce type de tourisme. »Soi-disant touriste, businessmen, hommes politiques, ils viennent du Golfe pour beaucoup d’entre eux, pour d’autres d’Europe. Ils profitent de leur séjour ou se déplacent uniquement pour abuser de mineurs dans les villes les plus touristiques du pays. « Quand on en parle à Marrakech, on pense systématiquement aux jeunes garçons, mais ça dépend des zones », constate Béatrice Bouron. Les hommes des pays du Golfe se déplacent plus souvent dans le sud du pays, dans la région d’Agadir, pour y chercher une femme. Tanger accueille aussi ces touristes bien particuliers. A Marrakech, il ne fait pas bon évoquer ces abus sur mineurs remarque la directrice de l’association Amane : « Il y a cette volonté du ministère du Tourisme et des autorités de ne pas vouloir donner ou renforcer cette image – qu’elle a déjà- de lieu du tourisme sexuel. » Les associations comme la sienne rencontre des difficultés pour enquêter sur ces abus.
Dans la rue Les victimes – en majorité mineures – sont racolées par des rabatteurs en échange d’argent. Ce miroir aux alouettes piège les enfants qui vivent dans une grande pauvreté. « Ce sont souvent des jeunes qui vivent dans la rue et qui vont mendier, être approchés par les touristes, les abuseurs », explique Béatrice Bouron. « Toute la difficulté, pour les autorités, c’est de mettre des mesures en place, pour en parler. C’est une façon aussi de montrer que l’on reconnaît ce qui se passe et que l’on prend le problème à bras le corps », ajoute-t-elle. Les chiffres officiels sur le tourisme sexuel ou les réseaux pédophiles restent inexistants. Dans le câble diplomatique sur Wikileaks, il apparaît que le ministère de la Justice marocain a fourni des statistiques en 2008 selon lesquelles 1 122 cas d’agressions sexuelles sur mineurs auraient été enregistrés. Il est difficile de dire si elles reflètent la réalité. Toujours selon le ministère, dix étrangers ont été poursuivis en 2009 pour homosexualité, incitation de mineur à la prostitution, participation à l’exploitation d’un mineur et viol violent de mineur. Par la voix de son rapporteur spécial sur le trafic de personnes, Joy Ngozi Ezeilo, l’ONU affirmait le 25 juin 2013 que le « Maroc fait face à un défi considérable en tant que source, lieu de transit et destination de plus en plus importante pour le trafic de personnes ». Le rapporteur exprimait ses inquiétudes sur la viabilité des services de protection des victimes et presse l’État marocain de mettre en place une institution et une politique pour combattre efficacement le trafic d’êtres humains.
Pédopornographie Le Haut Commissariat de l’ONU aux Réfugiés (UNHCR) souligne également dans l’un de ses rapports les lacunes du Maroc en termes de statistiques sur le trafic de personnes sur son sol, ainsi que le peu de structures d’accueil pour les jeunes victimes. Si les chiffres manquent, le Maroc tente de faire tout de même des efforts au niveau législatif. En 2003, le Maroc a renforcé son code civil pour lutter contre la pédopornographie. Mais Béatrice Bouron place davantage d’espoir dans la Convention du Conseil de l’Europe sur la protection des enfants contre l’exploitation et les abus sexuels, établie à Lanzarote le 25 octobre 2007. C’est le premier traité international qui s’attaque à la pédopornographie. Le texte est encore en cours de ratification par le Maroc. Actuellement, les violeurs encourent de faibles peines de prison, entre 2 et 5 ans en général. « Mais il y a encore des avancées à faire à ce niveau-là », assure Béatrice Bouron. Face au manque d’outils judiciaires, des associations comme Touche pas à mon enfant ou Amane mènent des actions. « Ça n’a pas été de très grande envergure », prévient Béatrice Bouron. « Mais on a commencé une action avec le groupe hôtelier Accord pour sensibiliser les réceptionnistes et les employés d’hôtels à l’identification de personnes qui montent dans leurs chambres avec de jeunes enfants », raconte Béatrice Bouron, directrice d’Amane. Les pédophiles ont vite appris à se camoufler davantage et louer une maison loin de leur chambre d’hôtel. Le Maroc a cependant ratifié le 25 avril 2011 une directive des Nations unies pour supprimer et punir le trafic de personnes, particulièrement des enfants et des femmes. Si la législation ne montre pas encore de résultats dans la lutte contre les abus sexuels sur mineurs, la population y est plus sensible qu’auparavant : « On commence à avoir une prise de conscience du phénomène, car jusqu’à présent, c’était tabou. Mais on en parle de plus en plus. »
TV5 Monde, 12 août 2013
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Le Maroc est à l’origine du MUJAO selon l’Armée Française
Le Maroc a décidé, depuis que la communauté internationale lui a imposé les bons offices du diplomate américain chevronné Christopher Ross en tant qu’Envoyé Personnel du Secrétaire Général des Nations Unies pour le Sahara Occidental, d’utiliser tous les moyens en vue de s’affirmer en partenaire incontournable de la lutte anti-terroriste à un moment où sa réputation a été sévèrement atteinte par plusieurs éléments conjoncturels :
– Le trafic de cannabis, dont les barons agissent sous les ordres du Makhzen, devenu l’une des principales sources de financement des terroristes d’Al-Qaida installés au Mali.– L’échec du dénommé plan d’autonomie qui n’a pas été avalé par la communauté internationale qui demeure attaché au droit international et aux résolutions onusiennes, à savoir le principe d’autodétermination pour le Sahara Occidental en tant que territoire non-autonome.
– La peur de perdre le contrôle des ressources de l’ancienne colonie espagnole, seul moyen lui permettant de concurrencer l’Algérie au niveau de leadership régional.
– Les violations graves des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara Occidental dont il a fait une prison à ciel ouvert verrouillée aux étrangers.
– L’affirmation de l’Algérie en tant que puissance militaire, économique et son rôle stratégique accru.
– L’étalage en public du linge sale du royaume par le cousin du roi Mohammed VI, le prince Hicham El Alaoui
– Les câbles Wikileaks qui ont dévoilé l’implication dans le trafic de cannabis de hautes personnalités de l’entourage du palais royal ainsi que les déclarations d’un ex-agent des services secrets marocains, Hicham Bouchti, au journal Echourouk.
Les autorités marocaines jouissent d’une longue expérience en matière d’instrumentalisation de la menace terroriste, un sujet sensible aux yeux des puissances occidentales. La situation de chaos au Mali leur offre l’occasion. La situation économique et sociale en Mauritanie permet aux éléments de la DGED marocaine d’agir avec facilité. Depuis Nouakchott, les agents du Maroc multiplient les attaques contre le Front Polisario et l’Algérie. Certains sites mauritaniens parlent de « collusion » du mouvement sahraoui avec les organisations terroristes au Mali.
L’attaque contre les camps sahraouis et la naissance du MUJAO
Le 23 octobre 2011, un groupe de terroristes attaque la localité de Rabouni, capitale administrative du Front Polisario et enlève deux coopérants espagnols et une italienne. Le relais marocain au Mali, le correspondant de l’AFP à Bamako, Serge Daniel s’acharne sur le mouvement sahraoui dans la période de suspense en attendant que les ravisseurs dévoilent leur identité et leurs revendications. La ministre des affaires étrangères espagnole, Trinidad Jimenez débarque à Rabat deux jours après l’enlèvement pour demander l’aide des autorités marocaines. Malgré que l’incident a eu lieu sur des terres algériennes. Elle semble soupçonner le Maroc d’être derrière l’opération terroriste. Des soupçons partagés par les responsables sahraouis.
Les ravisseurs vont entretenir le suspense pendant deux semaines. Ensuite c’est un mystérieux Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO) qui va en revendiquer la responsabilité. Un mouvement qui a signé son acte de naissance avec son attaque contre la maison d’accueil de Rabouni où logent les coopérants étrangers chargés de suivre les programmes d’aide aux camps des réfugiés sahraouis. Il va se distinguer des autres organisations terroristes activant sur le territoire malien par son acharnement sur l’Algérie dont il fera sa cible principale. Son nom indique l’Afrique de l’Ouest mais son GPS est coincé sur le Nord et plus précisément sur l’Algérie. Les attentats (à Tindouf le 23 octobre 2011, à Tamanrasset le 3 mars 2012, à Ouargla le 29 juin 2012 et surtout du kidnapping de sept diplomates algériens à Gao, en avril 2012), les sorties et attaques médiatiques visant l’Algérie et le Polisario et dont le MUJAO a fait son cheval de bataille, ne laissent aucun doute sur le rôle des services secrets marocains.
Et comme par hasard, le père fondateur de ce mouvement, Hammada Ould Mohamed Kheirou, est originaire de la Mauritanie, pays qui procédera le 21 décembre 2011, un mois après l’attaque contre Rabouni, à l’expulsion de Abdelhafid El Bakkali, officier de la DGED marocaine agissant sous couverture de correspondant de la MAP, agence officielle de presse du Maroc. La décision mauritanienne est un message de fermeté face aux agissements devenus embarrassants des éléments de la DGED marocaine. Depuis, les relations entre les deux pays sont limitées à sauver les apparences, en particulier depuis la tentative d’assassinat du président Mohamed Ould Abdelaziz. Au même temps, selon des documents révélés par le hacker marocain Chris Coleman, le journaliste français Vincent Hervouet est chargé par un agent de la DGED, Ahmed Charai, d’élaborer une vidéo contre le Polisario. En effet, dans un mail datant du 7 décembre 2011, Hervouet annonçait à son « employeur » marocain qu’il allait parler, dans son émission, « des kidnappeurs des deux français au Mali qui s’avèrent être bien des types d’AQMI et qui viennent des camps du Polisario ». Leur relais en Mauritanie, Sahara Médias, semble assurer la liaison médiatique avec le groupe terroriste devenant leur porte-parole privilégié.
Le reportage qui accable le Maroc
Réagissant à une dépêche du correspondant de l’AFP à Bamako, Serge Daniel, l’autre relais de la DGED au Mali, l’ancien porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères algérien, Amar Belani, avait déclaré : « Il s’agit là d’une grossière entreprise de désinformation, puisque les relais régionaux d’instigation et de repli du MUJAO sont bien connus de tous et ils ne se trouvent pas sur le territoire algérien ». Une allusion claire au Maroc. Une accusation qui se trouve renforcée par les découvertes de l’armée française dans la Vallée de l’Amettetaï et qui a été rapportée par un épisode de l’émission Envoyé Spécial diffusée le 17 octobre 2013 sur la chaîne France 2.
Dans le reportage, les éléments du MUJAO ont pris la fuite avant l’arrivée de l’unité de parachutistes français qui fait le ratissage de la vallée de l’Ametettaï :
« Après la vallée de l’Amettetaï, les militaires s’attaquent à celle de Terz, plus au sud. Au bout de trois jours de marcheles parachutistes du deuxième RED descendent dans la vallée. L’essentiel, le contrôle des points d’eau dans cette région désertique. Les renseignements sont exacts. Les djihadistes étaient bien là, mais ils ont fui. Un premier campement est détruit.
Un bivouac pour une quinzaine de personnel en tapis de sol, couvertures. Donc, on suppose que s’il y a des munitions, ce serait côté sud de l’oued. J’ai un groupe en déplacement là-bas pour faire un point-check.
Un peu plus loin dans l’oued, la fouille commence. Rocher après rocher, cavité après cavité, grotte après grotte, jusqu’à ce que les militaires fassent une découverte : Une série de caches que les militaires mettront plusieurs heures à vider. Au milieu de nulle part du matériel informatique, des disques durs, des composants électroniques et aussi tout un arsenal d’armes de gros calibre. Des canons bitubes, des mitrailleuses de 14,5, des armes lourdes qu’on peut installer sur des pick-up ». « J’ai trouvé une dizaine de passeports avec une dizaine de cartes d’identité », annoce un des militaires.Egypte, Tunisie, et même Canada. Ces passeports, précieuses sources de renseignement prouvent que l’international djihadiste s’est constituée ici une base arrière puissamment armée. Tous ces documents et surtout les GPS trouvés ont permis de retracer une autoroute des djihadistes pour les combattants étrangers ».
Ici, sur l’écran apparaît une carte qui indique le chemin suivi par les terroristes du Maroc jusqu’au Mali.
« Le massif de l’Ifoghas mettra des mois à livrer tous ses secrets », souligne le commentateur. En effet, les 400 prisonniers capturés par l’armée française ont sûrement apporté des renseignements précieux qui sont actuellement entre les mains des militaires français. Mais « l’autoroute tracée » à travers le décryptage des GPS ne laisse aucun doute. Les terroristes du MUJAO proviennent bel et bien du Maroc et ses dirigeants sont tous d’anciens trafiquants du cannabis marocain.
Une dépêche du magazine Jeune Afrique en date du 5 septembre 2012 rapporte que « Les services de renseignement français affirment que des armes auraient récemment été livrées, via le Burkina Faso, au Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO) ».
« Du coup, les responsables français se montrent perplexes : comment des camions chargés d’armes pourraient-ils traverser le Burkina sans l’aval des autorités », ajoute le magazine français. Une autre complicité découverte dans le pays de Blaise Compaoré qui se trouve aujourd’hui au Maroc pour échapper à la justice de ses compatriotes.
Diaspora Saharaui 21/11/2014