Étiquette : Israël

  • Israël: Déclaration de l’UE sur les nouvelles colonies

    Israël: Déclaration de l’UE sur les nouvelles colonies. Les autorités israéliennes ont annoncé la publication d’appels d’offres pour la construction de plus de 1300 logements dans les colonies israéliennes du territoire palestinien occupé

    Dimanche, les autorités israéliennes ont annoncé la publication d’appels d’offres pour la construction de plus de 1300 logements dans les colonies israéliennes du territoire palestinien occupé et un autre appel d’offres pour la construction de 83 logements supplémentaires à Givat Hamatos à Jérusalem-Est.

    Les colonies sont illégales au regard du droit international et constituent un obstacle majeur à la réalisation de la solution des deux États et d’une paix juste, durable et globale entre les parties. L’Union européenne a toujours clairement indiqué qu’elle ne reconnaîtrait aucune modification des frontières d’avant 1967, y compris en ce qui concerne Jérusalem, autre que celles convenues par les deux parties.

    Nous appelons le Gouvernement israélien à arrêter la construction de colonies et à ne pas procéder aux appels d’offres annoncés.

    EEAS, 25/10/2021

  • Maroc: Puissante association critique normalisation avec Israël

    Maroc: Puissante association critique normalisation avec Israël. « Un crime contre le Maroc, car les dirigeants du pays ouvrent grandement la porte à la pénétration culturelle, politique, éducative et sécuritaire ».

    La normalisation des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël continue de susciter des réactions dans la classe politique marocaine.

    Pour le porte-parole du parti Al Adl wal Ihssane (AWI), Fathallah Arsalane, ce rapprochement historique “est un crime contre le Maroc, car les dirigeants du pays ouvrent grandement la porte à la pénétration culturelle, politique, éducative et sécuritaire”.

    Pour ce responsable politique, cité par des médias électroniques marocains, “le crime se double lorsqu’il dépasse les relations commerciales et économiques pour l’identité et les valeurs, cible les jeunes étudiants et intensifie les accords entre universités”.

    Pis encore, estime le porte-parole du parti AWI, cette normalisation a causé de graves préjudices, citant à titre illustratif la crise avec l’Algérie, la saturation du marché marocain et l’instabilité.

  • Les germes de la propre destruction de la monarchie alaouite

    Les germes de la propre destruction de la monarchie alaouite. Le Maroc s’imagine  » invulnérable  » dans son escalade contre l’Algérie

    Le Maroc n’est jamais satisfait de l’indépendance de l’Algérie, de son épanouissement et de sa position géostratégique enviable. La maturité de l’Etat algérien est là, reconnue par tout le monde, c’est ce qui fait paniquer le palais royal. Le roi Mohamed VI virtuellement embarrassé par les positions immuables de l’Algérie, son refus de normaliser ses relations diplomatiques avec l’entité sioniste erre à gauche et à droite pour trouver des soutiens et pour renforcer encore davantage l’occupation du Sahara occidental avec l’aide militaire du Mossad et de certains pétrodollars. C’est pourquoi, le Makhzen persiste dans l’une des monstrueuses conspirations de l’histoire de l’Afrique du Nord à cibler l’Algérie pour sa Grandeur, l’unité de son peuple et la solidité de ses institutions. L’inverse de ce qui se passe au Maroc.

    Ce pays inféodé à l’entité sioniste, à l’impérialisme et à certaines capitales étrangères hostiles à l’Algérie, s’inscrit désormais dans une conspiration longuement étudiée, soigneusement exécutée pour affaiblir la Nation algérienne en propageant l’instabilité avec le concours de traîtres à la nation, notamment  » le MAK  » et « Rachad  » en tête de liste et qui sèment depuis longtemps les germes de la division et attisent la fitna au sein de la société algérienne. Toutes les considérations du duo Rabat-Tel Aviv ourdies contre l’Algérie ont échoué.

    Les complots intérieur et extérieur tramés par ces deux grands  » amis  » ont enregistré le même sort, en dépit de l’activisme sur le terrain des terroristes du  » MAK  » et de « Rachad  » dont les  » chefs  » sont des corbeaux qui croissent lorsque le compte devise est vide. Au bord du précipice, le roi Mohamed VI s’entête à s’attaquer à l’Algérie afin de poursuivre l’occupation du Sahara occidental. Il le fait désespérément pour prolonger l’agonie de son régime, d’une monarchie que l’histoire a depuis très longtemps condamnée. En ciblant la déstabilisation de l’Algérie, même les plus fidèles partisans du monarque de Rabat, ceux de Paris, commencent à l’abandonner, ses alliés occidentaux et africains sont en pleine panique.

    Bastion du sionisme et de l’impérialisme, le Maroc s’imagine  » invulnérable  » dans son escalade contre l’Algérie, téléguidé de l’extérieur, le monarque de Rabat, sous le fallacieux couvert de considérations géostratégiques régionales, continue à perpétrer le malheur et la souffrance du peuple sahraoui ! Le Makhzen qui s’enfonce chaque jour au Sahara occidental mène inéluctablement le royaume alaouite à un désastre économique et social de grande sévérité pour les sujets de sa Majesté. Bon nombre d’observateurs neutres laissent entendre que le Maroc à travers la guerre qu’il mène contre les Sahraouis finira par s’étrangler au plan intérieur.  » L’effondrement de la monarchie, sa fin, sont inéluctables.

    Non seulement la lutte armée que mène le Front Polisario prendra une autre tournure, un autre parcours et sera un feu dévorant dans une forêt sèche, mais une fois le feu déclenché, rien ne pourra l’éteindre avant cette fois-ci la concrétisation, voire la réalisation totale des aspirations nationales des Sahraouis. Dans le même cadre, Amar Belani, envoyé spécial, chargé des questions du Sahara occidental et des pays du Maghreb dans une déclaration exclusive à l’APS déclare :  » En raison d’une situation considérablement détériorée, il est attendu du Conseil de sécurité, une approche équilibrée, transparente et impartiale, qui prenne en charge les nouvelles réalités sur le terrain et les attentes légitimes du peuple sahraoui, conformément aux paramètres du plan de règlement « . Selon le diplomate algérien, les risques d’escalade dans le conflit opposant le régime marocain et le Front Polisario sont sérieux et, plus que jamais, le Conseil de sécurité doit traiter les questions sahraouies avec lucidité et responsabilité, car il y va de la paix et de la stabilité de la sous-région, affirme encore M. Belani.

    A l’instar de l’entité sioniste qui perpétue l’extermination du peuple palestinien, le Maroc avec son statut de colonisateur affiché depuis plus de quatre décennies est un affront à chaque Arabe, à chaque Africain et à chaque citoyen épris de paix et de liberté conscient du Grand Maghreb Arabe et du continent africain en général. Sous la dictée et les ordres du Mossad, le Makhzen, sème les graines dont va germer la propre destruction de la monarchie alaouite.
    B. C.

  • Pegasus : Israël et le Maroc, une si longue histoire d’amour

    Pegasus : Israël et le Maroc, une si longue histoire d’amour. Le client présumé de la firme Pegasus collabore activement avec le gouvernement israélien, et ce, depuis des décennies.

    En coulisse des plaintes compulsives du Maroc envers les journalistes et les ONG ayant étayé les soupçons de son usage massif du logiciel Pegasus, et des dénégations de pure forme de l’État israélien, les différents gouvernements impliqués s’activent pour régler une affaire d’espionnage qui a dégénéré en brouille diplomatique. Selon le site Axios, un conseiller du premier ministre Naftali Bennett s’est rendu à Paris courant octobre pour discuter de l’usage du logiciel conçu par la firme israélienne NSO. Une réunion censée offrir des « garanties » futures à la partie française, explique le quotidien le Monde, auprès duquel l’Élysée a confirmé l’information.

    La France espère obtenir les mêmes privilèges que les plus proches alliés d’Israël, États-Unis et Royaume-Uni en tête. En clair, que les numéros français soient définitivement exclus des cibles de NSO et des autres logiciels espions israéliens exploités par ses clients, comme l’avait déjà indiqué la ministre des Armées, Florence Parly, dès la fin du mois de septembre.

    Une bataille judiciaire qui ne fait que commencer

    Des discussions qui confirment un secret de Polichinelle : la firme privée NSO agit en parfaite intelligence avec les services de sécurité israéliens, dont les clients étatiques figurent parmi les alliés ou partenaires de Tel-Aviv, qu’il s’agisse de la Hongrie de Viktor Orban, du Rwanda de Paul Kagame, ou du Maroc de Mohammed VI.

    L’avocat du royaume chérifien Olivier Baratelli maintient cependant que NSO «  n’a jamais eu de liens contractuels ou commerciaux » avec Rabat, qui poursuit au tribunal Amnesty International, le collectif médiatique Forbidden Stories, et les journaux qui ont relayé ou étayé ces soupçons, dont l’Humanité.

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  • Le Maroc tombe de haut

    Le Maroc tombe de haut. Le dernier cadeau de Trump au roi du Maroc (en contrepartie d’une normalisation avec l’entité sioniste) n’aura servi à rien. La Commission des Finances du Sénat américain désapprouve la construction d’un consulat à Dakhla. 

    Le dernier cadeau de Trump au roi du Maroc (en contrepartie d’une normalisation avec l’entité sioniste) n’aura servi à rien. La Commission des Finances du Sénat américain désapprouve la construction d’un consulat à Dakhla. De ce fait, même si la reconnaissance de la marocanité des territoires sahraouis occupés illégalement depuis 1975 n’est pas mentionnée, c’est du surplace que le dossier fait. C’est presque un revirement de la position américaine vis-à-vis de la décision irréfléchie du Trump. Le Maroc peut déjà compter les mauvaises notes cumulées et à venir.

    Le blocage avant le refus
    Il y a quelques jours, selon le quotidien espagnol Lavanguardia, le Congrès américain avait déjà bloqué l’ouverture d’un consulat des Etats-Unis à Dakhla occupée et une opération de vente de drones armés au Maroc, deux promesses clés faites au Royaume par l’ex-président, Donald Trump. Le journal révèle que la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, bloque depuis plusieurs mois deux promesses clés contenues dans l’accord portant la reconnaissance unilatérale de Trump de la prétendue souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental en échange de la normalisation des relations entre le régime marocain et l’entité sioniste.

    Il s’agit de l’ouverture d’un consulat américain à Dakhla, ville sahraouie occupée, et la vente de drones armés MQ-9B au royaume, selon des sources au Congrès citées par Lavanguardia.

    La nature « transactionnelle » de nombre des accords d’Abraham, promus par Trump entre Israéliens et différents pays arabes et souvent accompagnés de ventes d’armes, a suscité dès le début les inquiétudes des élus américains, souligne l’article, jugeant que « le soutien de Washington à Rabat est beaucoup plus fissuré qu’il n’y paraît ».

    Mais avec l’arrivée de Joe Biden à la Maison Blanche, ce malaise s’est traduit par des actions concrètes dans le cas du Maroc pour tenter d’en atténuer les conséquences, ajoute la même source.

    Lavanguardia rappelle que vers fin décembre, l’ambassadeur américain à Rabat, David Fisher, s’est rendu dans la ville de Dakhla occupée pour inaugurer un bureau diplomatique virtuel et annoncer le début des procédures pour construire les locaux de la représentation consulaire.

    Remise en cause
    Cependant, la commission des Affaires étrangères du Congrès remet en cause la nécessité d’un tel consulat, d’après la même source, et son blocage, signifie que, légalement, « le Département d’Etat ne peut pas prendre de décisions financières ou opérationnelles pour aller de l’avant avec le plan », explique-t-on.

    Il en va de même avec la promesse de Trump au Royaume de lui vendre des drones MQ-9B, une technologie très avancée qui, selon les membres de la commission, « ne devrait pas être mise à la disposition du Maroc ».

    Le blocage de ces promesses au Congrès n’a pas été révélé jusqu’à présent, mais la vérité, telle qu’elle est établie par l’Avanguardia, est qu’ »elles sont gelées depuis près de cinq mois sans que le Département d’Etat n’ait pris des mesures pour tenter de le contourner ou de négocier un compromis avec les membres du Congrès ».

    Certains démocrates exigent du Département d’Etat) de se distancier totalement de ces pactes. En février, rappelle-t-on, 27 sénateurs ont écrit une lettre au président Biden dans laquelle ils lui ont explicitement demandé de révoquer la décision de Trump sur le Sahara occidental. Parmi les signataires, figuraient des démocrates mais aussi des républicains.

    Lavanguardia est de l’avis que l’insistance sur une solution négociée entre les parties implique, en pratique, « une prise de distance par rapport à la proclamation de Trump », ce qui représente un tournant historique dans la position américaine qu’aucun autre pays au monde n’a suivi.

    La commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants du Congrès a demandé au Département d’Etat de l’informer avant juillet de l’état d’avancement des contacts dans le cadre des Nations unies pour réactiver les négociations, selon le journal.

    « L’impact des politiques de Donald Trump suscite des inquiétudes et nous sommes activement impliqués avec le président Joe Biden face aux prochaines étapes », déclarent des sources au Congrès cité par Lavanguardia.

    Le Département d’Etat américain a évoqué un changement d’approche de la part de l’administration Biden concernant la question sahraouie.

    A une question de savoir comment l’administration Biden compte concilier le message sur le retour du multilatéralisme et la décision de s’en tenir jusqu’à présent à la décision de Donald Trump de reconnaître la prétendue souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental, le porte-parole du Département d’Etat, Ned Price a répondu que son département « consulte en privé les parties sur la meilleure façon de mettre fin à la violence et de parvenir à un règlement durable ».

    « Je n’ai rien de plus à annoncer pour le moment, mais je contesterai certainement la caractérisation selon laquelle il y aurait une continuité, y compris en ce qui concerne notre approche envers la région, depuis la dernière administration ».

    Le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, avait déclaré lors de son audition de confirmation au Sénat américain, que certaines des incitations incluses dans les accords dits « d’Abraham » méritaient de faire l’objet d’un « examen attentif », en référence implicite à certains avantages accordés par Donald Trump, dont la reconnaissance de la prétendue souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental.

    L’ONU face à l’ouverture illégale de consulats au Sahara occidental
    L’ancien commissaire à la paix et à la sécurité (CPS) de l’Union africaine (UA), Smaïl Chergui, a estimé impératif que le Conseiller juridique des Nations Unies se prononce sur l’ouverture, par certains Etats, de consulats dans des villes occupées du Sahara occidental à l’instigation de l’occupation marocaine.

    Dans un entretien accordé au quotidien « El-Khabar », Chergui a affirmé que « le retard immoral pour permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination et à l’indépendance reste un affront pour la communauté internationale », ajoutant que « les Sahraouis ont été contraints de reprendre la lutte armée pour que le Conseil de sécurité puisse se rendre compte des fourberies et mensonges du Maroc qui tente d’imposer le fait accompli au mépris du droit international en poursuivant ses pratiques arbitraires en violation de l’accord de paix qu’il a signé et en incitant certains Etats, en contrepartie de pots-de-vin, à la transgression de l’intégrité de la République sahraouie ».

    Nous attendons toujours l’avis juridique du Conseiller des Nations Unies et mettre à nu les agissements de l’Etat d’occupation, d’autant que la responsabilité de l’ONU reste engagée au Sahara occidental jusqu’à l’organisation du référendum, a ajouté le diplomate.

    Evoquant la sortie mesquine de la mission du Maroc à New York visant à porter atteinte à la sacralité de l’unité nationale de l’Algérie et le financement de deux organisations terroriste à cette fin, M. Chergui a rappelé la condamnation par l’ensemble du peuple algérien à travers les quatre coins du pays de cette provocation « qualifiée d’acte grave et ignoble requérant rigueur et vigilance ».

    « C’est à partir de là que la Communauté internationale s’est réveillée et a pris la mesure de la gravité des agissements du Maroc pour la paix et la sécurité dans la région », a-t-il fait observer ajoutant que « c’est ainsi que le Maroc s’est vu contraint d’accepter un Envoyé onusien en remplacement de l’ancien président allemand ».

    A une question sur un éventuel retour des deux parties en conflit, le Front Polisario et le royaume du Maroc, à la table des négociations sans conditions préalables, M. Chergui a déclaré que « cette revendication est réalisable si le Conseil de sécurité venait à réagir avec des injonctions claires quant au calendrier de ces négociations et définir de cette manière les responsabilités à l’origine de leur entrave.

    De même que l’Union africaine (UA) est appelée à mettre en œuvre les résolutions du Conseil de paix et de sécurité y afférentes, pour accompagner cette démarche et veiller à parvenir à un cessez-le-feu entre ses deux pays membres, a-t-il ajouté.

    Les monarchies du Golfe au secours du Maroc
    Pour voler au secours du Maroc plus que pour un quelconque plan de paix, les pays du Golfe ont appellé l’Algérie et le Maroc à la sagesse et au dialogue; et certains d’entre eux se sont proposés comme éventuels intermédiaires pour aboutir à faire tourner la page de la crise entre les deux pays du Maghreb.

    Pourtant, durant de longs mois, caractérisés par l’attaque d’El Guerguaret, la normalization avec Israël, alors que les Palestiuniens subissaient un calvaire au quotidien ( et le subissent encore); pis encore, les Emirats arabes avaient réagi face à la normalization marocaine avec Israel en ouvrant “imédiatement” et à grands cris médiatiques, un consulat à Dakhla, au mépris de la logique de paix, au mépris des lois et decisions de l’ONU et au risque de froisser le ressenti de l’État algérien.

    Pourquoi le Maroc s’est engagé à greffer Israël au cœur de la région
    La rupture des relations algéro-marocaines continue à alimenter le débat dans le monde, mais de manière de plus en plus biaisée. Les médias internationaux, tant français, hégémoniques dans les pays de l’Union européenne concernant les questions maghrébines, qu’anglo-saxons, sont majoritairement entre les mains des banquiers et de la « communauté des usuriers ». Ceci expliquant cela, il devient facile donc d’entendre des échos contraires à ce qui se dit à la source.

    Le Maroc, qui ignore s’il agi avec hostilité, peut compter au moins le nombre de journalistes, eurodéputés et personnalités publiques qu’il invite chez lui, ou qu’il soudoie, pour évaluer, le niveau de la guerre « à basse intensité » qui est la sienne contre son voisin de l’est. Dans le groupe des pays constituant la grande famille maghrébine, saharienne et sahélienne, dont l’Algérie fait partie, il est utile de faire observer que seul le Maroc se distingue par une politique absolument, résolument et ostensiblement agressive et pernicieuse vis-à-vis de l’Algérie.

    Toute la batterie politique, diplomatique, économique et de lobbying a été mise à contribution pour mettre en minorité l’Algérie et les positions algériennes. Le Maroc s’est aussi distingué par des visites d’État dans toutes les capitales africaines, des politiques bancaires favorables au profit des Africains, des aides substantielles au bénéfice des sub-sahariens, une machine de propagande bien huilée, appuyée par celle, extrêmement puissante, des médias pro-israéliens, et un rémunération pour des armés de journalistes véreux payés à 5 et 6 000 l’article ( exemple, les journalistes de « Le Point » gravement mis en cause par les Wikileaks papers), une diplomatie de sous-sol qui sait corrompre les diplomates et les eurodéputés, appuyée efficacement en cela par le couple triangulaire franco-israélo-américain; à cela s’ajoute une utilisation outrancière et mensongère de l’histoire du Sahara pour en détourner le sens, travestir le cours et s’en approprier les bénéfices.

    Rabat, un comportement aux conséquences politiques couteuses
    Cependant, face à son puissant voisin de l’est, l’aventure politico-diplomatique marocaine menée depuis un certain temps dans le voisinage (Mali, Mauritanie, Sénégal, Tunisie et Libye) n’aura servi à rien sans l’implication, devenue aujourd’hui directe, de Tel Aviv et Washington. Un million de Marocains sépharades ont rejoint, à diverses étapes, la Palestine après la proclamation de l’Etat juif en 1948. 50 000 sont restés au Maroc, dont certains ont occupés des postes de conseillers au Palais royal. D’où l’interconnexion puissante entre les deux pays.

    En réalité, le Maroc obéï à une certaine logique. Obsédé depuis bientôt un demi-siècle par le Sahara occidental, il s’allie aux trois puissances du moment, les Etats Unis, Israël et la France, en leur faisant concession sur concession, lesquelles au final, seront sans contredit, préjudiciables pour les Marocains d’abord.

    L’affaire Pégasus, qui a granvement incriminé le Maroc, a été en réalité une affaire de sous-traitance. Israël avait été le premier bénéficiaire des écoutes et des données récoltées. Mais c’est le Maroc qui a porté le chapeau, seul. Et si l’Elysée, dont le président Macron avait été une cible privilégiée de l’espionnage marocain, continue de garder un silence « assourdissant », c’est parce que les lobbys sionistes ont tout fait pour bloquer tout processus de condamnation du Maroc et de son allié stratégique Israël, suite à l’affaire d’espionnage via le logiciel Pegasus.

    La normalisation, un processus aux objectifs secret
    Le Maroc s’est engagé, au nom de l’entité sioniste, dans une sous-traitance d’espionnage coûteuse. La monarchie n’espionne pas uniquement l’Algérie, mais tous les acteurs politiques décisifs qui se greffent autour du dossier Sahara. C’est un processus d’espionnage plus grand que les seuls besoins marocains qui a été mis en place et dont le premier bénéficiaire n’a pas été le Maroc, mais Israël, qui a tenu à garder ses distances avec ce qui s’est passé quand l’affaire s’est ébruitée.

    Faut-il encore rappeler que le processus de normalisation entre l’entité sioniste et le Maroc est un processus secret, développé dans la clandestinité ( ce qui est déjà contraire aux principes et textes des relations internationales), et dont les bribes mises à la connaissance du public ne correspondent pas exactement aux objectifs tenus secrets et soigneusement mis sous le boisseau. De toute évidence, le grand public demeurera longtemps tenu à l’écart ce qui a été décidé et ne sera informé que de la « partie conventionnelle » de cette pièce du puzzle du Pacte d’Abraham.

    Pour préserver les intérêts d’Israël et sauvegarder ses intérêts coloniaux, le Maroc continuera d’entraver les efforts de règlement pacifique en cours des crises dans la région, à l’instar du Mali et de la Libye.

    Membre de la triple entente maroco-israélo-américaine, née du Pacte d’Abraham, le Maroc emprunte depuis lors un parcours fléché et il lui sera difficile d’en remettre en cause l’itinéraire. Israël n’a jamais fait une guerre de longue durée ou de haute intensité, parce qu’il n’en a pas la capacitité; aussi, fait-il faire à sa place d’autres, comme il le fait déjà depuis deux mille ans. Tout le monde sait que le roi du Maroc délègue ses pouvoirs à ses principaux collaborateurs, dont certains sont imposés par des lobbys franco-sionistes, qu’il lit et écoute les rapports qui lui parviennent et prend les décisions déjà esquissées dans ces mêmes rapports, qui corroborent les intérêts du jeu des stratégies de puissance. Historiquement, ce furent des causes pareilles, des compromissions outrancières avec des juifs, qui menèrent à l’extinction de la brillante dynastie mérinide au Maroc.

    Une présence désirée aux portes sud de l’Algérie
    Depuis 2007, lorsque les faucons ont chuchoté dans l’oreille du président Bush la nécessité de mettre sur pied un commandement militaire pour l’Afrique, ultérieurement dénommé « Africom », Israël était associât au projet et méditait à la manière la plus efficace de prendre racine au Sahel. Unanimement rejeté alors, par la communauté africaine, Israël adoptait la politique des doses homéopathiques pour réussir son pari. Une stratégie qui s’avérera payante. Jour après jour, pays par pays, le Mossad s’infiltrait, manipulait, corrompait, calculait, payait et aidait gratuitement pour parvenir à ses fins. Proposant son aide au Sahel pour venir à bout du terrorisme, tout l’arsenal était mis à contribution. On sait comment le Soudan avait été disloqué et placé sur la trajectoire d’Israël. Aujourd’hui, cet ancien grand pays d’Afrique, a été réduit à quémander auprès des instances financières internationales pour éponger ses dettes et acheter à son peuple de quoi manger. En 2020, Khartoum normalise avec Israël. En 2021, elle commence à bénéficier des premières aides financières de la part des banques internationales. Le parcours fléché ne sert pas uniquement au Maroc.

    La présence d’Israël au Maghreb avait été une obsession de longue date. Pour certains rabbins, il s’agissait d’un retour aux sources : les royaumes de Touât n’avaient-ils pas été prospères lorsque les juifs étaient maîtres du commerce de la poudre d’or et des esclaves sur les routes caravanières Tamentit-Tidikelt-Abalessa-Tombouctou-Jennée ?

    Le deal contracté permettait aussi d’étendre les activités marocaines de lobbying vers les pays de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), et là encore, c’est aussi au bénéfice d’Israël, qui avait besoin de l’appui de tous pour intégrer l’Union Africaine et s’imposer au cœur de la région maghrébo-sahélienne. L’Algérie étant, de toute évidence, de l’aveu même des hauts responsables du Mossad, le dernier objectif.

    Avant d’intégrer l’UA, Israël avait tenté de contourner le problème et d’espionner l’Algérie par la Méditerranée. Pour ce faire, il a demandé (et obtenu, dès 2005) une participation au sein des forces de l’Otan stationnées en Méditerranée, sous le motif fallacieux de pouvoir ainsi surveiller les navires pouvant transporter secrètement des armes au profit du Hamas et les intercepter dès qu’ils pénètrent l’embouchure du détroit de Gibraltar, avant de pousser plus vers l’est. Cette information est confirmée par diverses sources occidentales.

    Aujourd’hui encore, le Mossad continue à jouer les éclaireurs et déblayer le terrain politique au bénéfice d’Israël. Interdit de mettre pied dans le Sahel, il emprunte des chemins détournés, par le biais, par exemple, des entreprises israéliennes spécialisées dans la High Tech et les équipements militaires de pointe, au point de prendre le marché de la Minurso au Nord-Mali, et dans d’autres pays de la région sous le sigle de NSO Group, Aéronautique Israël Industries, Elbit Systems, entre autres sociétés de l’industrie guerrière d’Israël. En quelques petites années, il a pu convaincre, par divers stratagèmes, plus de quarante États africains pour arriver à faire imposer la présence d’Israél en tant que membre observateur à l’Union africaine.

    Voici, en mots succins et abrégés, les objectifs, les outils et les itinéraires qu’emprunte le Maroc, en faisant en même temps le jeu de la sous-traitance. Ce qui se passe en Palestine ne restera pas en Palestine, note le groupe de recherche Who Profits : « Une raison essentielle pour laquelle Israël cherche perpétuellement à diversifier son arsenal est qu’il peut ensuite le transformer en profit économique et en gains politiques. »

    L’Express, 24/10/2021

  • Maroc : Échecs recommencés du Makhzen.

    Maroc : Échecs recommencés du Makhzen. Le royaume de Mohamed VI continue de collectionner les échecs sur la scène diplomatique malgré sa lune de miel avec l’entité sioniste.

    Le royaume de Mohamed VI continue de collectionner les échecs sur la scène diplomatique malgré sa lune de miel avec l’entité sioniste. Hier une délégation informelle du Maroc emmenée par l’ambassadeur de ce pays en Afrique du Sud, qui s’était introduite insidieusement sans être invitée à la réunion du traité « Pelindaba » visant à faire de l’Afrique un continent sans armes nucléaires (AFCON), a été renvoyée par les organisateurs. Et ce fut une double peine pour sa Majesté puisque la délégation de la République sahraouie quant à elle a participé aux travaux en tant que membre à part entière.

    Il y a une semaine, le Maroc avait essuyé indirectement une autre gifle quand l’écrasante majorité des ministres des Affaires étrangères de l’Union Africaine avait accablé le président de la commission africaine Mohamed Moussa Faki qui a décidé de manière unilatérale d’accréditer l’ambassadeur de l’entité sioniste en qualité de membre observateur de l’UA lors de la réunion du conseil exécutif les 14 et 15 de ce mois à Addis-Abeba. Faki a ainsi entendu des vertes et des pas mûres notamment de par les poids lourds de l’Union Africaine à l’instar des MAE du Nigéria, d’Égypte et d’Afrique du Sud.

    Et comme il fallait s’y attendre, le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra qui a fait un grand lobbying pour faire avorter cette accréditation, a porté l’estocade dans son intervention en soulignant que l’UA qui a quasiment épousé la cause palestinienne, n’a pas vocation à accueillir en son sein une force d’occupation. Le Maroc qui a usé de proxénétisme diplomatique pour introduire son parrain, Israël, au sein de l’Union Africaine, s’est curieusement tu lors de ce débat.

    Une attitude somme toute compréhensible de la part d’un pays pris en flagrant délit de manœuvres malsaines visant à faire voler en éclat l’organisation continentale dont il ne contrôle rien et où siège la République sahraouie en tant que membre fondateur. Signe que le royaume perd sur tous les tableaux, le Congrès américain a bloqué jeudi le budget devant servir à financer la construction du fameux consulat des États Unis à Dakhla occupée offert par Donald Trump à M6 comme cadeau en contrepartie de la reconnaissance par le Maroc de « l’État d’Israël » et l’établissement des relations diplomatiques avec lui.

    Le Makhzen apprend à ses dépens que la promesse de Trump n’engage pas forcément Biden. Le roi et sa cour se sont en quelque sorte « trumpé »! Et c’est tant mieux pour la cause sahraouie qui reprend ses droits et sa légitimité auprès de la première puissance mondiale.

    De fait, le Maroc est désormais dans une très mauvaise posture. Il ressemble à cette femme qui est séduite puis abandonnée sans trop savoir pourquoi, pour reprendre une formule bien inspirée de l’ancien ambassadeur de France aux Nations unis. Et comme pour ne rien arranger, le royaume de l’intrigue risque de ne plus recevoir le gaz algérien si notre pays décidait d’ici à la fin du mois de ne pas reconduire l’accord de dix ans qui permet au pays de M6 de faire fonctionner une bonne partie de son industrie. Ce n’est donc pas uniquement un échec au roi mais un échec intégral aux conséquences imprévisibles pour une monarchie de plus en plus contestée au niveau interne.

    Imane B.

    L’Est Républicain, 23/10/2021

  • Lamamra: Le Maroc utilise Israël pour attaquer l’Algérie

    Lamamra: Le Maroc utilise Israël attaquer l’Algérie. Selon lui, Rabat est allé loin dans ses agressions et ses complots contre l’Algérie

    « Rabat est allé trop loin dans ses agressions et ses complots contre l’Algérie », indique samedi , Ramtane Lamamra, ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger.

    Dans un entretien accordé au média russe Russia Today RT, le chef de la diplomatie algérienne estime, le Maroc a commis un acte inadmissible en sollicitant Israël dans sa conspiration contre notre pays.

    Ramtane Lamamra souligne, également, que « le Maroc a instrumentalisé un certains nombre de personnes et groupes, considérés comme terroristes et a usé des moyens de la guerre de quatrième génération pour déstabiliser l’Algérie».

    L’intervenant explique que Rabat s’est rapproché de l’entité sioniste pour mener à bien sa croisade contre l’Algérie.

  • Lamamra : le Maroc est allé loin dans son hostilité à l’Algérie

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    Dans un entretien accordé au média russe Russia Today RT, le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra a fait savoir que le Maroc est allé plus loin dans son hostilité à l’Algérie, en utilisant des éléments de groupes terroristes, pour porter atteinte à la stabilité de l’Algérie. Pour Ramtane Lamamra, le Maroc a commis un acte inadmissible en sollicitant Israël dans sa conspiration contre notre pays.
    Il soulignera encore que le Makhzen fabriquait des mensonges à propos de la politique étrangère de l’Algérie, la qualifiant de source d’inquiétude pour la région, alors qu’elle demeure un élément de stabilité, faisant savoir que le premier responsable à faire de cette région ouverte à l’inconnu est la colonisation du Sahara Occidental par le Maroc. 
    S’agissant des relations avec la France, Ramtane Lamamra, indique que l’Algérie refuse toute ingérence dans ses affaires, notamment lorsqu’elle vient de l’ancien colon, soulignant au passage que l’ambassadeur d’Algérie en France est encore à Alger pour consultation. 
    A propos de la décision de la fermeture de l’espace aérien algérien aux avions militaires français en activité dans le cadre de l’opération Barkhane, le chef de la diplomatie algérienne estime que c’est une décision souveraine et une réponse à la violence verbale.
    Pour ce qui est des relations algéro-russes, le diplomate algérien estime indispensable la prise de positions communes imposées par les développements géopolitiques que connaît le monde.
    Interrogé sur l’éventuelle participation de la Syrie au prochain sommet arabe prévu à Alger, le ministre algérien des affaires étrangères estime que l’Algérie souhaite le retour de Damas, au sein de la Ligue arabe, mais cela dépendra des concertations. 
    Concernant la Libye, Ramtane Lamamra insiste sur le retrait des milices étrangères, et qu’il ne soit pas au détriment de la sécurité des pays riverains de la Libye. 
    Pour ce qui est du Mali, le chef de la diplomatie algérienne estime que la sécurité et la stabilité de ce pays, sont celles de l’Algérie.

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  • L’Algérie, cible du « big reset »

    L’Algérie, cible du « big reset ». Le rapprochement Maroc-Israël est une des parties visibles du puzzle big reset; beaucoup d’acteurs ont joué à fond le jeu pour qu’il aboutisse

    La reconfiguration du système monétaire international n’est plus qu’une question de temps. La Chine, bientôt, n’acceptera de commercer qu’avec sa propre monnaie, bousculant les Etats Unis et les dollars dans une guerre commerciale qui impactera le système politique planétaire sans aucun doute.

    Les observateurs les plus attentifs à la scène politico-militaire de ces derniers jours semblent perplexes devant l’énormité des événements survenus, condensés dans l’espace et le temps, déroulés à une vitesse qui ne laisse que peu de temps pour l’appréciation et l’analyse froide.

    Le big reset est né lors du Forum économique mondial (WEF), organisé vers avril-mai 2020 pour reconstruire l’économie de manière durable après la pandémie. Le COVID-19 avait fait des ravages dans l’économie des pays puissants, et ces pays voulaient « remettre les compteurs à zéro », tout « réinitialiser » en quelque sorte.

    Les événements ont immédiatement pris un tour rapide et inattendu. Jugez-en : normalisation des Emirats arabes unis avec Israël, remise en liberté curieuse au Mali de 203 terroristes dans un ébouriffant échange initié sur proposition de la France, ambassade émiratie à Dakhla dans les territoires sahraouies occupées, visite du chef de la diplomatie française Yves Le Driant au Maroc à la veille de l’attaque surprise marocaine, événements de Guergarat, déclaration de guerre du Front Polisario contre le Maroc, rencontre mi-secrète entre Natanyahu et BMB en Arabie Saoudite ( du jamais vu dans les annales historiques arabes depuis 14 siècles !), condamnation de l’Algérie par le Parlement européen à Bruxelles, normalisation annoncée du Maroc, reconnaissance de Trump de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidentale, en guise de cadeau d’adieu, contre-ordre à l’Africom pour rester sur place au Sahel, nomination du « faucon va-t’en guerre », Llyod Austin à la tête de la Défense sur proposition de Joe Biden.

    Le rapprochement Maroc-Israël est une des parties visibles du puzzle big reset; beaucoup d’acteurs ont joué à fond le jeu pour qu’il aboutisse : le Mossad, Trump, depuis quatre ans, le B’nai B’rith, et Serge Berdugo, chef de la communauté juive au Maroc et ministre itinérant de Sa Majesté Mohamed VI.

    Les méthodes « soft » n’ayant pas réussi jusque-là, il y a fort à parier que les méthodes plus violentes sont déjà engagées. A l’Algérie, plus grand pays africain, arabe et du pourtour méditerranéen d’être vigilante et de faire pièce à un sournois jeu des stratégies de puissance (et de nuisance) qui se déroule sous nos yeux.

  • La France proteste timidement, discrètement, sans élever la voix, choisit ses mots…

    Algérie, France, Pegasus, Espionnage, Maroc, Israël,

    Israël espionne ses « alliés » en utilisant un de ses plus fidèles larbins maghrébins et ses alliés supplient d’arrêter, sans aucune garantie, sachant que le ver est dans le fruit depuis longtemps.
    Et dire que la victime, c’est quand même la France nom de nom, son président jupitérien compris.
    Hélas! La France est totalement transparente, n’a plus de secrets pour ses amis intimes d’Orient et d’Occident…
    Elle n’a plus aucun contrôle sur son économie, ses finances, son commerce, ses entreprises (enfin, ce qu’il en reste) et bientôt sur ses armées sous commandement américain…
    Et tous les jours ce sont les mêmes qui demandent aux Français plus de souveraineté contre les pauvres bougres qui croupissent dans leurs banlieues… au lieu de regarder dans la bonne direction, là où les ennemis de la France travaillent en toute quiétude à saper ce qui lui reste de souveraineté et d’autonomie de décision.
    Imaginez le tamtam s’il s’agissait de Palestiniens, de Libanais, d’Algériens, de Russes ou de Chinois…
    Djeha
    Algérie54, 22/10/2021