Étiquette : Israël

  • L'Algérie et les trahisons marocaines depuis le XVI siècle

                                           Maroc, Algérie, Israël, Emir Abdelkader, trahisons,

    Il y a un début à tout ( et vous verrez que ce schéma va traverser les âges ) 

    Bocchus de Maurétanie trahit et livre le Roi Numide Jugurtha aux romains, alors que ce dernier les mettait en échec, une trahison qui avait pour but de s’accaparer une partie de la Numidie

    Au 16e siècle les sultans saadiens se liguaient avec l’Espagne contre l’Algérie

    Dans une une lettre envoyée à l’empereur d’Espagne, le sultan saadien lui propose de lui envoyer 10000 combattants pour  » anéantir Alger « ,  » tuer leurs habitants s’ils résistent  » et leur  » voler leurs richesses et leurs biens  » et cela au nom de  » la chrétienté  » ( oui oui c’est ce que le  » commandant des croyants  » a dit à l’empereur d’Espagne )

    Le Maroc qui ne rate pas la moindre occasion pour voler des territoires algériens ( notamment lorsque l’Algérie était occupée à résister face à l’occupation française )

    Le traité de Tanger ( 20 septembre 1844 ) Alors que l’émir Abdelkader avait réussi à récupérer 2/3 des territoires algériens aux français, Le sultan de Maroc Abd el-Rahman s’engage à aider la France dans sa guerre contre l’émir qui avait lutté 17 longues années, épuisé par la coalition franco marocaine, il décide de se rendre afin de mettre un terme aux écoulements de sang le 21 décembre 1847

    Le 22 octobre 1956 : Les chefs politiques historiques du FLN  (Ahmed Benbella ,Mostefa Lacheraf, Mohamed Khider, Houcine Ait Ahmed, Mohamed Boudiaf ) avaient voulu unifier les marocains et tunisiens pour le combat contre l’impérialisme ,c’est pour ça qu’ils sont allés au Maroc pour emmener Mohamed 5 avec eux à Tunis, mais Hassan 2 leur dit : « momo 5 et son épouse iront seuls, dans leur propre avion ».

    Le jour du départ Hassan 2 les emmène vers un autre avion, un DC-3, les chefs du FLN remarquent que l’équipage de l’avion est entièrement composé de français quelques minutes après le décollage

    L’avion sera détourné pour la France afin de les livrer aux autorités françaises, voilà comment les algériens se sont retrouvés coupés de leurs 5 chefs historiques 

    Le 1 Juillet 1962, alors que l’Algérie n’est même pas encore indépendante, le Maroc avec ses idéaux expansionnistes agresse l’Algérie encore meurtrie d’un siècle d’occupation sanglante

    Le maroc, incapable de tenir sur sa chaise récidive à peine une semaine après, soit 2 jours après l’indépendance et agresse l’Algérie de nouveau alors que les cadavres des algériens étaient encore chauds et les larmes sur les joues des mères algériennes pas encore sèches

    La guerre des sables: les visions expansionnistes du roi marocain le pousse à attaquer l’Algérie ( c’est devenu une habitude ), cette fois épaulé financièrement et logistiquement par les services israéliens

    Le comble de l’histoire c’est que le maroc va perdre des territoires

    Le sommet arabe à Casablanca (1965) où les chefs d’états arabes préparaient la guerre contre Israël. Israël a pu le suivre grâce à des micros et des caméras placés dans la salle discrètement par les marocains et a ainsi découvert l’impréparation des armées arabes bien avant la guerre de 1967

    2 mars 1973 : le Maroc dépossède les algériens qui vivent sur son sol de leurs biens (40% du patrimoine foncier agricole public marocain appartenait aux immigrés algériens, il leur fut confisqué )

    Source: Twitter

  • Israël frappe des cibles du Hamas à Gaza

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    Israël frappe des cibles du Hamas à Gaza en réponse à des tirs de roquettes

    JERUSALEM (AP) — L’aviation israélienne a frappé lundi matin une série de cibles dans la bande de Gaza en réponse à des tirs de roquettes depuis le territoire gouverné par le Hamas. C’était la troisième nuit consécutive de combats entre les deux parties, alors même que le ministre israélien des Affaires étrangères cherchait à faire miroiter des incitations au calme.

    Les tensions se sont accrues après l’évasion la semaine dernière d’une prison israélienne par six détenus palestiniens, ainsi que les efforts acharnés de l’Égypte pour négocier un cessez-le-feu à long terme à la suite d’une guerre de 11 jours en mai dernier.

    L’armée israélienne a signalé trois tirs de roquettes distincts dimanche soir et lundi matin, affirmant qu’au moins deux d’entre eux ont été interceptés par ses défenses anti-roquettes. En réponse, il a déclaré avoir attaqué un certain nombre de cibles du Hamas. Il n’y a eu aucun rapport de victimes de part et d’autre.

    Le ministre israélien des Affaires étrangères Yair Lapid a appelé dimanche à une nouvelle approche pour mettre fin au cycle de combats avec le Hamas, décrivant un plan d’investissement international dans les infrastructures de Gaza en échange de pressions sur le Hamas pour qu’il stoppe son renforcement militaire et maintienne le calme.

    « La politique qu’Israël a menée jusqu’à présent n’a pas substantiellement changé la situation », a déclaré Lapid lors d’un discours à l’Université Reichman, au nord de Tel Aviv.

    « Nous devons changer de direction », a-t-il ajouté.

    Une grande partie de sa proposition – qui, selon lui, a été faite en consultation avec les États-Unis et d’autres pays – a été présentée auparavant mais n’a jamais été mise en œuvre en raison des combats, de la profonde méfiance et des divisions internes amères des deux côtés. Le Premier ministre israélien Naftali Bennett, que Lapid doit remplacer en 2023 en vertu d’un accord de rotation, n’a pas immédiatement commenté la proposition.

    Lors des dernières violences, le Hamas a tiré des roquettes sur Israël qui ont été abattues par le système de défense Iron Dome du pays, a indiqué l’armée, ajoutant que des avions de combat ont frappé un poste militaire appartenant au Hamas. En quelques heures, l’armée a signalé une tentative de poignarder un soldat à la jonction de Gush Etzion, au sud de Bethléem. L’armée a déclaré qu’aucun soldat n’avait été blessé et que l’agresseur avait été transporté à l’hôpital.

    Au cours du week-end, Israël a attrapé quatre des six détenus palestiniens, qui ont creusé un tunnel hors d’une prison à sécurité maximale le 6 septembre. Les militants palestiniens ont riposté par des tirs de roquettes. La recherche par Israël des deux derniers prisonniers se poursuit.

    Pendant ce temps, les efforts de la médiation égyptienne pour parvenir à une trêve à long terme se sont heurtés aux parties incapables de s’entendre sur un système pour renouveler les paiements qataris aux familles nécessiteuses de Gaza. Israël a exigé des garanties que le Hamas ne détourne pas l’argent à des fins militaires.

    Gaza est un territoire appauvri dont la population est majoritairement composée de familles qui ont fui ou ont été forcées de quitter leurs propriétés dans ce qui est maintenant Israël pendant la guerre entourant l’établissement d’Israël en 1948.

    Le Hamas fait pression pour qu’Israël mette fin à un blocus paralysant qui a dévasté l’économie de Gaza, tandis qu’Israël exige que le Hamas libère deux civils israéliens captifs et restitue les restes de deux soldats israéliens morts.

    Le Hamas contrôle Gaza depuis l’éviction des forces de l’Autorité palestinienne internationalement reconnue en 2007, un an après que le groupe militant islamique a remporté les élections parlementaires palestiniennes.

    Depuis lors, Israël et le Hamas ont mené quatre guerres et de nombreux combats de moindre envergure.

  • Lamamra: Le Maroc s’allie à Israël pour attaquer l’Algérie

    Lamamra: Le Maroc s’allie à Israël pour attaquer l’Algérie

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    Lamamra accuse le Maroc de s’allier à Israël pour s’attaquer directement à l’Algérie

    Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra a accusé, jeudi au Caire, le Maroc de s’être allié avec l’occupant israélienne dans le but de porter atteinte à son voisin l’Algérie.

    “Une analyse de la situation nous fait comprendre que certains cherchent à s’attribuer des rôles influents dans la structure de l’ordre régional et international en établissant des alliances dangereuses dans l’unique but de réaliser des acquis immédiats au détriment des nobles objectifs du système de l’action arabe commune”, a précisé M. Lamamra dans une allocution prononcée lors des travaux de la session ordinaire du Conseil de la Ligue arabe au niveau ministériel.

    “Des parties recourent à l’aide et la puissance d’un ennemi historique pour attenter aux frères et s’attaquer directement aux voisins”, en allusion aux actes perpétrés par le Maroc qui s’allie avec l’entité sioniste pour entamer les intérêts de l’Algérie.

    “Si ce constat se fait manifestement et à proximité des frontières communes, nous pouvons imaginer ce qui se trame dans les coulisses”, s’est-il exclamé.

    S’agissant des incidences de telles attitudes, le ministre a affirmé que ces comportements “génèrent davantage de tensions et d’instabilité dans la région et contribuent à l’exacerbation des crises actuelles. Ils nous détournent de notre première et principale cause (cause palestinienne) et la placent à un niveau en deçà des sacrifices et des souffrances du peuple palestinien et des autres peuples arabes, voire aussi son combat inlassable pour établir un Etat indépendant avec El-Qods pour capitale”.

    Lors d’une visite au Maroc le 12 août, le ministre israélien des affaires étrangères Yair Lapid avait affirmé qu’il a évoqué “un rapprochement entre l’Algérie et l’Iran dans la région et la campagne qu’elle a menée contre l’admission d’Israël en tant que membre observateur de l’Union africaine ».

    Réagissant aux ces « déclarations fallacieuses et malveillantes, faites à partir du Maroc, concernant l’Algérie et son rôle régional ainsi que ses relations avec un pays-tiers », la diplomatie algérienne précise qu’il s’agit d’une « sortie intempestive, dont le véritable instigateur n’est autre que Nasser Bourita en sa qualité de ministre des Affaires étrangères du Royaume du Maroc ».

    Le Jeune Indépendant, 09/09/2021

  • Algérie: Une relance du MAEP

    Algérie: Une relance du MAEP

    Algérie, Israël, diplomatie, Union Africaine, #Algérie,

    Chaabane BENSACI

    La diplomatie algérienne a retrouvé des ailes et la cadence effrénée des déplacements du ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, en témoigne pleinement. L’ampleur des défis et des menaces est telle qu’il importe de réveiller les consciences, les unes assoupies et les autres anesthésiées, d’une part, et que la mission à laquelle se dévoue le MAE algérien, d’autre part, vise à raviver la mobilisation pour la défense des intérêts et des principes chers à tous les peuples du monde arabe et du continent africain.

    Pour ceux qui s’en souviennent, l’ancien président Barack Obama, à l’occasion d’une de ses rares visites au Ghana, avait déclaré: «l’Afrique a besoin d’institutions fortes et non d’hommes forts». Un constat qui n’a trouvé aucun écho, dans bien des cas, la majorité des pays de l’UA étant toujours en quête de telles institutions. Même l’UA se découvre, soudain, menacée par des appétits sionistes qu’il n’est pas besoin de qualifier tant le moteur expansionniste est déterminant au plus haut point.

    En se dressant face à cette décision par laquelle l’Etat hébreu pourrait devenir membre observateur de l’UA, avec un soutien inconditionnel du royaume marocain, l’Algérie et sa diplomatie ressourcée s’efforcent de remettre les choses à leur juste dimension, à savoir les principes inaliénables qui ont guidé les pères fondateurs de l’organisation panafricaine.

    Une position qui dérange, naturellement, les visées du sionisme, et des puissances occidentales qui le parrainent. Leur soif de mainmise sur les richesses du continent est inaltérable et, pour perpétuer un ordre fondé sur la domination et la division, ils n’hésitent pas à fournir les armes, encourager la sédition et dresser les ethnies les unes contre les autres, comme on l’a vu en maintes circonstances et dans diverses contrées africaines.

    Parfois, cette approche provoque des drames terribles, comme au Soudan, mais, la fin justifiant les moyens, peu importe que les peuples se déchirent et qu’ils s’enfoncent dans un sous-développement et une misère indescriptibles. C’est, dit-on, la fatalité et la malédiction des ressources qui «expliquent» la perpétuelle régression à laquelle semblent condamnées les populations malgré une indépendance chèrement payée et toujours virtuelle.

    A la source, il y a, évidemment, le déficit de bonne gouvernance, malgré le Mécanisme africain d’évaluation par les pairs.

    L’Algérie, avec les pays majeurs de l’UA, travaille à approfondir ce mode grâce auquel les masses accéderont à une éducation politique réelle qui leur permettra de défendre les mécanismes constitutionnels et les intérêts supérieurs de leur nation. D’où l’exigence d’une unité et d’une solidarité sans failles pour protéger le socle de l’Union africaine, envers et contre tout.

    L’Expression, 09/09/2021

  • Ammar Belhimer : «L’Algérie a démasqué traîtres»

    Ammar Belhimer : «L’Algérie a démasqué traîtres»

    Algérie, Maroc, Israël, Sionisme, #Algérie, #Maroc,

    Ammar Belhimer évoque l’alliance maroco-sioniste: «L’Algérie a démasqué traîtres»

    Un grand effort est déployé en Algérie même. Des complots qui se tramaient contre l’Algérie ont été déjoués. La perspicacité de ces experts algériens a permis de «démasquer les parties étrangères qui se cachent derrière, ainsi que leurs agents traîtres».

    La diplomatie algérienne revient en force, ces derniers temps. C’est un fait établi que le ministre de la Communication, Ammar Belhimer, met en évidence dans un entretien accordé au quotidien Aldjazaïr Elyoum. Cette conviction, le ministre l’argumente de fort belle manière en soulignant la force de la politique étrangère du pays est axée sur «l’action proactive». M.Belhimer explique cette posture comme un renforcement du «rôle de l’Algérie aux plans, régional et international, et la vision prospective dans la lecture et la compréhension des différents développements permettant de les traiter avec la méthodologie adéquate, au moment opportun».

    Cette approche qui a largement montré son efficacité repose sur l’expertise de «cadres qui ont engrangé une vaste expérience qui devrait leur permettre d’accompagner utilement et collectivement le ministre des Affaires étrangères». Le ministre révèle qu’un grand travail est mené par des «compétences nationales, toutes spécialités confondues». Un bataillon d’hommes et de femmes qui «sont à pied d’œuvre pour procéder à une analyse objective et sérieuse de la réalité». Il y a, pour ainsi dire, un grand effort qui est déployé en Algérie même et a porté ses fruits puisque, affirme M.Belhimer, des complots qui se tramaient contre l’Algérie ont été déjoués. La perspicacité de ces experts algériens a permis de «démasquer les parties étrangères qui se cachent derrière, ainsi que leurs agents traîtres». La révélation est de taille.

    Dans le même chapitre et abordant le volet espionnage, le ministre a mis en exergue l’existence depuis deux ans environ l’opération d’espionnage maroco-sioniste. Evoquant le programme Pegasus, M.Belhimer affirme que le grand scandale maroco-sioniste «vient confirmer nos affirmations sur cette dangereuse opération d’espionnage, qui n’est pas la première du genre.»

    Sur le cyber-harcèlement dont est victime l’Algérie à travers les faux comptes sur les réseaux sociaux et les fausses informations destiné à provoquer le chaos dans le pays, le ministre a indiqué que l’administration de Facebook avait confié la détection des fake-news relatives à l’Algérie à des médias étrangers, une décision à laquelle «nous nous sommes opposés en prenant des mesures pratiques consistant en la formation d’un groupe de suivi et d’évaluation, sous la supervision du ministère de la Communication avec la participation de représentants de nombre de secteurs, d’organismes et d’institutions concernés».

    Mais il reste que cette campagne anti-Algérie est bel et bien orchestrée à partir de Rabat. Ceci amène M.Belhimer à noter que «l’achat des consciences par le régime marocain n’est pas surprenant, car il a coutume d’user de telles méthodes immorales», faisant savoir que «les médias internationaux dont une partie s’est lancée dans ce sale jeu sont très au fait des méthodes du Maroc, notamment des chantages et pots-de-vin, en vue d’influencer les positions soutenant la légalité internationale et le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination ainsi que son recours à tous les moyens pour ternir la réputation de l’Algérie».

    Le ministre a par ailleurs insisté sur «la faillite des laboratoires de la conspiration maroco-sioniste visant à influencer l’opinion publique et à démoraliser le peuple algérien, car ils se heurtent toujours à un front interne uni et conscient de ce qui se trame contre lui».

    A une question sur le secteur de la communication, M. Belhimer a affirmé que le secteur «s’emploie à contribuer à la consolidation de la prise de conscience des citoyens et à leur immunisation contre les contre-vérités et les mensonges des mouches électroniques dissimulées sur les réseaux sociaux derrière des masques, de faux slogans et des identités numériques qui s’acharnent à cibler la légitimité de l’Etat». Il relèvera à ce propos que «la cyberguerre visant la légitimité de l’Etat et ses institutions s’intensifie à l’approche de certaines dates à l’instar de l’anniversaire des évènements du 5 octobre».

    Enfin, il a estimé que «la fermeture temporaire ou définitive de certaines chaînes de télévision privées entre dans le cadre des missions et prérogatives de l’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV), prévues dans la loi sur l’audiovisuel». Il signalera que «les raisons de leur fermeture étaient strictement professionnelles et objectives».

    Anissa Mesdouf

    Ouest Tribune,08/09/2021

  • Israël : l’Algérie contre-attaque!

    Israël : l’Algérie contre-attaque!

    Algérie, Maghreb, Israël, Maroc, #Algérie, #Maroc,

    Il y a coup et coup: il y a la normalisation Rabat-Israël qui a mené il y a quelques jours le gourou Lapid au Maroc où il a cru bon de menacer l’Algérie de la qualifier d’allié de l’Iran soit un ensemble d’actes et de paroles plus ou moins connues de tout le monde puis il y a ces mesures-chocs qui tombent les unes après les autres depuis Alger et son axe maghrébin et qui font froid dans le dos du camp d’en face :

    à l’impulsion algérienne, l’UA rechigne désormais à accepter l’entité en son sein; le flux du gaz algérien risque de ne plus transiter par un territoire marocain que foulent aux pieds les sionistes; et the last but not the least, il y a ce sommet de la Palestine qu’organise Alger et que plus d’un analyste estime être à même d’aplanir le terrain à l’émergence du facteur « Résistance » au Maghreb. Déjà, la Tunisie se fait parler d’elle à travers des mesures anti US et anti OTAN qu’elle adopte coup sur coup comme ce non-recevoir catégorique lancé à la délégation US et à ses ingérences. Alger n’est pas non plus à la traîne.

    Selon Al-Mayadeen, samedi 4 septembre, le nouveau gouvernement algérien a l’intention d’organiser un sommet pour la Palestine.

    Il est vrai que l’Algérie s’est toujours tenu, peuple et gouvernement, du côté du peuple palestinien, et a participé à la guerre d’Octobre en soutenant financièrement la cause palestinienne.

    Évoquant le plan d’action du gouvernement algérien où l’Algérie a affirmé qu’elle « œuvrera, au cours des prochains mois, à la refondation de l’action arabe commune et à la consécration du caractère central de la cause palestinienne au prochain sommet arabe », Alger fait exactement ce qu’il est entrain de faire au sein de l’UA à savoir la de-sionisation et partant une re-inclusion de la Résistance dans l’équation maghrébine.

    L’État algérien a commencé donc à agir avec force pour rétablir sa place et le rôle qui lui sied au regard de ses capacités et de son histoire en tant qu’acteur dans la région, que ce soit dans le dossier du barrage de la Renaissance ou dans celui de l’infiltration israélienne dans le continent africain.

    Et ce faisant il agit, n’en déplaise à Lapid, en totale synchronie avec la Résistance qui elle a totalement miné la normalisation Israël- Golfiens à rythme accéléré qui depuis la grande défaite qui a frappé le régime sioniste lors de la dernière guerre de Gaza.

    Il est permis ainsi de souhaiter de voir l’Algérie aller de l’avant en convoquant le sommet sur la Palestine dans les plus brefs délais : « Tout sommet arabe n’a aucune valeur sans la question palestinienne, ni de légitimité sans la présence de la Syrie et si l’Algérie a décidé de hisser l’étendard de la cause palestinienne unificatrice, et d’en faire le point focal du rapprochement arabe et des réconciliations face à l’occupation israélienne et à son extension dans la région et dans le continent africain, c’est qu’elle est dans son rôle historique. Et voilà ce qui fait peur au régime sioniste et à ses alliés arabes, anciens et nouveaux.

    Ainsi s’explique, d’ailleurs, les déclarations de Yair Lapid, le ministre israélien des Affaires étrangères, exprimant cette préoccupation il y a deux semaines, en accusant l’Algérie de se rapprocher des mouvements de Résistance en Palestine, au Liban, en Irak et au Yémen, comme si le rapprochement avec un État islamique frère qui soutenait la Résistance palestinienne et exigeait la libération de la Palestine de la mer à la rivière, était un péché ».

    Espérons que l’Algérie ira de l’avant en appelant à la convocation du Sommet sur la Palestine dès que possible, car il y aura là les prémisses d’un changement de la donne géopolitique aux dimensions qui dépasseraient largement les frontières algériennes. Et comment? La Résistance sortirait du Moyen-Orient pour aller toucher le Maghreb voire au-delà au Sahel où l’axe US/OTAN/Israël allant de coup d’Etat au terrorisme, provoque l’un après l’autre l’effondrement des gouvernements jugés parias à l’Empire.

    Pars Today, 26 sept 2021

  • Commentaires sur la loi juive: Le pape répond aux critiques israéliennes

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    Des rabbins israéliens ont exprimé leur « détresse » face aux commentaires du pape – Le cardinal clarifie le commentaire dans une lettre envoyée à la demande du pape François a cultivé de bonnes relations avec les dirigeants juifs

    CITÉ DU VATICAN, 6 septembre (Reuters) – Le pape François a décidé d’apaiser les inquiétudes des Juifs concernant les commentaires qu’il a faits au sujet de leurs livres de loi sacrée, à la suite d’une demande de clarification des principaux rabbins d’Israël, ont déclaré lundi des sources du Vatican et de la communauté juive.

    Le mois dernier, Reuters a rapporté exclusivement que le rabbin Rasson Arousi, président de la Commission du grand rabbinat d’Israël pour le dialogue avec le Saint-Siège, avait écrit une lettre sévère au Vatican, disant que les commentaires de François semblaient suggérer que la Torah, ou loi juive , était obsolète. Lire la suite

    Lors d’une audience générale le 11 août, le pape a déclaré : « La loi (la Torah) ne donne cependant pas la vie.

    « Il n’offre pas l’accomplissement de la promesse parce qu’il n’est pas capable de l’accomplir… Ceux qui cherchent la vie doivent se tourner vers la promesse et son accomplissement en Christ. »

    La Torah, les cinq premiers livres de la Bible hébraïque, contient des centaines de commandements que les Juifs doivent suivre dans leur vie quotidienne. La mesure de l’adhésion au large éventail de directives diffère entre les Juifs orthodoxes et les Juifs réformés.

    Arousi a envoyé sa lettre au nom du Grand Rabbinat – l’autorité rabbinique suprême pour le judaïsme en Israël – au cardinal Kurt Koch, dont le département du Vatican comprend une commission pour les relations religieuses avec les Juifs.

    Dans la lettre, Arousi a demandé à Koch de « transmettre notre détresse au pape François » et a demandé des éclaircissements au pape pour « s’assurer que toutes les conclusions désobligeantes tirées de cette homélie soient clairement répudiées ».

    RÉCONCILIATION

    François a ensuite demandé à Koch d’expliquer que ses paroles sur la Torah reflétant les écrits de saint Paul dans le Nouveau Testament ne devraient pas être considérées comme un jugement sur la loi juive, ont indiqué les sources.

    La semaine dernière, Koch a envoyé une lettre à Arousi contenant une citation faite par le pape François en 2015 : « Les confessions chrétiennes trouvent leur unité dans le Christ ; le judaïsme trouve son unité dans la Torah. »

    Des sources juives ont déclaré qu’elles considéraient la lettre du Vatican comme un signe de réconciliation.

    De son côté, le pape a semblé faire tout son possible lors de ses deux dernières apparitions publiques pour tenter de dissiper ce que le Vatican considère comme un malentendu.

    Lors d’une audience générale le 1er septembre, François a déclaré que ses paroles sur les écrits de saint Paul étaient « simplement une catéchèse (homélie d’enseignement) … et rien d’autre ».

    Lors de sa bénédiction hebdomadaire le dimanche, il a offert ses meilleurs vœux aux Juifs pour le prochain Nouvel An juif, Roch Hachana, et pour les fêtes ultérieures de Yom Kippour et de Souccot.

    « Que la nouvelle année soit riche de fruits de paix et bonne pour ceux qui marchent fidèlement dans la loi du Seigneur », a-t-il dit.

    Des sources juives et vaticanes ont déclaré que l’inclusion du mot « loi » dans ce qui est normalement des salutations de routine était significative et intentionnelle.

    Les relations entre catholiques et juifs ont été révolutionnées en 1965, lorsque le Concile Vatican II a répudié le concept de culpabilité juive collective pour la mort de Jésus et a entamé des décennies de dialogue interreligieux. François et ses deux prédécesseurs ont visité des synagogues.

    François a eu de très bonnes relations avec les Juifs. Alors qu’il était encore archevêque dans la ville natale de Buenos Aires, il a co-écrit un livre avec l’un des rabbins de la ville, Abraham Skorka, et a maintenu une amitié durable avec lui.

  • Union Africaine: Comment Alger compte bloquer Tel-Aviv

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    La présence d’Israël au sein de l’UA a plongé l’organisation africaine dans une situation très sensible qui offre, à ce stade, très peu de visibilité quant aux répercussions futures que peut engendrer cette affaire.

    Abla Chérif – Alger (Le Soir) – L’entrée de Tel-Aviv en qualité de membre observateur au sein de l’Union africaine n’a pas surpris outre mesure les spécialistes en géostratégie qui s’étaient basés sur deux éléments principaux pouvant précipiter l’officialisation de l’ancrage israélien en Afrique.

    D’abord la cadence avec laquelle Israël entreprend depuis de longs mois sa percée dans un continent où il entretient désormais des relations avec quarante-six pays, ce qui tranche grandement avec le passé tumultueux qui ne lui permettait nullement d’accéder à de tels résultats, puis en dernière instance, la normalisation des relations avec Rabat.

    Tournant le dos à la rue marocaine hostile à ce rapprochement contre nature, Mohamed VI offre aussi à ses amis la clé de la porte de l’UA. Même si le statut qui lui est concédé se limite au poste d’observateur, il revêt une importance capitale aux yeux des concernés.

    Rabat ne dissimule ni sa joie ni ses intentions. Dans une de ces dépêches datée du mois de juillet dernier, la MAP (agence officielle de presse marocaine) qualifie cet «événement» de «défaite pour la diplomatie algérienne».

    Ces propos émanent directement du palais royal, ils cachent difficilement la satisfaction de pouvoir s’appuyer sur un allié de taille au sein d’une organisation qui a déjoué tous les plans du défunt Hassan II et de son fils.

    Le porte-parole de la diplomatie israélienne annonce (le 22 Juillet dernier) que «l’ambassadeur d’Israël en Éthiopie a présenté ses lettres de créances en tant que membre observateur auprès de l’Union africaine». Il ne fournit pas plus de détails, mais ne cache pas sa satisfaction. Des réactions suivent. L’Égypte, l’Algérie, les Comores, la Tunisie, Djibouti, la Mauritanie et la Libye soumettent sans tarder une note d’objection à l’Union africaine.

    Il s’agit d’une «note verbale remise au président de la commission de l’Union africaine, Moussa Faki» par les ambassades des pays concernés basés à Addis-Abeba (siège de l’UA). Elle exprime leur objection à la décision d’accorder à Israël le statut d’observateur à l’UA et rappelle le soutien de l’Organisation africaine à la cause palestinienne.

    Les pays concernés s’élèvent aussi contre le fait que la demande israélienne n’ait pas été examinée conformément au règlement constitutif de l’UA «ce qui représente un vice de procédure et un dépassement inacceptable de la part du président de la commission, de son pouvoir discrétionnaire», rapportent des médias arabes. Ils demandent un débat interne sur la question.

    L’Algérie a, elle, réagi deux fois à cette situation. Dans un communiqué publié le 25 juillet dernier, le MAE exprimait le refus d’accepter Israël comme nouvel observateur à l’UA. Il indiquait aussi et surtout que cette décision avait été «prise sans le bénéfice de larges consultations préalables avec tous les États membres», et qu’elle n’avait «ni la vocation ni la capacité de légitimer les pratiques et les comportements dudit nouvel observateur dont les positions sont totalement incompatibles avec les valeurs, les principes et les objectifs consacrés dans l’acte constitutif de l’Union africaine».

    Mardi, le MAE algérien est une nouvelle fois intervenu sur la question lors d’une conférence de presse animée à l’issue d’une réunion des pays voisins de la Libye.

    Sans le citer, il s’est adressé à Moussa Faki (président de la commission de l’UA) pour lui rappeler que l’entrée d’Israël en qualité de membre observateur au sein de l’UA est «une décision administrative qui porte préjudice à l’unité de l’organisation panafricaine et à l’action commune».

    «La crédibilité de l’UA, ajoute-t-il, ne peut être construite dans les forums internationaux en déclarant un principe et en faisant le contraire (…) l’Algérie est l’un des grands soutiens de l’UA, elle est soucieuse de son unité et de l’unité de l’Afrique».

    Lamamra annonce pour la première fois l’existence de concertations entre pays africains autour de ce dossier qui permettront à l’UA de prendre un nouveau départ concernant cette question.

    «Nous souhaitons vivement que les esprits et les consciences s’éveillent et que des décisions soient prises afin de préserver la crédibilité de l’Afrique et l’unité de l’UA, d’autant que des pays amis qui ont un poids politique considérable soutiennent entièrement la position algérienne», poursuit le MAE avant de faire savoir que «la situation est plus claire qu’auparavant», rappelant que des pays de la Communauté de développement de l’Afrique australe se sont opposés à cette décision.

    Plusieurs médias arabes ont récemment annoncé la programmation d’une réunion du Conseil exécutif des ministres des Affaires étrangères des pays de l’Union africaine, prévue en octobre prochain. La position de l’Algérie et des autres pays africains à l’égard de l’entrée d’Israël à l’UA serait inscrite à l’ordre du jour.
    A. C.

    https://lesoirdalgerie.com/actualites/comment-alger-compte-bloquer-tel-aviv-66916

    Le Soir d’Algérie, 02/09/2021

  • Le Makhzen déshonore les Marocains

    Maroc, Algérie, Mohammed VI, Israël,

    Peu et bien. Contrairement au Makhzen qui vit et développe sa politique dans la logique de la stratégie de l’autruche, « une idée tirée d’un livre de l’expert algérien établit au Canada, Omar Aktouf », pour être honnête avec soi-même, l’Algérie rompt sa relation diplomatique avec le Maroc. Pourquoi ?
    Justement pour leurs dire et rappeler encore une fois que le sang des martyrs algérien est tombé pour l’indépendance, la liberté et de la dignité humaines. 
    La politique de sa majesté le roi et Baisemain du roi Mohammed VI, n’est pas celle des pays et peuples libres dans le monde. Dieu a crée l’homme libre dès sa naissance.
    Contrairement au makhzen, en plus colonisateur de peuple Sahraoui depuis 1975, le makhzen obeit aux ordre des étrangers et continue de se plier à la France coloniale et le sioniste Israël occupant illégale de la palestine depuis 1948.
    L’Algérie est un pays libre, unit et solidaire avec toutes les causes justes et nobles dans le monde. Pas seulement la palestine et la Sahara Occidental pour leurs orgines. C’est une question de principes et de valeurs humaines. L’algérie aussi a été soutenue pour sa cause par des pays non musulmans et pas forcéments arabes.
    Le reste, c’est entre nous. Entre algériens. On saura trouver les solutions idoines, quelques soit les crises et difficultés. 
    La stratégie algérienne, s’inscrit dans le long terme et l’universalité et non pas, comme celle du makhzen qui s’appuie sur des intérêts mesquins, étroits et éphémeres au dépend du peuple Marocain. 
    La République Algérienne Populaire et démocratique RADP, est fondé et construite par le sacrifice des martyrs depuis l’avènement de l’Emir Abdelkader jusqu’au lâche assassinat de Djamel Bensmail à Larbaa nath Irathen, village natal de Abane ramadhan qui a uni et rassemblé les algériens, tous les algériens pour l’indépendance du pays. 
    Le maroc qui soutient le terrorisme en Algérie, on en veux pas. On a encore pris beaucoups de retard avant de rompre la relation avec le makhzen et non pas avec le peuple frère et ami du Maroc.
    Amar CHEKAR
    Algérie62, 26/08/2021
  • L’alliance maroco-sioniste contre l’Algérie a échoué (Belhimer)

    Maroc, Algérie, Israël, #Maroc, #Algérie, #Israël

    Le ministre de la Communication, Amar Belhimer a affirmé, hier, que l’alliance maroco-sioniste contre l’Algérie s’était heurtée à un «rempart invincible édifié par une coalition infuse et solide du peuple et de ses institutions».

    «Forte des constantes de son peuple et de ses institutions constitutionnelles, l’Algérie fait l’objet d’une véritable guerre systématique qui n’est pas seulement une campagne hostile de la part de plusieurs parties, en tête desquelles l’alliance maroco-sioniste», a déclaré Belhimer dans un entretien accordé au journal «Djalia.dz».

    «Ces derniers se sont, malheureusement, heurtés à un rempart invincible de résistance par une coalition infuse et solide du peuple et de ses institutions, en témoignent les positions des Algériens à travers les plateformes des réseaux sociaux», a-t-il soutenu.

    «Il est normal que le secteur de l’information soit au cœur de l’opération de résistance à la sale guerre cybernétique ciblant notre pays, grâce aux médias public et privé qui ont consacré un champ approprié pour mettre à nu les mensonges des ennemis et déjouer leurs manœuvres par tous les moyens objectifs, en se basant sur les vérités historiques, les documents et informations exactes qui dévoilent la perfidie et la désinformation de tous ceux qui attentent à l’Algérie, à ses symboles historiques et révolutionnaire et à la solidité, la cohésion et la synergie entre son peuple et ses institutions, au premier rang desquelles figure l’institution de l’Armée nationale populaire».

    Cette opération, poursuit le ministre, menée par les médias nationaux des deux secteurs est confortée par «la contribution des ulémas et des spécialistes algériens et internationaux connus par leur intégrité intellectuelle et leur compétence scientifique dans divers domaines».

    Quant à la consolidation des médias institutionnels et électroniques, Belhimer a rappelé que cette question figurait au titre des priorités dans le programme du président de la République, citant la réalisation jusqu’à présent de plusieurs chaînes télévisées thématiques et institutionnelles, à l’instar de «El Maarifa», «Edhakira», «Echababiya» et prochainement «El Barlamania», en attendant de créer une chaîne internationale.

    La mise en place d’une chaîne internationale répond à plusieurs objectifs, dont «le raffermissement des liens d’appartenance à la patrie, à travers une presse nationale professionnelle et intègre qui diffuserait des programmes et des informations, dans divers domaines, liées essentiellement à l’Algérie, une riposte à la matière médiatique exposée actuellement à la diffamation et à la propagande médiatique par des chaînes haineuses et des plumitifs stipendiés».

    Il s’agit également de «veiller à remplir le vide et la pénurie d’information que résumerait l’ignorance de certaines parties au sujet de l’Algérie et contribuer à la promotion de la destination Algérie et de ses atouts d’investissement».