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  • Maroc: Casa contre la hausse des prix et la normalisation

    Maroc: Casa contre la hausse des prix et la normalisation

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    Des milliers de Marocains sont sortis dimanche manifester à Casablanca contre la cherté de la vie, l’oppression et la normalisation des relations avec l’entité sioniste malgré l’interdiction et un lourd dispositif sécuritaire.

    Alors que les autorités locales ont notifié l’interdiction de la manifestation nationale en invoquant le «maintien de l’ordre public», des milliers de personnes ont bravé l’interdit et maintenu un sit-in dans le centre-ville de Casablanca, répondant à l’appel de la Coordination du Front social, composée de partis de gauche et de syndicats. Le Front social a dénoncé cette interdiction qui «montre que la réponse systématique (des autorités) est la répression et les restrictions aux droits et libertés».

    «Nous sommes attachés au droit de manifestation, c’est pourquoi malgré l’interdiction, nous avons organisé un sit-in au lieu d’une marche nationale», a déclaré le coordinateur national du Front social marocain, Younes Farachen, déplorant le siège sécuritaire imposé autour des participants.

    «Nous ne pouvons pas nous taire, nous allons poursuivre notre lutte et organiser d’autres formes de protestation pour exprimer les revendications du peuple marocain opprimé, étouffé par l’inflation et les prix élevés», a-t-il promis. Les manifestants ont scandé des slogans contre la vie chère et appelé à la réduction des prix du carburant et à une vie décente. «Tahya El watan, Tahya Chaâb» (vive le pays, vive le peuple), «Non à la cherté de la vie, oui à la vie décente », «Criminels terroristes, les normalisateurs », pouvait-on lire sur les pancartes brandies.

    Dans un discours lors du sit-in, le coordinateur national du Front social a indiqué que l’interdiction de la marche n’empêcherait pas l’opposition de manifester contre la normalisation et la hausse des prix. Les participants ont hissé des drapeaux de la Palestine ainsi que des photos de la journaliste palestinienne d’al Jazeera, Shireen Abou Aqlah, assassinée par les forces sionistes.

    #Maroc #Prix #Normalisation #Casablanca

  • Maroc : Un régime aux abois

    Maroc : Un régime aux abois

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    La sortie médiatique de l’ambassadeur palestinien à Dakar, de part sa pertinence, sa franchise et sa sincérité, a fait très mal au Makhzen, qui piqué au vif et mis devant ses lâchetés et des trahisons, a intimé ordre à son ambassadeur à Dakar de réagir. Une réaction pleine d’approximation, de contre vérités, et à la limite de l’injure et de l’insulte à l’égard du diplomate palestinien, qui n’a fait que défendre son pays, mettant en lumière l’hypocrisie d’un régime qui a vendu la première cause des Arabes pour de basses visées de marchandage.

    Des points clairement martelés par l’ambassadeur de Palestine, Safwat Ibraghith, qui a assuré que l’alliance tripartite entité sioniste/Etats-Unis/Maroc «a été l’objet d’un marchandage orchestré par l’Administration Trump», un lâche deal qui a conduit à normaliser les relations entre le Maroc et l’entité sioniste en contrepartie de la prétendue «reconnaissance» de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. « Ils ne peuvent pas le nier. Cela a été un marchandage», a fermement dénoncé le diplomate palestinien.

    Dans sa réponse, frisant le ridicule, l’ambassadeur marocain à Dakar, se mêle les pinceaux, se contredit, ment (le mensonge, une marque de fabrique de la diplomatie du Makhzen), manque d’élégance et tombe même dans la limite de l’insulte envers un officiel palestinien qui n’a fait que défendre son peuple et son pays.

    Les justificatifs sont brouillons et ne tiennent pas la route. Le ridicule n’a pas son pareil en mettant sur le même pied d’égalité la noble cause palestinienne et la barbare colonisation du Sahara occidental par son pays. «En effet, la question du Sahara marocain, n’en déplaise à ce polémiste en herbe, constitue de tout temps la priorité nationale absolue pour l’ensemble du peuple marocain. Cette question dont la sacralité est aussi incontestable que celle de la question palestinienne dans la conscience collective du peuple marocain’. Autrement dit, le Maroc soutient Israël contre les Palestiniens, et les Israéliens soutiennent le Maroc contre les Sahraouis. Un ridicule affligeant pour cet ambassadeur qui au fond ne défend que la légitimité supposée de deux entités colonisatrices contre les peuples sahraoui et palestinien. Jouant avec les mots, il prétend aussi qu’il s’agit d’une «reprise des relations diplomatiques entre le Royaume du Maroc et Israël, et non d’une normalisation des relations». Continuant dans son délire, il explique cette trahison par le fait de défendre les «plus d’un million d’Israéliens qui revendiquent leur origine marocaine et le Maroc ne les a jamais reniés.»

    Enfin ce fut là un chapelet d’insanités, de justifications fallacieuses, d’insultes gratuites envers le diplomate palestinien, d’errements et de mensonges éhontées d’une diplomatie de canniveaux, bien représentée par un Nacer Bourita maître-chanteur qui a osé qualifié la résistance palestinienne de terrorisme, un Omar Hilale roublard et limité, et enfin cet ambassadeur marocain à Dakar amateur qui aurait bien fait de se taire au lieu de se couvrir de ridicule.

    Mais le Maroc aujourd’hui, n’est rien d’autre que cela, la médiocrité, la traîtrise et l’impuissance d’un régime aux abois.

    Par Abdelmadjid Blidi

    Ouest Tribune, 25 mai 2022

    #Maroc #Palestine #Israël #Normalisation #SaharaOccidental

  • Maroc: appel à une participation massive à la marche du 29/5

    Maroc: appel à une participation massive à la marche du 29/5

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    Le Front social marocain a appelé à une participation massive à la marche populaire, prévue le 29 mai à Casablanca, contre la flambée des prix, les atteintes aux libertés individuelles et les accords de normalisation avec l’entité sioniste.

    Cet appel a été publié dans un communiqué, à l’issue d’une réunion du Front marocain, visant à discuter des moyens à adopter pour la réussite de la marche à laquelle il a appelé sous le slogan « Contre la flambée des prix, la répression et la normalisation ».

    Le Front social marocain a indiqué que la marche devant réunir toutes les franges de la société marocaine est une réponse visant à « faire la lumière sur les causes profondes de l’envolée des prix du carburant et des produits alimentaires qui relève de la responsabilité du gouvernement, au moment où les riches continuent à amasser des fortunes grâce, entre autres, à la surexploitation de la classe ouvrière, le pillage et la rente ».

    La marche populaire vise, en outre, à « exiger la baisse des prix du carburant et la nationalisation de la raffinerie La S.A.M.I.R pour contribuer à la sécurité énergétique du Royaume, ainsi que la restitution des fonds pillés, dont les 17 milliards de dirhams (1,6 milliard d’euros) qui ont été engloutis par le lobby du carburant ».

    Les organisateurs visent également, à travers cette manifestation, à « dénoncer la répression par laquelle le régime marocain entend freiner le mouvement de lutte » et répandre la peur parmi toutes les voix discordantes.

    Ils estiment que ce mouvement de contestation serait aussi une occasion pour « dénoncer la normalisation avec l’entité sioniste, avec laquelle le régime du Makhzen cherche à conclure une alliance militaire, sécuritaire et de renseignement », ainsi qu’une occasion de renouveler la solidarité avec le peuple palestinien et « adopter une loi criminalisant la normalisation ».

    Pour ces raisons, les membres du Front social marocain ont appelé à redoubler d’efforts pour relever le défi de la réussite de cette marche, « afin d’arracher des acquis au profit du peuple marocain ».

    #Maroc #Inflation #Prix #Normalisation #Répression

  • Les algériens veulent criminaliser la normalisation avec Israël

    Les algériens veulent criminaliser la normalisation avec Israël

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    Les législateurs algériens ont soumis un projet de loi à l’Assemblée populaire nationale, qui criminaliserait l’établissement de relations avec le régime de Tel-Aviv et interdirait tout voyage dans les territoires occupés ou tout contact direct ou indirect avec des responsables israéliens.

    Youssef Ajesa, un député du Mouvement de la société pour la paix, a déclaré mardi qu’il avait « déposé le projet de loi au nom du groupe de députés de son parti (65 sur 462) au corps législatif ».

    Ajesa a déclaré que « son bloc parlementaire a essayé d’inclure d’autres groupes pour contribuer au projet de loi, mais il n’a pas reçu de réponse, alors j’ai pris l’initiative de le présenter en son nom ».

    Le projet de loi comprend sept articles, qui visent à «criminaliser la normalisation avec l’entité sioniste (Israël)» ainsi qu’à interdire tout contact avec les autorités israéliennes ou tout voyage vers et depuis les terres occupées par Israël.

    Une majorité simple (50+1) de l’Assemblée populaire nationale (Chambre basse) est requise pour approuver le projet de loi, et le renvoyer ensuite au Conseil de la Nation (Chambre haute).

    L’Algérie a été l’un des rares États arabes à maintenir une position pro-palestinienne et antisioniste. Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a déclaré à plusieurs reprises que les pays arabes devraient soutenir le peuple palestinien au lieu de soutenir l’expansion d’Israël dans la région.

    En décembre dernier, Lamamra avait mis en garde contre la détérioration des relations entre Alger et Rabat dans un contexte de coopération militaire croissante entre le Maroc et Israël.

    « L’alliance militaire maroco-israélienne affectera l’ensemble de la région nord-africaine », a déclaré Lamamra le 3 décembre dernier dans un communiqué de presse en marge du 8e symposium de haut niveau sur la paix et la sécurité organisé par l’Union africaine dans le nord-ouest de l’Algérie. ville côtière d’Oran.

    Le haut diplomate algérien a déclaré que la normalisation des relations avec Israël est une décision « irresponsable » qui sacrifie les peuples de la région nord-africaine et les prive de leurs droits inaliénables.
    « Les autorités marocaines, dans leur alliance avec l’entité sioniste, contribuent à une escalade sans précédent de l’hégémonie israélienne sur la région. Chaque mesure prise par les autorités marocaines dans cette alliance militaire malveillante les éloigne de l’Algérie et de son peuple », a-t-il ajouté.

    Dans le cadre des soi-disant accords d’Abraham, le Maroc est devenu en 2020 le quatrième pays arabe à conclure un accord de normalisation avec le régime israélien après les Émirats arabes unis, Bahreïn et le Soudan, dans ce qui a été vivement dénoncé par les Palestiniens comme une « trahison » de leur cause.

    La décision du Maroc de normaliser les relations avec Israël est intervenue après que l’ancien président américain Donald Trump a reconnu la « souveraineté » du pays nord-africain sur le Sahara occidental, qui est au centre d’un différend territorial vieux de plusieurs décennies entre le Maroc et le Front Polisario.

    Le ministère algérien des Affaires étrangères a ensuite rejeté la position de Trump, affirmant que la décision américaine « n’a aucun effet juridique car elle contredit les résolutions de l’ONU, en particulier les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU sur le Sahara occidental ».

    Press TV, 18 mai 2022

    #Algérie #Israël #Normalisation #Palestine #Maroc


  • Maroc: L’ambassadeur d’Israël et les récits anti-israéliens

    Maroc: L’ambassadeur d’Israël et les récits anti-israéliens

    Maroc: L’ambassadeur d’Israël et les récits anti-israéliens – normalisation, Palestine, Jérusalem, Al Qods, Al Aqsa, David Govrin, médias,

    Les relations entre Rabat et Jérusalem sont « très vite revenues à la normale » après l’opération Gardien des murs l’an dernier.

    RABAT – L’un des défis d’être ambassadeur d’Israël à peu près n’importe où est de lutter contre les récits anti-israéliens dans les médias. Le défi est encore plus grand dans le monde arabe.

    L’ambassadeur d’Israël au Maroc, David Govrin, a travaillé dur sur ce front ces dernières semaines.

    Les relations entre Rabat et Jérusalem sont « très vite revenues à la normale » après l’opération Gardien des murs l’an dernier. Govrin s’attend à la même chose après les récentes émeutes de Palestiniens à la mosquée al-Aqsa sur le mont du Temple et l’assassinat de la journaliste palestinienne Shireen Abu Akleh la veille de son interview avec le Jerusalem Post jeudi, cependant, ils « rendent encore plus le développement des liens ». difficile. »

    « Le public au Maroc obtient la plupart de ses informations en français et en arabe, et beaucoup de rapports, en particulier en arabe, sont des mensonges qui incitent et provoquent », a déploré Govrin. « Une grande partie des reportages des médias étaient de fausses nouvelles, ce qui rend difficile d’expliquer la situation. »

    L’ambassadeur a pointé du doigt les « théories du complot », comme celle selon laquelle Israël prévoit de changer le statu quo sur le mont du Temple.

    « Nous avons totalement nié cela et souligné que le Premier ministre et le ministre des Affaires étrangères n’avaient aucune intention de changer cela, car nous sommes très sensibles aux circonstances et ne voulons pas d’escalade », a-t-il déclaré. « Nous avons souligné qu’un groupe d’extrémistes terroristes s’est fait justice en profanant [al-Aqsa] par des actes de violence et a tenté d’empêcher la plupart des musulmans arrivant d’exercer leur droit de prier sur le mont du Temple. En fin de compte, ils devraient se rappeler qu’environ 100 000 fidèles musulmans sont montés sur le mont et ont prié.

    Govrin est en contact permanent avec les autorités marocaines et les journalistes, en plus des membres du public via les réseaux sociaux. Il a dit que la chose la plus importante à faire est de relayer des informations fiables et d’instaurer la confiance. Pour ce faire, il utilise notamment son compte Twitter actif. En outre, la mission israélienne au Maroc travaille à la construction d’un nouveau site Web, qui sera lancé dans les semaines à venir.

    « Le public marocain s’identifie profondément aux Palestiniens. C’est une question sensible, et le roi Mohammed VI est à la tête du Comité de Jérusalem de l’Organisation de la coopération islamique. Cela s’exprime dans la position officielle du Maroc qui veut un État palestinien indépendant aux frontières de 1967, y compris Jérusalem-Est, aux côtés de l’État d’Israël », a expliqué Govrin.

    Dans le même temps, les Palestiniens n’éclipsent pas les relations israélo-marocaines, mais plutôt le sujet « revient occasionnellement, surtout en temps de crise ».

    « La question palestinienne n’est pas au centre de l’agenda public au Maroc », a déclaré Govrin. « En politique intérieure, les questions centrales sont la santé, l’éducation et le développement économique, et en politique étrangère, la question la plus importante est le Sahara. »

    Un militant politique marocain et défenseur des droits de l’homme, qui s’est exprimé sous couvert d’anonymat en raison des tensions qui ont suivi le meurtre d’Abou Akleh, a déclaré que les récents affrontements entre Israël et les Palestiniens « ont plus d’influence au niveau des médias, car beaucoup de médias au Maroc est pro-palestinien et les Marocains ont beaucoup de sympathie pour la cause palestinienne ».

    « Le niveau officiel du gouvernement est séparé », a-t-elle déclaré. « Les accords d’Abraham sont là, ils sont une réalité, la collaboration gouvernementale se poursuit et les relations diplomatiques officielles sont toujours en cours. »

    Les liens renouvelés entre son pays et Israël « se sont améliorés très rapidement, en mettant de côté les différences géopolitiques et les conflits passés et en se concentrant sur ce qu’Israël et le Maroc peuvent faire », a-t-elle déclaré.

    Israël et le Maroc ont rétabli des relations diplomatiques en décembre 2020. Les pays ont entretenu des relations diplomatiques secrètes pendant des décennies et avaient précédemment échangé des bureaux de liaison en 1995, à la suite des accords d’Oslo. Rabat a rompu ses liens avec Jérusalem en 2000, au milieu de la deuxième Intifada.

    Les liens culturels et familiaux profonds entre le Maroc et les quelque millions d’Israéliens ayant des racines dans l’État nord-africain se sont poursuivis tout au long, et même avant la normalisation renouvelée, des dizaines de milliers d’Israéliens ont visité le Maroc au cours des dernières décennies.

    Govrin est un diplomate expérimenté avec des décennies d’expérience dans les relations d’Israël avec l’Égypte et la Jordanie, entre autres pays, mais être en poste au Maroc est une expérience unique, a-t-il déclaré jeudi.

    « C’est très spécial d’être au Maroc, et je ne suis pas biaisé. Je n’ai pas de racines marocaines », a plaisanté Govrin. « Le sentiment est qu’ils nous veulent ici, ils nous aiment et ils nous embrassent… L’hospitalité marocaine est extraordinaire et c’est agréable d’être dans un endroit où la tolérance et la coexistence sont des valeurs très profondes. »

    De plus, l’ouverture d’une nouvelle ambassade dans le monde arabe n’est pas quelque chose qui arrive tous les jours. Le bureau israélien à Rabat n’est pas encore une ambassade officielle, mais Govrin a déclaré que le changement de statut était en cours.

    Sur le front de la sécurité, Govrin a déclaré que « le Maroc, Israël et les États-Unis sont d’accord sur la menace régionale que représente l’Iran et coopèrent donc ».

    Le Maroc a rompu ses relations diplomatiques avec l’Iran en raison de son soutien au Front Polisario, qui conteste la souveraineté de Rabat au Sahara occidental.

    Govrin a cité le ministre des Affaires étrangères Yair Lapid qui a évoqué « une nouvelle architecture de sécurité régionale » entre Israël, les Émirats arabes unis, Bahreïn, le Maroc, la Jordanie et l’Égypte.

    « Les États de la région, y compris Israël, reconnaissent de plus en plus que la meilleure façon de faire face à la menace iranienne est de travailler ensemble », a-t-il déclaré. « Il est entendu que nous devons unir nos forces pour empêcher les actions destructrices de l’Iran. »

    La reconnaissance par les États-Unis de la revendication du Maroc sur le Sahara Occidental était une « incitation significative », mais les relations entre Israël et le Maroc ne se sont pas uniquement construites là-dessus, a déclaré l’ambassadeur. Il a cité le ministre marocain des Affaires étrangères Nasser Bourita, qui a déclaré lors du sommet du Néguev le mois dernier que les liens entre les pays sont des liens de conviction et non d’intérêts.

    Govrin a salué l’approche du Maroc et du roi Mohammed VI en matière de coexistence judéo-musulmane, soulignant que la constitution du pays de 2011 reconnaissait le judaïsme comme l’une des cultures historiques du Maroc.

    « Dans la plupart des pays du Moyen-Orient, quand ils parlent de tolérance et de coexistence, c’est abstrait. Ici, c’est très démontrable. La coexistence entre Juifs et Arabes est très claire… les enfants jouent ensemble et les familles prennent leurs repas ensemble », a-t-il dit.

    Israël et le Maroc ont signé environ 20 protocoles d’accord différents dans des domaines tels que le commerce, l’économie, la sécurité et autres.

    Deux domaines pour lesquels il y a de l’enthousiasme au Maroc sont la haute technologie et la culture israéliennes. Govrin s’est entretenu avec le Post dans le cadre d’une délégation israélienne sur ces deux sujets, via l’ONG Sharaka, qui cherche à établir des liens interpersonnels entre les Israéliens et les États de l’Accord d’Abraham.

    « Il y a un grand intérêt pour la technologie israélienne », a déclaré Govrin. « Ils ne veulent pas seulement acheter un produit sur une étagère ; ils veulent apprendre à développer leurs capacités. Ils recherchent une coopération et une formation à long terme.

    En matière de culture, il existe des collaborations entre institutions de culture partagée, comme un concert de l’Orchestre andalou d’Ashdod à Rabat le mois dernier, auquel ont assisté 1 500 personnes, mais Govrin dit qu’il y a aussi une curiosité pour la culture israélienne plus largement.

    « Les Marocains veulent comprendre la diversité d’Israël, pas seulement se connecter avec ceux qui sont du Maroc », a déclaré l’ambassadeur. « Nous sommes en contact avec le ministère de la Culture pour voir comment nous pouvons produire ensemble des films, traduire de la littérature et faire venir des pièces israéliennes à Rabat… Le seul obstacle est le budget. »

    The Jerusalem Post, 12 mai 2022

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    #Maroc #Israël #Normalisation #Accords _Abraham #Médias #Palestine #Alqods #AlAqsa #DavidGovrin

  • Israël offre son soutien au Maroc sur le Sahara occidental

    Israël offre son soutien au Maroc sur le Sahara occidental

    Israël offre son soutien au Maroc sur le Sahara occidental – Bahreïn, EAU, Emirats Arabes Unis, Egypte, normalisation, Etats-Unis, Anthony Blinken,

    Le 27 mars, Israël a accueilli un sommet historique au cours duquel les ministres des Affaires étrangères du Maroc, de Bahreïn, d’Égypte, des Émirats arabes unis et des États-Unis se sont rencontrés pour discuter d’une myriade de questions internationales. Ils se sont également rencontrés pour illustrer les étapes réussies vers la normalisation des relations entre Israël et les pays arabes du Moyen-Orient. Au cours de cette retraite de deux jours à Sde Boker, le Maroc a abordé le sujet de la région longtemps disputée du Sahara occidental, où Israël a ensuite exprimé son soutien à la proposition d’autonomie du pays pour le désert situé sur la côte nord-ouest de l’Afrique.

    En fin de compte, le Maroc considère le Sahara occidental comme le sien, tandis que le Front Polisario exige qu’il soit un État souverain. Ainsi, le Sahara occidental a fait l’objet d’un conflit territorial prolongé entre le Maroc et son peuple autochtone sahraoui, dirigé par le Front Polisario, qui est un groupe indépendant soutenu par l’Algérie rivale du royaume. Ancienne colonie espagnole, le territoire du Sahara occidental a été illégalement annexé par l’invasion et l’occupation par les militaires marocain et mauritanien en 1975 après le retrait de l’Espagne.

    Aujourd’hui, comme le détaillent les Nations Unies, le Sahara Occidental est le seul territoire africain encore sous occupation coloniale. De plus, par cet événement, le Maroc et la Mauritanie ont violé la déclaration de la CIJ de 1975 selon laquelle aucune nation n’a de souveraineté territoriale sur le Sahara occidental. Un an plus tard, le Front Polisario, reconnu par l’ONU comme « le seul représentant légitime du peuple sahraoui », annonce la création de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) en tant qu’Etat indépendant. Suite à cela, une lutte armée de 16 ans entre le royaume et le mouvement indépendant a duré jusqu’à ce qu’un cessez-le-feu soit conclu en 1991. Cependant, le Polisario a déclaré le cessez-le-feu nul en 2020 et a depuis lancé de nouvelles attaques contre les forces marocaines.

    Dans cette proposition, soumise pour la première fois en 2006 à l’ONU, le Maroc accorderait l’autonomie au peuple du Sahara occidental, et les sahraouis dirigeraient leur gouvernement sous souveraineté marocaine. En outre, il est à noter que le Maroc contrôlerait la défense et les affaires étrangères du territoire. Bien que les États-Unis et Israël aient annoncé un ferme soutien au plan d’autonomie du Maroc afin de régler le conflit de longue date, ainsi que le soutien signalé de l’Espagne, de nombreuses organisations internationales, y compris l’ONU, ne reconnaissent pas le contrôle marocain, appelant plutôt l’Occident à Le Sahara un « territoire non autonome ». En outre, en vertu du droit international, le Sahara occidental n’est pas une partie légale du Maroc, et il reste sous le droit international de l’occupation militaire.

    Avec l’aide de l’administration Trump, Israël a réussi à nouer des relations diplomatiques et à nouer de nouveaux liens pacifiques avec quatre pays de la Ligue arabe, dont Bahreïn, les Émirats arabes unis, le Soudan et le Maroc depuis 2020 . note qu’il est supposé que ces accords de normalisation étaient motivés par des intérêts personnels, tels que des faveurs et une proximité plus étroite avec les États-Unis. Ainsi, on peut supposer que le récent soutien d’Israël aux plans du Maroc pour le Sahara occidental sert de contrepartie. En outre, le sommet a principalement abordé les préoccupations concernant l’accord nucléaire iranien. Par conséquent, il est dans l’intérêt d’Israël et du Maroc de renforcer leurs relations, par des moyens tels que la proposition, afin de faciliter un front unifié contre la menace iranienne. En outre, le Maroc a officiellement rompu ses relations diplomatiques avec l’Iran en 2018 parce que ce dernier pays a financé le Front Polisario, a déclaré Al Jazeera.

    Le Maroc et le Front Polisario sont toujours incapables de parvenir à un accord, les référendums et les compromis n’ayant pas abouti grâce à la médiation des organisations internationales. La désintégration du cessez-le-feu de 30 ans organisé par l’ONU et la récente escalade violente se sont produites principalement lorsque l’ONU n’a pas mis en œuvre le référendum, créant ainsi une stagnation politique de longue durée de la situation ; où la frustration et les perspectives négatives concernant le Sahara occidental ont maintenant éclaté au-dessus de la surface. Comme l’a annoncé Antonio Guterres, le conflit s’est « considérablement détérioré » et la « reprise des hostilités entre le Maroc et le Front Polisario est un revers majeur vers la réalisation d’une solution politique ». C’est une situation assez décevante, où en cas de succès.

    À présent, il est crucial que les organisations internationales s’attèlent à la tâche de trouver une solution pacifique qui fonctionne pour toutes les parties concernées. L’UE, Amnesty International, l’ONU, l’Union africaine et les principales nations qui ont été historiquement et actuellement engagées dans le conflit doivent mettre de côté leurs divergences passées et collaborer pour parvenir à un plan solide. Cela réduira la violence observée sur le territoire et créera un espace pour un changement positif. Il est important de se rappeler que bien que cette question puisse apparaître comme un différend isolé, elle a des conséquences considérables : pour les pays directement touchés, la région en général et la communauté internationale au sens large.

    De plus, le conflit a des impacts humains, politiques et économiques en raison de la violence et de l’instabilité à l’intérieur et autour du territoire, faisant de nombreuses victimes. De plus, l’actuelle mission de maintien de la paix de l’ONU, la MINURSO, doit mener le référendum au Sahara occidental avec plus de pression, car cela a exacerbé l’inaction diplomatique. Supposons que l’ONU et les organisations et nations similaires soient véritablement passionnées par la résolution du conflit du Sahara occidental et la fin de la violence, de la douleur et des déplacements que les civils ont dû endurer. Dans ce cas, il doit y avoir un dévouement à mettre plus de ressources dans ce conflit. Alors que la crise ne fait qu’empirer et que de plus en plus de nations brisent la diplomatie pour former des camps directs, des mesures réelles doivent être prises pour investir davantage de ressources dans les pourparlers de paix entre le Maroc et le Front Polisario.

    Grace O’Neill, stagiaire correspondante à l’Organisation pour la paix mondiale. Elle est actuellement étudiante de premier cycle à l’Université de Georgetown, étudiant la politique internationale avec une concentration en droit international et une mineure en italien. Grace concentre ses intérêts sur des sujets concernant les violations des droits de l’homme, la défense des réfugiés, la politique environnementale et la région du Moyen-Orient.

    The Organization of world peace, 30/04/2022

    #Maroc #SaharaOccidental #FrontPolisario #Israël #EtatsUnis #EAU #Bahreïn #Normalisation



  • EL Qods et la loyauté de certains « pays frères »

    EL Qods et la loyauté de certains « pays frères »

    EL Qods et la loyauté de certains « pays frères » – Palestine, Israël, Jérusalem, Maroc, Algérie, normalisation, Mohammed VI, Comité Al Qods,

    Les félonies répétitives, les retournements de veste périodiques, la duplicité mielleuse, la politique de l’autruche de nombreux pays arabes sont en grande partie à l’origine des malheurs de la Palestine et des violations actuelles commises par l’occupant sioniste sur et autour de la mosquée Al Aqsa à El Qods.

    L’attitude blâmable de certains pays de la ligue arabe, qui ont foulé au pied les préceptes de l’Islam et le droit international en normalisant leurs relations avec l’Etat hébreux alors que la question palestinienne n’est pas encore résolue, a permis aux sionistes de redoubler de férocité et de faire étalage en toute impunité de leur expansionnisme sanglant. C’est admis par tous, le repli effectué par certains pays arabes et musulmans par rapport à la cause palestinienne et leur soutien hypocrite à la résistance des Palestiniens a fortement encouragé les mesures d’oppression et de terrorisme sioniste et les visées du Premier ministre israélien Naftali Bennett à légitimer la division temporelle et spatiale de la mosquée Al-Aqsa.

    Les sionistes assurés de la neutralité sinon du soutien de certains pays arabes musulmans, se montrent ces jours-ci de plus en plus conquérants. Leurs incursions provocatrices sur l’esplanade de la moquée d’Al Aqsa, en ce mois sacré, prouvent qu’ils ont les coudées franches et que leur prétention à récupérer une partie ou la totalité de ce qu’ils appellent le Mont du Temple trouvera tôt ou tard écho chez les pays arabes et musulmans « normalisés ». Rien qu’à voir les réactions hypocrites de ces pays « normalisés » face aux agressions menées actuellement par les forces israéliennes d’occupation et les colons juifs à El Qods, on sait que des jours douloureux attendent les Palestiniens. La réaction du Makhzen marocain est un échantillon significatif de cette hypocrisie et de cet opportunisme puants de ces pays « normalisés ». Le Makhzen marocain, dont le roi Mohamed VI est pourtant le président du comité El-Qods, vient de montrer par une gymnastique diplomatique dont il a le secret, toute sa bassesse en affectant une position des plus incongrues.

    Tout en condamnant les dernières attaques israéliennes contre la mosquée d’Al-Aqsa et ses fidèles, il bloque une déclaration acceptée par l’ensemble des ambassadeurs arabes qui dénonce les graves violations par les forces d’occupation sionistes de la sacralité des lieux saints à El-Qods et la répression sauvage qui s’est abattue sur les fidèles innocents. Comme quoi, la cause palestinienne n’était en réalité pour certains pays, qu’un fonds de commerce pour réaliser des dividendes immérités.

    L’Express, 20/04/2022

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  • Al Qods: Le vrai visage hideux du Maroc

    Al Qods: Le vrai visage hideux du Maroc

    Al Qods: Le vrai visage hideux du Maroc – Palestine, Jérusalem, Israël, Mosquée Al Aqsa, normalisation,

    Le Maroc a refusé la tenue de la réunion du Comité Al- Qods que le roi Mohammed VI préside, à la suite de la proposition formulée par l’Algérie d’inviter le comité à se réunir sans délai afin d’assumer ses responsabilités face aux graves violations commises par les forces d’occupation sionistes à l’encontre des Palestiniens.

    Voilà que le masque tombe et le vrai visage hideux du Maroc se découvre, urbi et orbi, dans toute sa splendeur crasseuse à l’opinion publique internationale. En effet, le Maroc vient de marquer officiellement à travers son représentant permanent à New York son opposition au sein des groupes de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) et des Pays non alignés, pour la tenue de la réunion du Comité Al-Qods que le roi Mohammed VI préside et ce, à la suite de la proposition formulée par la mission algérienne d’inviter le comité à se réunir sans délai afin d’assumer ses responsabilités et faire face aux graves violations commises par les forces d’occupation sionistes à l’encontre des Palestiniens, en particulier, dans la mosquée d’Al-Aqsa. L’opposition marocaine à la réunion du Comité Al-Qods a mis doublement à nu le régime du Makhzen, qui continue à prendre en otage le Comité au profit de ses calculs étriqués, et a dévoilé, également, sa manipulation de la cause palestinienne et des lieux saints.

    Comble de l’ignominie, le Maroc a montré aussi qu’il n’était même pas capable de s’assumer dignement, puisqu’il s’est opposé, en meute avec ses amis les Comores, Djibouti, la Côte d’Ivoire et le Gabon, à l’inclusion dans la mouture finale d’un paragraphe appelant le Comité Al-Qods à assumer pleinement ses responsabilités et les tâches qui lui sont dévolues dans la défense de la ville d’Al-Qods et des lieux saints, confirmant ainsi qu’il s’est, non seulement, dérobé de ses responsabilités de président du Comité Al-Qods, dans ce contexte difficile, mais aussi, qu’il est habité d’une impotence caractérisée l’empêchant de regarder ses adversaires en face et de défendre chevaleresquement ses vues et ses positions. Le Maroc a, cette fois-ci, puisé dans son manuel de fourberie pour le seul but de dévoyer et, in fine, dévitaliser l’initiative de la partie palestinienne, en collaboration avec le Bureau de coordination du Mouvement des Pays non-alignés à New York, la Mission permanente de l’Azerbaïdjan, président du Mouvement des Pays non-alignés, par le biais de laquelle il a circulé un projet de déclaration, devant être prononcé au nom des pays du Mouvement au cours du débat ouvert du Conseil de sécurité des Nations unies sur « La situation au Moyen-Orient, y compris la question palestinienne », qui se tiendra le 25 avril.

    Piètres manœuvres

    Comme à l’accoutumée, et désireux de saisir toute opportunité pour embellir l’image ternie, et c’est un pléonasme, de son pays, notamment depuis la normalisation de ses relations avec l’entité sioniste, le représentant du Maroc a sollicité l’inclusion d’un paragraphe faisant l’éloge des efforts chimériques de son roi, en sa qualité de président du Comité Al-Qods, dans la défense de la ville et des lieux saints. Ce rôle, que visiblement seul le représentant du Maroc reconnaît dans ses hallucinations puisque le projet initial élaboré par la présidence azerbaïdjanaise en collaboration avec la partie palestinienne, ne faisait aucunement référence aux efforts du président du comité, confirmant ainsi que même les premiers concernés, les Palestiniens, ne reconnaissent plus les efforts du président de ce Comité qui n’hésite pas à l’instrumentaliser à des fins politiciennes mesquines et conjoncturelles.

    Ces piètres manœuvres ne sauraient rester sans réaction de la partie algérienne qui a, une fois de plus, exprimé ses réserves quant aux flatteries et aux indues louanges dithyrambiques que le Maroc voulait attribuer au président du Comité Al-Qods, pour qui la Ville-Sainte est la dernière de ses préoccupations qui, au passage, ne sont pas vraiment nombreuses dans le domaine des combats nobles. Par conséquent, la mission de l’Algérie à New York n’a pas manqué de confirmer que cette proposition ne correspond en rien à la réalité, étant donné que le comité Al-Qods, créé par l’Organisation de la coopération islamique en 1975, ne s’est réuni que 2 fois au cours des 20 dernières années, dont la dernière remonte à 2014.

    Manifestations de soutien à Al-Aqsa dans plusieurs villes marocaines

    Des milliers de Marocains ont manifesté vendredi devant plusieurs mosquées du pays, en soutien à la mosquée Al-Aqsa en Palestine et pour dénoncer les agressions de l’occupant sioniste commises contre les Palestiniens. Ces rassemblements ont eu lieu à l’appel de l’Autorité marocaine de soutien aux causes de la nation sous le slogan « Colère pour Al- Aqsa », à se réunir après la prière du vendredi pour condamner les attaques menées par les forces d’occupation sionistes contre la mosquée Al-Aqsa et les agressions dont sont victimes les fidèles palestiniens. Des centaines de personnes ont manifesté devant les mosquées des villes d’El-Jadida, Casablanca, Fès, Meknès, Marrakech, Mohammadia, Tétouan, M’diq, Berkane, Taza et Khouribga. Les manifestants ont scandé des slogans condamnant l’agression de l’entité sioniste contre la mosquée Al-Aqsa et les violences commises par ses forces et ses colons contre les fidèles palestiniens qui s’y trouvent. Ils ont dénoncé lors de ces manifestations, dont des vidéos et photos ont circulé sur les réseaux sociaux, la normalisation du régime du Makhzen avec l’entité sioniste et exigé son renversement et son incrimination. Mercredi, le Front marocain de soutien à la Palestine et contre la normalisation avait condamné les crimes de l’entité occupante contre la mosquée Al-Aqsa et les Palestiniens qui la défendent, mais aussi « la trahison » de certains pays arabes envers le peuple palestinien, surtout l’état marocain qui de surcroît préside le comité Al-Qods. Le Front a annoncé qu’il a décidé de maintenir ouverte la réunion de son secrétariat national pour traiter avec la « vigilance requise » l’évolution de la situation en Palestine, au milieu des attaques de l’armée d’occupation et des colons sionistes contre le peuple palestinien afin de prendre les initiatives de lutte nécessaire.

    Par : LAKHDARI BRAHIM

    Le Midi Libre, 24/04/2022

  • Une radio pour la promotion du judaïsme au Maroc

    Une radio pour la promotion du judaïsme au Maroc

    Une radio pour la promotion du judaïsme au Maroc – Israël, normalisation,

    Le média Maghreb Intelligence a annoncé ce samedi le lancement d’une nouvelle radio au Maroc destinée à la promotion du judaisme, après l’accord accordé par la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA) .

    La radio en question est créée par  un homme d’affaires maroco-israélien, installé au Maroc depuis de longues années.

    Elle devra émettre 24 heures sur 24 et  présentera ses émissions en arabe, en français, en darija et en hébreu. L’une de ses principales missions sera de faire connaître la composante hébraïque comme affluent du patrimoine et de la vie des Marocains.

    #Maroc #Israël #Normalisation

  • USA, Emirats, Bahreïn et le Maroc se rencontrent en Palestine

    USA, Emirats, Bahreïn et le Maroc se rencontrent en Palestine

    USA, Emirats, Bahreïn et le Maroc se rencontrent en Palestine – Antony Blinken, normalisation, Israël,

    L’entité sioniste a annoncé vendredi la tenue d’une rencontre « historique » à l’occasion de la visite prévue du secrétaire d’Etat américain Antony Blinken, avec les Emirats arabes unis, le Maroc et Bahreïn, trois pays arabes ayant récemment normalisé leurs relations avec l’Etat hébreu

    « A l’invitation du ministre des Affaires étrangères Yaïr Lapid, ce dimanche et lundi, un sommet diplomatique historique se tiendra en Israël », a indiqué son bureau dans un court communiqué. « Le secrétaire d’Etat américain et les ministres des Affaires étrangères des Emirats arabes unis, du Maroc et de Bahreïn arriveront en Palestine occupée pour une série de rencontres diplomatiques », est-il précisé.

    Les Emirats arabes unis et Bahreïn ont été les premiers pays arabes du Golfe à normaliser publiquement leurs relations avec l’entité sioniste en septembre 2020, sous l’impulsion de Donald Trump, alors président des Etats-Unis.

    Le Maroc et le Soudan ont ensuite établi des accords similaires.

    Wassim Benrabah

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    #Palestine #USA #Israel #EAU #Bahrein #Maroc