Étiquette : Sahara Occidental

  • Sahara occidental : une parlementaire européenne n'exclut pas "une guerre sanglante" face à la passivité de l'UE

    STOKHOLM – Le membre du Parlement européenne (PE), du parti social démocrate suédois, Mme. Jytte Guteland a affirmé que « l’inertie et la passivité de l’Union européenne (UE) devant la décolonisation du Sahara occidental ouvrirait le champ à une autre guerre sanglante ».

    « Au lieu de s’employer au soutien des efforts visant la décolonisation pacifique tant attendue de la dernière colonie en Afrique, l’UE a tenu à conclure un accord commercial au-dessus de la tête des Sahraouis et contre leur volonté, afin de continuer à exploiter les ressources sahraouies et préserver les intérêts économiques du Maroc dans les territoires occupés », a écrit Mme. Guteland dans une analyse rapportée par l’Agence SPS.
    Pour la député européenne, il est impératif pour l’UE de se prononcer et de défendre le Sahara occidental où le Maroc occupe illégalement de grands territoires depuis 1975, sous les yeux de la Minurso créée en 1991 et qui a échoué durant 29 ans dans sa principale mission, à savoir l’organisation d’un référendum sur l’autodétermination au profit du peuple sahraoui.
    Exaspéré contre la violation par le Maroc du cessez-le-feu à El-Guerguerat, Mme. Guteland a avoué avoir transmis, conjointement avec des députés membres du Groupe des amis du Sahara occidental, une correspondance au haut représentant de l’UE pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell, dans laquelle le groupe a invité l’UE à condamner l’attitude du Maroc et à parvenir à une solution pacifique au conflit, en faisant respecter le droit international et le droit des Sahraouis à l’autodétermination.
    Le statu quo au Sahara occidental, précise l’article de la députée socio-démocrate, a nourri davantage la désespérance chez les réfugiés sahraouis qui assistent, depuis 45 ans de conflit, à l’échec du processus politique onusien, 29 ans après son lancement, censé garantir au peuple sahraoui son droit à l’indépendance.
    « L’occupation marocaine du Sahara occidental est inadmissible, de même que la blackout sur la violation flagrante du droit international est intolérable, c’est pourquoi, la Commission européenne est appelée à faire respecter les chartes internationales et les droits de l’Homme même avec les pays étroitement liés au plan économique », a-t-elle écrit.
    Et d’appeler la Commission à « mettre un terme à la passivité afin d’éviter le danger d’une autre guerre de sang aux abords de l’UE ».
    APS

    #SaharaOccidental #Polisario #Maroc

  • Le Polisario maintient la pression sur les forces marocaines (géopolitologue)

    Le géopolitologue Raouf Farrah : le Polisario maintient la pression sur les forces marocaines

    Le géopolitologue Raouf Farrah a affirmé, jeudi, le maintien du Front Polisario de ses positions stratégiques sur le terrain, après que l’armée sahraouie a infligé de lourdes pertes humaines et matérielles aux forces d’occupation marocaines, en riposte à l’agression militaire contre les civils sahraouis dans la brèche illégale d’El-Guerguerat.
    Lors de son intervention sur les ondes de la chaîne 3 de la Radio Algérienne, Farrah a critiqué le silence des Nations Unies concernant le non-respect du cessez-le-feu, les faibles rapprochements diplomatiques et les limites de la stratégie du statu quo.
    L’universitaire algérien a souligné la difficulté d’un renouveau politique, appelant à la nomination d’un nouvel envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara occidental.
    L’agression marocaine, menée le 13 novembre, continue de susciter une large vague d’indignation et de condamnation internationale parmi les classes politiques et populaires et les organismes de défense des droits de l’Homme qui ont demandé à l’ONU d’agir rapidement en vue d’un règlement du conflit du Sahara occidental, conformément à la légalité internationale.
    D’autre part, plusieurs parties internationales ont imputé la montée de tensions dans la zone d’El-Guerguerat, suite à l’agression militaire marocaine contre des civils sahraouis, aux atermoiements de l’ONU dans la mise en œuvre du plan de paix dans la région, notamment son volet relatif à l’organisation d’un référendum d’autodétermination, seule solution de règlement.
    A cet effet, ils ont tenu le Maroc pour responsable des conséquences de sa violation de cessez-le-feu signé avec le Front Polisario en 1991, sous l’égide de l’ONU.
    Source : Radio Algérie, 3 déc 2020
  • Sahara Occidental : La question sahraouie reviendra-t-elle sur le devant de la scène à l’ONU?

    Des espoirs d’un apaisement de tensions au Sahara Occidental, après la violation par le Maroc du cessez-le-feu signé avec le Front Polisario, grandissent après la prise, mardi, de la présidence tournante mensuelle du Conseil de sécurité des Nations unies par l’Afrique du Sud.

    Ainsi, la question sahraouie devrait être au cœur des préoccupations de l’Afrique du Sud qui préside le Conseil de sécurité de l’ONU, sachant que ce pays n’a de cesse d’exprimer son soutien au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.
    Lors de la première conférence de presse après la prise de la présidence du Conseil de sécurité par son pays, le représentant permanent de l’Afrique du Sud auprès des Nations Unies, Jerry Matthews Matjila a déclaré mercredi que « l’accord de cessez-le-feu a été signé à la base en 1991 en prélude à la tenue d’un référendum d’autodétermination entre 1991 et 1993 ».
    « Trois décennie se sont écoulées, déplore Jerry Matthews Matjila, sans que ce référendum ne soit organisé. Du coup, nous devons reconnaître avoir déçu le peuple sahraoui et reporté à maintes reprises le référendum d’autodétermination », ont rapporté des médias sahraouis.
    En effet, l’occupant marocain et les pays qui le soutiennent notamment la France ont souvent sabordé les efforts de la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso).
    Par ailleurs, le représentant permanent de l’Afrique du Sud auprès des Nations Unies a exprimé son optimisme quant aux efforts du secrétaire général de l’ONU António Guterres en novembre dernier en s’appuyant sur trois émissaires bien que la question fut difficile dans la mesure où ces derniers ont refusé de jouer le rôle de médiation dans ce conflit.
    En outre, ce diplomate sud-africain envisage de s’employer à la rechercher d’un autre mécanisme pour atteindre cet objectif, tout en réitérant sa confiance au SG de l’ONU pour ses efforts en vue de désigner un autre envoyé pour le Sahara occidental en remplacement de l’ancien président allemand Horst Köhler.
    Le président du Conseil de sécurité a émis également le vœu à ce que les deux parties s’entendent sur un cessez-le-feu et que l’ONU tienne ses promesses à l’égard des Sahraouis, en l’occurrence l’organisation d’un référendum d’autodétermination.
    Echourok, 3 déc 2020
  • Sahara Occidental :Les combattants sahraouis poursuivent les attaques

    La situation militaire tout au long du mur des sables reste toujours tendue. Les combattants sahraouis n’ont pas cessé leurs harcèlements contre les cantonnements et les bases de l’armée d’occupation marocaine. Des attaques et des bombardements sont signalés par des sources militaires sahraouis, alors que Rabat poursuit sa politique du mutisme et du black-out média- tique sur les opérations en cours dans le territoire. 

    Le Ministère de Défense sahraouie a précisé, dans son communiqué nº 19, que «les combattants sahraouis ont ciblé hier des positions de l’armée d’occupation marocaine avec des bombardements intenses contre des bases dans la région d’Angab Al-Abd et des bombardements des sites de la zone de Tarf Laachibi dans le secteur de Haousa». 
    Selon la même source, les combattants sahraouis ont mené un bombardement qui a visé des positions de l’occupant dans la région d’Alfayeen et pilonnages dans la région de Tenushad dans le secteur de Mahbes. 
    Lundi toujours, les combattants sahraouis ont ciblé un site dans la zone de Ben Zacka du secteur et les forces ennemies au nord de Dirt dans le secteur de Haousa». 
    La Défense sahraouie a souligné que pour la journée du mardi, les combattants de l’APLS ont mené des attaques intenses visant des «retranchements de l’ennemi dans le secteur de Farsia et des attaques contre la région d’Oum Eddeguen dans le secteur d’El-Beggari». 
    Les forces d’occupation ont été également ciblées par deux fois dans la zone d’Alfaiyine dans le secteur De Farsia. Ces attaques «destructives» ont engendré des dégâts «considérables» matériels et humains dans les rangs des forces d’occupation marocaines, a conclu le communiqué. 
    Sur le plan politique, la solidarité internationale s’organise. L’indignation est vive partout dans le monde, notamment chez les organisations qui luttent pour les libertés et les droits fonda- mentaux des peuples. 
    En Grande- Bretagne, le sous-secrétaire d’État parlementaire aux arts, à l’héritage et au tourisme, Alex Sobel a interpellé son gouvernement sur la situation des détenus politiques sahraouis dans les geôles marocaines, particulièrement celle du détenu politique Yahia Mohamed El Hafedh Iza, incarcéré à la prison de Bouizakarne au sud et dont la famille ignore le sort depuis le 9 octobre dernier. Alex Sobel s’est renseigné sur les résultats des débats qu’a eu le gouvernement britannique avec l’ambassade du Maroc à Londres sur le déroulement du procès du détenu politique sahraoui devant la Cour d’appel de Marrakech le 21 octobre 2020. 
    Pour sa part, le député Maurice Karham du Parti des travaillistes de l’arrondissement d’Islington a demandé au ministère britannique des Affaires étrangères de protester auprès de l’ambassade du Maroc concernant la répression des civils dans les territoires du Sahara occidental sous occupation marocaine, et l’interdiction de voyage et de déplacement pour les militants des droits de l’Homme. 
    De son côté, le député de Stockport, Navendu Mishra, représentant du même parti a demandé au ministre d’Etat chargé de la région MENA de soulever, avec le Maroc, les questions et les rap- ports relatifs à la détention arbitraire et les harcèlements plus fréquents des forces marocaines contre les sahraouis dans la ville de Laâyoune occupée. Dans ce même contexte, le député Kim Johnson du Parti Travailliste pour le district de Liverpool, a appelé le Gouvernement à interpeller le Maroc sur les rapports relatifs aux actes d’harcèlement dont sont victimes les prisonniers civils sahraouis dans la prison de Kenitra. 
    Le député Alan Brown, ex-Président du Groupe parlementaire de solidarité avec le peuple sahraoui et porte-parole du SNP (Parti national écossais), a appelé le ministère britannique des Affaires étrangères (Foreign Office) à interpeller le Gouvernement marocain sur l’assignation à résidence de défenseurs sahraouis des droits de l’Homme. 
    Répondant aux questions soulevées par les députés, le ministre d’Etat pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, James Cleverly, a réaffirmé que le Gouvernement «suit de près la situation au Sahara occidental», et continue de prôner la désescalade et la reprise du processus politique dirigé par l’ONU. 
    Mohamed Kouini 
    #SaharaOccidental #Maroc #Polisario #WesternSahara
  • Agression marocaine à El Guerguerat : La solidarité avec le peuple sahraoui s’intensifie

    Plusieurs voix se sont élevées appelant l’ONU à faire pression sur le Maroc pour l’amener à se retirer immédiatement du Sahara occidental et respecter le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et l’indépendance.

    La communauté internationale a d’ailleurs fait part de son inquiétude quant à la violation de l’accord de cessez-le-feu par le Maroc le 13 novembre dernier en prenant pour cible un groupe de civils sahraouis qui manifestaient devant la brèche illégale d’El-Guerguerat. Le Groupe de soutien de Genève pour le Sahara occidental a exhorté le Haut Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme de dépêcher une mission d’observation dans le territoire occupé et de présenter un rapport lors de la 46e session du Conseil des droits de l’homme, recommandant au Conseil de sécurité d’élargir le mandat de la Minurso pour y inclure la surveillance des droits de l’homme.
    Le Groupe a interpelé, dans un communiqué, le Conseil des droits de l’homme, l’appelant à accorder une attention particulière aux violations des droits de l’homme, en particulier du droit à l’autodétermination, résultant de l’occupation militaire marocaine du Sahara occidental, conformément au paragraphe opérationnel 5 de la résolution 74/140 de l’Assemblée générale des Nations unies.
    En effet, le Groupe a dénoncé «un large éventail de violations graves» du droit international des droits de l’homme et du droit international humanitaire, -trop insuffisamment documentées et exposées par les mécanismes des droits de l’homme des Nations unies-, au cours des 16 années de conflit et des 45 années d’occupation militaire illégale. Il a demandé à toutes les procédures spéciales pertinentes d’accorder une attention particulière «aux graves violations» au Sahara occidental occupé qui «pourraient se produire dans le contexte de la reprise du conflit» et qui «doivent faire l’objet d’une enquête et être documentées».
    Dans ce sillage, le Groupe a exprimé«sa profonde préoccupation» face à la rupture du cessez-le-feu en vigueur depuis 1991 dans le Territoire non autonome du Sahara occidental, qui a suivi l’intervention de l’armée d’occupation marocaine dans la zone démilitarisée près de Guerguerat (sud-est du territoire), le 13 novembre écoulé. A la lumière de la reprise du conflit dans le Territoire non autonome, le Groupe a appelé, également, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à surveiller ces violations persistantes des Conventions de Genève au Sahara occidental occupé, outre la situation des «prisonniers de guerre» ou «prisonniers de conscience» sahraouis, y compris ceux qui ont été arrêtés dans le territoire occupé après la rupture du cessez-le-feu, et également de prendre dûment en considération la mise en place de zones et de couloirs humanitaires en tant que de besoin.
    D’autre part, et notant les échecs successifs des Envoyés personnels du Secrétaire général pour permettre à la Minurso de remplir son mandat, et soulignant que la perpétuation du statu quo ne fait que renforcer la position de la puissance occupante, le Groupe de soutien de Genève a appelé instamment le SG de l’ONU à s’impliquer davantage dans la situation actuelle au Sahara occidental et de nommer au plus tôt un nouvel Envoyé personnel pour relancer le processus politique qui doit conduire à l’organisation et à la tenue d’un référendum d’autodétermination pour le peuple sahraoui, conformément à la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux. Dans le même temps, il a demandé au Conseil de sécurité de prêter attention à la situation qui résulte de la reprise du conflit au Sahara occidental, en particulier en ce qui concerne la situation qui prévaut dans la région du Sahel.
    #SaharaOccidental #Maroc #Polisario #WesternSahara
  • Algérie : Les Chouhadas nous regardent

    La quasi totalité de ce que compte la scène nationale en partis politiques, d’organisation et personnalités ont clairement remis le Parlement européen et sa résolution à leur place. «Campagne tendancieuse », «ingérence dans nos affaires internes», les voix multiples et diverses ont surtout souligné les intentions malsaines d’un occident acquis à la cause sioniste d’«écarter l’Algérie en tant qu’Etat influent dans l’équation géopolitique et en tant que partie et partenaire économique, politique et sécuritaire dans la gestion de l’avenir de la région», disent les voix algériennes. 

    Le timing choisi par les lobbies malfaisants pour s’acharner sur l’Algérie éclaire leurs objectifs et mettent la lumière sur un plan machiavélique qui n’a d’autre but que de semer le chaos dans le pays. «Certaines parties étrangères, avec à leur tête l’ennemi traditionnel qui veut détourner l’attention sur ce qui se passe dans son pays, à savoir le mouvement de protestation des gilets jaunes qui sont exposés aux formes les plus odieuses de répression et de violation des droits de l’Homme», rappelle-t-on. 
    Cela exprime la conscience de la classe politique et intellectuelle algérienne sur les tenants et les aboutissants d’une manigance occidentale qui, en plus de vouloir duper son opinion publique, applique un agenda destructeur imaginé par les officines mondialistes décidées à «polir» toute l’humanité et la mettre à son image. Mais, tout le monde en Algérie sait que le pays du million et demi de martyrs demeurera «fidèle à ses principes inspirés de son histoire civilisationnelle et de sa lutte, des sacrifices de son peuple pour la liberté, la dignité et la souveraineté, a toujours soutenu les peuples opprimés conformément à ses valeurs et ses engagements internationaux». 
    Dans ce propos que reprennent tous les intervenants sur la scène publique, il y a le Sahara occidental qui, ces derniers jours, s’enflamme et les Palestinien sacrifiés par des roitelets sur l’autel du profit et de l’allégeance à une mondialisation qui les détruira tôt ou tard.
    La portée internationale de cette agression politique ne fait pas de doute. Et cette conviction est largement partagée par le peuple algérien. Si les stades d’Algérie recevaient leurs publics. On aurait entendu «Palestine Echouhada» scandée par des dizaines de milliers de voix jeunes et décidés à ne pas céder à la pression occidentale. Et ce sont ces jeunes –là qui sauveront l’Algérie.
    Par Nabil.G
    Ouest Tribune, 2 déc 2020
  • Sahara Occidental : Le Maroc entre délire et contradictions

    IL TENTE UNE DIVERSION INOUÏE SUR LA VIOLATION DU CESSEZ-LE-FEU : Le Maroc entre délire et contradictions

    Le ministre de l’Information et porte-parole du gouvernement sahraoui, Hamada Salma, a qualifié de ‘’délirante et contradictoire’’ la version du chef du gouvernement marocain sur la violation du cessez-le-feu par l’armée d’occupation marocaine, le 13 novembre à EL Guerguerat au Sud-ouest du Sahara occidental.
    Dans une déclaration de presse, M. Salma a indiqué que ‘’le Maroc n’a pas songé à l’impact et aux conséquences de son agression contre des civils sahraouis, une violation flagrante de l’accord de cessez-le-feu supervisé par l’ONU. Or, c’est l’État marocain qui a déclenché à nouveau la guerre, après une première guerre qui a duré 16 ans, avant que le Maroc ne signe un accord de paix ’’.
    Il a rappelé que ‘’le Front Polisario a conditionné son engagement au processus de paix à la tenue d’un referendum d’autodétermination du peuple sahraoui’’.
    La déclaration du chef du gouvernement affirmant que d’une part son pays a mené une « opération de police » et d’autre part qu’il a déployé l’élite de son armée et de lourds matériels pour attaquer des civils sahraouis sans défense, prouve l’immense du paradoxe et la frustration de la partie marocaine’’, a-t-il relevé .
    Il a, en outre, rejeté sur le Maroc la responsabilité du retour au point de départ dans le conflit du Sahara occidental à travers ‘’ses dénis et ses retraits des engagements signés avec la Front Polisario, en vue d’organiser un referendum d’autodétermination du peuple sahraoui’’.
    ‘’Cette fois-ci le gouvernement marocain n’aura pas la possibilité d’une trêve pour gagner plus de temps, après avoir entravé pendant 30 ans tous les efforts pour trouver une issue pacifique au conflit’’, a encore dit le responsable sahraoui.
    Le soutien international à la cause sahraouie se poursuit
    D’un autre côté, le groupe interparlementaire suisse de solidarité avec la Rasd a exprimé sa « préoccupation profonde au regard de la reprise de la guerre au Sahara occidental, après l’agression marocaine contre des civils sahraouis sans défense à El Guerguerat. ‘’Nous exprimons notre solidarité avec le peuple sahraoui dans la situation actuelle et condamnons les actes barbares commis par les forces d’occupation marocaines contre des civils et des militants sahraouis, ainsi que des prisonniers politiques sahraouis dans les geôles marocains’’, a déclaré le groupe. Réaffirmant leur soutien au FPolisario qui prouve ‘’son respect de la loi internationale et humanitaire, malgré les difficultés’’, le groupe d’amitié souligne le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance.
    Les parlementaires suisses insistent sur la nécessité d’une « reprise des négociations pour éviter qu’une telle agression se reproduise. Négociations sous l’égide de l’ONU en vue de parvenir à une solution politique, garantissant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination ».
    Enfin, le groupe parlementaire réitère son engagement de poursuivre ses actions de sensibilisation de la juste cause du peuple sahraoui en Suisse, en vue d’une reconnaissance des droits légitimes du peuple sahraoui et son représentant unique le Front Polisario.
    D’autre part, des organisations et personnalités politiques et parlementaires en Suède ont appelé le gouvernement suédois à mettre en œuvre la décision du Parlement, adoptée à l’unanimité en 2012, prévoyant la reconnaissance de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), affirmant que la mise en œuvre de ladite décision sera « la réponse la plus forte à l’agression marocaine contre le peuple sahraoui ». Dans une lettre rendue publique lundi par les médias suédois, la société civile suédoise a appelé le gouvernement de son pays à « agir en urgence afin d’imposer l’organisation d’un référendum d’autodétermination au Sahara occidental, sous l’égide de l’ONU ».
    La lettre a, par ailleurs, appelé les Nations unies à « intervenir en vue de faire cesser les violations des droits de l’homme commises au quotidien contre des civils sahraouis sans défense et des prisonniers politiques dans les geôles marocaines ».
    Enfin, les auteurs de la lettre ont exhorté la Suède à « réactiver son rôle au sein de l’Union européenne (UE) à l’effet d’abroger tous les accords signés avec le Maroc incluant les territoires occupés du Sahara occidental ».
    M. B. 
    POUR CASSER LA CHAÎNE DE SOLIDARITÉ AVEC LE PEUPLE SAHRAOUI : Le Maroc enrôle des Baltaguia
    Le représentant du Front Polisario en Suède et en Norvège, Heddi Kentaoui, a affirmé que l’occupant marocain enrôle des Baltaguia pour perturber les actions de solidarité organisées par la communauté sahraouie dans différents pays du monde.
    « Les autorités d’occupation marocaine n’ayant pas digéré les sit-in quotidiens des enfants de la communauté sahraouie dans tous les pays du monde, notamment en Europe, recrutent des pseudo partisans pour perturber la lutte pacifique du peuple sahraoui », a déclaré le diplomate sahraoui. Il a soutenu, à ce propos, que » les abjectes tentatives enregistrées en France et en Espagne visant à infiltrer les manifestants sahraouis ne sauraient entamer la détermination du peuple sahraoui à arracher sa liberté et à édifier son État indépendant sur l’ensemble de son territoire ».
    M. Heddi Kentaoui a ajouté à l’adresse du Maroc, « si vous avez des preuves il faut les faire prévaloir auprès des tribunaux et des instances internationales au lieu de recourir à des Baltaguia », car, a-t-il affirmé « les Sahraouis ne s’arrêteront pas de dénoncer l’occupation et de revendiquer le droit à l’autodétermination ». « Les actes d’hostilité marocains contre la communauté sahraouie témoignent du choc suscité par les victoires de l’Armée sahraouie le long du mur de Sable », a-t-il expliqué. Il a souligné que « l’occupant marocain est entrée, depuis le retour du peuple sahraoui à la lutte armée le 13 novembre courant, dans un état d’hystérie, en ce sens qu’il ne s’attendait pas à une riposte du Polisario, après 30 ans de patience et de volonté à privilégier un règlement politique ». Pour le représentant du Front Polisario le retour à la lutte armée a été imposé au peuple sahraoui pour se défendre et arracher son indépendance après toutes les violations marocaines continues des résolutions de l’ONU, de l’Union africaine (UA) et de la Cour internationale de justice (CIJ) ainsi que des traités et accords signés avec la partie sahraouie ». Il a souligné aussi que « le Maroc cherche à imposer le fait accompli au service de ses intérêts et de ceux de ses alliés, à travers le pillage des ressources naturelles du peuple sahraoui et son extermination programmée ». Affirmant que « l’édification d’un Maghreb des peuples ne saurait se faire avec la persistance d’une mentalité coloniale focalisée sur le pillage de la richesse des peuples », le diplomate sahraoui a affirmé que « les jours de l’occupation marocaine au Sahara occidental sont comptés, après que ses pratiques agressives et ses ambitions expansionnistes ont été mises à nues ».
    M. B.
    #SaharaOccidental #Polisario #Maroc #WesternSahara
  • Le port d'Alger est-il menacé?

    Les Émirats Israël Unis considèrent désormais comme étant une « menace » les Algériens tout comme les Iraniens, les Libanais, les Irakiens… entre autres, leur interdisant toute entrée sur le sol émirati qui s’ouvre grand sur les sionistes.

    Cela veut dire que l’Accord d’Abraham qui se veut le cadre d’une coalition militaire anti-Iran pour cause de plus de 40 ans de bataille contre Israël voit aussi à travers l’Algérie un « ennemi à abattre ». D’où d’ailleurs les agissements du régime émirati en Libye tout au long du printemps et de l’été aux côtés d’Israël et ce, dans le strict objectif de déstabiliser les frontières algériennes ou encore cette décision éclair d’ouvrir un consulat au Sahara-Occidental qui a allumé la mèche du conflit Maroc-Polisario.
    Mais pour qui l’Algérie est-elle une « menace » ? Souvenons-nous de la visite à Alger de Donald Rumsfeld, alors Secrétaire d’État à la défense en février 2006, en émissaire du Président Bush, s’inquiétant du programme de modernisation de la marine de guerre algérienne et de sa capacité future à contrôler le trafic maritime israélien, particulièrement dense au large des côtes méditerranéennes, tant les sionistes sont extrêmement dépendants de leurs approvisionnements par la mer.
    Le souci n’est pas né de rien alors qu’en 1973 les forces antiaériennes et anti-maritimes algériennes montraient déjà leurs capacités techniques à atteindre des objectifs de haute altitude et au large des côtes égyptiennes obligeants navires et cargos aériens américains appliqués en ravitaillements soutenus de Tel-Aviv, à se tenir à bonne distance de l’espace aérien et maritime du Caire.
    Résultat de la visite de Donald Rumsfeld en 2006 : la signature en 2008 d’une joint-venture entre EPAL (Entreprise Portuaire d’Alger) et DWP (Dubai World Port) aux fins de gérer les ports d’Alger et de Djendjen et qui a toujours cours.
    Les Algériens devront en comprendre mieux aujourd’hui la finalité cachée. Ce combat d’Israël contre l’Algérie, s’il se dissimulait hier derrière des coopérations dites « gagnantes-gagnantes » avec le partenaire émirati en missions commandées, se transforme aujourd’hui en mode ouvert, la guerre marocaine au Sahara en étant la preuve.
    Mais les Émirats Israël unis en resteront-ils là ? Les bombardements incessants de Tripoli par les forces aériennes émiraties, le financement par Abou Dhabi des armes qui coulent à flots en Libye, puis le Sahara prouvent que non. Ces agissements procèdent de la même stratégie que celle appliquée au Liban, au Yémen, contre l’Irak et contre l’Iran….. les ports algériens sont en danger… Après les incidents de forêt, rien ne dit que le scénario beyrouthin ne se verrait pas son pendant en Algérie. 
  • Le Maroc s'en prend à l'Algérie pour cacher sa déroute militaire au Sahara Occidental

    IL ATTAQUE L’ALGÉRIE ET SON PRÉSIDENT POUR CACHER SA DÉROUTE MILITAIRE ET LE DÉSARROI DU PEUPLE MAROCAIN : Diversion révolue du Makhzen !

    Le dernier communiqué de la présidence de la République sur l’état de santé du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, est une grosse claque infligée au makhzen marocain, ses soutiens sionistes et ses relais dans le monde. En effet, nos voisins de l’Ouest qui versent dans une véritable œuvre de déstabilisation de notre pays via une large campagne de désinformation sont déroutés par la teneur du dernier message sur la santé du président de la République, annoncé bientôt de retour au pays.
    Quelle parade va emprunter le makhzen pour rebondir, lui qui a fait du mensonge une arme et qui vient d’être désarçonné par la réalité. Les attaques qui se sont exacerbées depuis la maladie de M. Tebboune sont en réalité un épais nuage de fumée pour faire diversion et cacher au peuple marocain les difficultés qui l’attendent quand il s’agira d’engager le débat sur la succession pour le trône et sur les pertes que subissent, au quotidien, les forces marocaines d’occupation au Sahara occidental. Le makhzen ne semble reculer devant rien, et pour verser sa haine sur l’Algérie il n’hésite pas à recourir à l’arsenal de la guerre médiatique et de désinformation. Utilisant des cabinets et autre agences proches des milieux sionistes, qui excellent dans la manipulation de l’image et du son pour confectionner des fake-news qui ciblent l’Algérie et son peuple, ces mensonges sont fabriqués en quantité industrielle pour faire vrai. « Plus la couleuvre est grosse et plus le faux passera mieux », semble être la devise des concepteurs des dernières attaques contre notre pays. Il ne recule devant rien. D’ailleurs, en parallèle à cette guerre de désinformation, des sites algériens sont piratés, voire bloqués pour certains, ce qui laisse supposer que le Maroc ne règle pas seulement ses problèmes avec l’Algérie, mais semble affairé à cacher une dure réalité que vit le royaume, dont l’économie est fortement impactée par la pandémie, par la crise économique que vit l’Europe, par les pertes enregistrées par son armée au Sahara occidental et par la guerre de succession qui fait rage dans la famille royale.
    Un épais écran de fumée pour faire diversion
    Les attaques de makhzen contre notre pays sont en réalité une façon pour lui de faire diversion et pousser les sujets de sa majesté à détourner leur regard des difficultés qu’ils vivent et à venir. La désinformation orchestrée par les cellules de la propagande marocaine s’est exacerbée ces derniers temps avec l’appui avéré de certains cercles sionistes connus dans la région. Il serait naïf de croire qu’elle a débuté depuis l’annonce de la maladie du président de la République. Elle a débuté depuis des années et ne semble pas près de connaitre un répit tant qu’elle profite au palais royal et au Makhzen. Le parlement marocain qui est traversée par des courants connus pour leur haine viscérale contre l’Algérie, s’apprête à voter une loi qui permettra aux subsahariens d’accéder à la nationalité marocaine. Cela permettra aux forces royales de disposer d’une chair à canon à bas prix, qu’il mobilisera dans sa guerre contre le peuple sahraoui. C’est une réminiscence du temps des colonies que le Maroc a pris à son compte, pour gonfler les effectifs de sa soldatesque dont les rangs connaissent des défections en cascade. Et si durant la période coloniale les jeunes conscrits avaient crapahuté en Indochine et en Europe pour battre le nazisme, ce n’était pas de gaieté de cœur. Ils étaient obligés par la puissance coloniale de combattre pour le drapeau français.
    Le Maroc s’apprête lui aussi à composer un corps expéditionnaire composé de légionnaires subsahariens recrutés pour échapper à la faim et au dénuement. C’est une véritable armée de mercenaires qui est en train de se mettre en place au Maroc et qui pourrait servir dans la guerre qu’il mène contre le peuple sahraoui et accessoirement servir les intérêts d’Israël, servir au Sahel pour protéger les intérêts des grosses multinationales et même ailleurs là où les intérêts des soutiens du palais se font sentir.
    Une sale guerre qui a montré ses limites
    Le makhzen est appelé à donner des explications concernant la mort suspecte du consul général de France à Rabat découvert mort dans une chambre d’hôtel et sa relation supposée avec la reine, volontairement effacée de l’entourage de la famille royale depuis des années. Il doit expliquer le volume des pertes que ses forces d’occupation subissent au quotidien au Sahara occidental. Il doit trouver la parade pour parer aux éventuelles fermetures de plusieurs usines d’investisseurs européens séduits par les avantages que leur offrait le pays, mais qu’il ne peut plus aujourd’hui assumer. Il doit trouver l’astuce, constitutionnelle, pour régler la guerre de succession à M6 qui fait rage dans tout le sérail du palais et dans la famille royale. Il doit défendre sa position dans le dossier du Sahara occidental et surtout justifier son coup de force à Guerguerat. Et il doit en plus trouver comment faire avaler la pilule de la normalisation avec l’état hébreu au peuple marocain.
    Ce sont autant de défis qu’il se devait de relever, mais auxquels il tente de se soustraire en faisant diversion en s’attaquant à son voisin de l’Est. Une tactique usitée mais qui a toujours montré ses limites, puisque les difficultés que vit le peuple marocain reviendront comme un boomerang frapper à la face les concepteurs de cette sale guerre dans laquelle il s’est empêtré.
    Slimane Ben
    #SaharaOccidental #Polisario #Maroc #WesternSahara
  • Les premiers déboires de l'axe Tel-Aviv/Abou Dhabi au Sahara occidental …

    Au Sahara occidental, il y a quelque chose qui ne va pas visiblement: près d’un mois après que Rabat s’est emparé de Guerguarat, et ce, sous pression conjuguée de l’axe US/Israël/OTAN/Emirats, et ce, pour déstabiliser la profondeur stratégique algérienne, Paris refait le « coup africain » cette fois avec le Maghreb: ainis samedi les pro et les anti Sahara autonome se sont affrontés sur la place de la République, ce qui a fait d’ailleurs largement le jeu de la dictature militaire née sous Jupiter puisque Marocains et Algériens français se sont affrontés donnant à la police le prétexte de réprimer encore une fois les Maghrébins. Que l’affaire du Sahara occidental s’invite dans les rues de la France, c’est qu’au Maghreb, le plan de l’Empire n’a pas bien fonctionné: le Front Polisario qu’Israël et partant Rabat accuse d’avoir des liens avec le Hezbollah, aurait fait preuve d’une résistance inattendue. Mais il y a plus :

    L’anti -sraélienne Mauritannie, elle aussi, n’est pas tombée dans le piège tendu par l’Empire : le Parti au pouvoir en Mauritanie vient de condamner les provocations de l’armée marocaine et confirmer que « nous reconnaissons le Sahara occidental et ne nous rallierons pas au Maroc ». Hamdou Abdel-Malek, le représentant du Parti au pouvoir en Mauritanie a souligné que la Mauritanie reconnaîssait la République arabe sahraouie démocratique (RASD) sans manquer de condamner l’ingérence marocaine dans la zone tampon à la frontière mauritanienne. Il n’a pas manqué non plus de dénoncer l’intervention militaire de Rabat dans la zone tampon avec la Mauritanie, et a accusé l’armée marocaine de voler les biens de citoyens mauritaniens dans une zone appelée « Kandahar ».
    Nom symbolique qui rappelle l’enlisement US en Afghanistan, une Amérique qui via son acolyte émirati a monté de toute pièce le conflit de Guarguarat. Ces propos, le représentant de l’Union pour la République en France, Hamdou Abdel-Malek, les a prononcés d’ailleurs sur France 24 pour que l’Élysée l’entende bien. Le porte-parole a démenti les allégations du Maroc selon lesquelles l’opération menée par l’armée visait à nettoyer la région de ce que Rabat a décrit comme un foyer « d’activités terroristes et criminelles » : « La Mauritanie est un État. Ce n’est pas un foyer pour les groupes terroristes, la Mauritanie est plus sûre que le Maroc », a-t-il poursuivi confirmant que Farhan Haq, porte-parole adjoint du secrétaire général des Nations unies, a annoncé que l’ONU enquêtera sur ce que l’armée marocaine a fait et que les forces de l’ONU y seront envoyées. 
    De son côté, l’expert mauritanien spécialisé dans les affaires maghrébines et africaines, Ismail Yacoub Ould Cheikh Sidia, a confirmé que « ce que fait le Maroc à Guerguerat est une menace pour la sécurité nationale mauritanienne ».
    De tout ceci ressort cela : la Mauritanie ne lâcherait pas le Front Polisario, si l’Empire anglo-sioniste et Cie pousse les bouchons plus loin. Un Empire qui ces jours-ci ne cesse de s’arbouter sur des cartes que joue et rejoue l’Algérie même en l’absence prolongée de son président. 
    L’Algérie continue en effet ce que l’on peut désigner sans faute comme une véritable « révolution dans ses affaires militaires ». Après s’être dotée de missiles balistiques tactiques hypersoniques 9K720 Iskander M (et désormais la variante K), du complexe de missiles sol-air S-400, elle vient de signer avec la Russie un accord pour l’acquisition initiale de 14 avions de combat de cinquième génération Sukhoï Su-57 pour un montant de deux milliards de dollars avec la possibilité d’en acquérir jusqu’à 24 appareils de ce type en remplacement des 21 redoutables Mig-25 modernisés dont elle le dernier pays au monde à utiliser. L’Algérie deviendra ainsi le premier pays après la Russie à se doter de cet avion de combat de 5e génération, et l’un des trois pays du bassin mediterranéen à se doter d’avions furtifs de dernière génération (l’Italie et Israël disposent respectivement du F-35A et du très redoutable F35I). C’est clair: Alger s’arme contre Israël et l’OTAN. 
    En parallèle à cet accord, Alger a passé commande de plusieurs dizaines d’avions de combat Mig-29M2, d’avions d’attaque Su-34 et de chasseurs Su-35. Et puis la marine algérienne attend également la livraison de trois corvettes Projet 20380 de classe Steregushchy, pouvant chacune lancer une douzaine de missiles de croisière de la gamme Kalibr. Autre fait fort significatif, l’Algérie est désormais extrêmement intéressée par l’acquisition du missile de croisière hypersonique antinavire 2M22 Zircon (SS-N-33), qui peut remplacer les Club-S et les Kalibr lancés à partir de ses submersibles, navires de surface et autres vecteurs. Ce missile est officiellement en phase d’essais en Russie.
    Tout ceci n’a autre sens que ce qui suit: l’Algérie ne pliera l’échine à l’Empire. 
    Source : Press TV, 1 déc 2020
    Tags : #SaharaOccidental #Polisario #Maroc #WesternSahara #Algérie #EmiratsArabesUnis #AbuDhabi #Israel